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HANDICAPES MOTEURS DU SENEGAL : La vie, un piège sans fin ? - Wal Fadjri - Sénégal - 21/05/02
Repérables au niveau des carrefours, des marchés, des banques, des mosquées et autres endroits publics des centres urbains, les mendiants handicapés moteurs grossissent le nombre des occupants de la rue. Combien sont-ils ? Difficile à dire. Dans ce lot, combien sont-ils à s’adonner à la mendicité ? Mystère et boule de gomme. Lire
Lutte contre la méningite et le tétanos : La Chaîne des Tout petits lance les journées de vaccination - Notre voie - Côte d'Ivoire - 21/05/02
L’ONG la Chaîne des tout petits (CTP) a organisé le week-end dernier, la cérémonie officielle de lancement des journées de vaccination gratuites contre la méningite et le tétanos. Les personnes concernées sont les enfants des familles les plus démunies du quartier Zopleu, situé près de la zone industrielle de Yopougon. L’objectif visé est de trois ordres. A savoir briser le mur de l’indifférence pour apporter la joie aux enfants en difficulté, apporter une assistance médicale aux enfants défavorisés et prévenir et combattre les maladies infantiles et maternelles. Etant donné le fait qu’“un enfant sans amour est une fleur sans eau”, il s’agit en fin de compte d’aimer et servir l’enfant partout et toujours. C’est pourquoi, la caravane de vaccination s’ébranlera successivement dans les communes de Marcory, Koumassi, Cocody, Plateau, Bingerville et Grand-Bassam pour apporter son soutien aux familles en difficulté. “Les maladies non prévenues pèsent lourdement sur le développement”, a reconnu M. Bolou Koffi Anderson, président de la CTP. Il a insisté sur le taux de vaccination qui doit être élevé à plus de 90% pour contrôler les maladies juvéno-infantiles. Le maire de Yopougon, M. Gbamnan Djidan a pour sa part salué l’action salutaire de l’ONG CTP qui rentre dans le programme d’action de la commune. Même son de cloche du côté de l’entreprise CARGIL qui a parrainé la cérémonie. Son président en Côte d’Ivoire, M. François Loury a précisé qu’en plus de l’économique, sa société s’intéresse de près également au bien-être social des populations. Koné Fidel
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Lutte contre la pratique de l’excision : Appel aux communautés religieuses - L'observateur Paalga - Burkina Faso - 21/05/02
La 3e Journée nationale de lutte contre la pratique de l’excision a été célébrée le 18 mai 2002 à Kombissiri, province du Bazèga. Le thème de cette année était : «Lutte contre la pratique de l’excision, les communautés s’impliquent». Placée sous la présidence du ministre de l’Action sociale et de la Solidarité nationale, M. Gilbert Ouédraogo, la cérémonie a vu la présence de l’épouse du chef de l’Etat, Mme Chantal Compaoré et de nombreuses personnes. Lire
SANTE ET SECURITE EN AFRIQUE : Les spécialistes en conclave à Dakar - Wal Fadjri - Sénégal - 21/05/02
Plus de 200 spécialistes civils et militaires de plusieurs pays d’Afrique et d’Occident se réunissent depuis ce matin à Dakar. Ils se penchent sur les problèmes de santé et de sécurité qui assaillent les pays et les populations d’Afrique. Le but recherché est de partager les expériences et les idées afin de parvenir à l’éradication ou, du moins, à la limitation de nombreuses affections qui touchent les pays d’Afrique. Lire
De retour de Martinique : Mme Gbagbo annonce 2,5 tonnes de médicaments pour les malades du sida - Notre voie - Côte d'Ivoire - 21/05/02
L’épouse du chef de l’Etat, Mme Simone Ehivet Gbagbo, a regagné Abidjan samedi dernier, au terme d’une tournée aux Etats-Unis et en Martinique. Elle avait dans ses bagages, deux tonnes et demi de médicaments anti-rétroviraux. La lutte contre le VIH/sida dans notre pays vient d’avoir une autre bouffée d’oxygène. Après son époux qui est rentré du sommet de l’OMS en Suisse avec la promesse de cinq années de fourniture en médicaments anti-rétroviraux gratuits, Mme Simone Gbagbo a regagné la Côte d’Ivoire samedi dernier. En provenance de la Martinique avec dans ses valises, deux tonnes et demi de médicaments pour les personnes vivant avec le VIH/sida. La Première Dame, qui a été saluée à son arrivée par l’épouse du Grand chancelier, a déclaré s’être rendue en Martinique sur invitation d’une ONG. Laquelle ayant constaté le combat de l’épouse du président de la République de Côte d’Ivoire contre la pandémie a mobilisé les Martiniquais pour lui venir en aide. Outre ce volet santé, la Première Dame et sa délégation ont abordé plusieurs autres domaines avec leurs hôtes. Il s’agit, a-t-elle dit, de la décentralisation, la culture, la science et le tourisme. Selon Mme Simone Gbagbo, d’importants contacts ont été noués qui peuvent aboutir à des jumelages entre des communes de Côte d’Ivoire et celles de la Martinique, et des échanges d’expériences. A cette étape martiniquaise, elle était accompagnée des ministres Kaé Eric Kplohourou du Commerce, Mme Odette Sauyet Likikouet du Tourisme et de l’Artisanat, et de Mme Koulibaly Mamadou épouse du président de l’Assemblée nationale. Auparavant, Mme Gbagbo s’est rendue à New York aux Etats-Unis au sommet sur les enfants. Cette rencontre initiée par l’épouse du secrétaire général de l’ONU visait à faire le point des activités des premières Dames et leur implication dans les problèmes sociaux, les problèmes concernant les enfants. Seguei None
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RAVAGES DU VIH/SIDA CHEZ LES ENSEIGNANTS : Le poumon du système éducatif touché - Wal Fadjri - Sénégal - 18/05/02
Le Vih/sida tue les enseignants plus vite qu’il n’est possible de les former, rend les enfants orphelins et menace de faire dérailler les progrès réalisés par les pays les plus touchés pour scolariser tous les garçons et toutes les filles d’ici 2015, dit un nouveau rapport de la Banque mondiale. “Et pourtant, une bonne éducation fondamentale est un des moyens les plus efficaces et les plus rentables de prévenir le Vih”, indique-t-on. Lire
Mauritanie-Santé : Démarrage d’un cours sur le cancer du col de l’utérus - La prévention, une composante essentielle de la politique sanitaire : Mise en place d’un programme pour examiner 400 femmes atteintes - AMI - 18/05/02
Le dépistage précoce du cancer du col de l’utérus, constitue le thème central d’un cours de formation organisé par l’hôpital Cheikh Zayed de Nouakchott avec le concours de l’OMS et dont les travaux ont débuté mercredi à Nouakchott. La rencontre, qui durera quatre jours, a pour objectif de mettre en place un programme de recherches scientifiques qui s’étend sur deux ans et permettra l’examen de 4000 femmes atteintes par cette pathologie très fréquente chez les femmes en âge moyen. Dix huit participants dont des médecins et sages femmes mauritaniens, sénégalais et guinéens, ainsi que des instructeurs français prennent part au cours. Ils auront à écouter des exposés théoriques et pratiques. 150 patientes seront également consultées à l’hôpital Cheikh Zayed. Ouvrant la rencontre au nom du ministre de la Santé et des Affaires Sociales, le Pr. Isselmou Ould Khalifa, directeur de la médecine hospitalière a tout d’abord souligné l’ampleur de la gravité de cette maladie qui vient en deuxième position parmi les maladies cancéreuses dans le monde, «avec une incidence très élevée dans la sous-région (trois tiers des cas au stade très avancé) ». Il a ajouté que la prévention que cette maladie constitue une composante essentielle de notre politique sanitaire inspirée des orientations du Président de la République, Monsieur Maaouya Ould Sid’Ahmed Taya en faveur de la santé du citoyen, en particulier la femme. Le Pr. Isselmou Ould Khalifa a par la suite réitéré l’importance de la réussite de ce programme, de l’engagement actif du personnel sanitaire et la vaste participation des femmes qui sont les premières concernées. Auparavant le Dr. El Hadi Benzerough, représentant de l’OMS à Nouakchott a souligné la complexité de la problématique du cancer du col de l’utérus «qui est malheureusement souvent ignorée». Il a par la suite salué l’initiative d’organiser de ce cours et a réaffirmé l’engagement à œuvrer continuellement pour la réduction de la mortalité maternelle qui «affiche un taux très élevé dans notre pays (950 décès sur 100.000 naissances vivantes)». Le Dr. Benzerough a enfin souligné que pour « la réussite de ce programme, il faut une action concertée et coordonnée de la part de tous les acteurs intervenant dans ce domaine ». Rappelons que 450.000 cas de cancer du col de ce l’utérus sont dépistés chaque année et que le seul moyen de prévention demeure le dépistage précoce des précurseurs du cancer afin d’adopter l’attitude thérapeutique nécessaire. AMI
Lire l'article original : www.mauritania.mr/ami/archivefr2002/bulletin20020418.htm 18/05/02
Transmission mère-enfant : 900 bébés sauvés du VIH - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 17/05/02
·La PTME sauve 900 enfants en Côte d’Ivoire
Le lundi 13 mai restera une date inoubliable pour Mlle G. Chantal. Celle qui, malgré son statut de séropositive du VIH, a décidé, il y a 2 ans, d’avoir un enfant. Mais pas un enfant séropositif comme elle. “ J’ai voulu avoir un enfant bien que sachant mon état. Mais j’ai demandé à Dieu de protéger cet enfant du mal que j’ai… et il a exaucé ma prière ”. Lire
Lancement par l’OMS de la première stratégie mondiale pour les médecines traditionnelles ou parallèles - Communiqué de presse OMS/38 - 16/05/02
La médecine traditionnelle devient de plus en plus populaire dans les pays industriels et jusqu’à 80 % des gens y ont recours dans les pays du Sud dans le cadre des soins de santé primaires. Cette situation a conduit les praticiens et les consommateurs à s’inquiéter de l’innocuité et, surtout, des questions de politique, de réglementation, de preuves, de biodiversité, ainsi que de préservation et de protection des connaissances traditionnelles.
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) publie aujourd’hui un plan mondial sur le sujet. Cette stratégie prévoit un cadre politique pour aider les pays à réglementer les médecines traditionnelles ou parallèles/complémentaires, afin de les rendre plus sûres, plus accessibles et viables. Lire
VICTIMES DU SIDA : Plus de 10 millions d’enfants orphelins - Wal Fadjri - Sénégal - 16/05/02
La pandémie du sida continue de faire des ravages. Innocents qu’ils sont, les enfants sont devenus les grandes victimes. En effet, selon les statistiques fournies par le Fonds des Nations-Unies pour l’enfance (Unicef), en 2001, 10,4 millions d’enfants de moins de 15 ans ont perdu leur mère ou leurs deux parents à cause du sida. Dans la seule année 2000, la maladie a fait 2,3 millions d’orphelins de moins de 15 ans. Déjà, les enfants qui sont devenus orphelins à cause du Vih/ sida représentent la majorité des orphelins de moins de 15 ans. La tragédie continue de s’aggraver à mesure que la maladie fait des victimes. D’après les prévisions d’ici à 2010, le nombre total d’enfants devenus orphelins à cause du sida devrait plus que doubler. «Comme le sida a fait plus de victimes en Afrique subsaharienne que partout ailleurs, c’est également dans cette région que vivent la majorité des orphelins et des autres enfants touchés par le Vih/ sida», relève l’organisme spécialisé des Nations-Unies. A la fin de l’année 1999, le Nigeria comptait environ 970 000 orphelins, l’Ethiopie 900 000, le Zimbabwe 623 000, la Zambie 447 000 et l’Afrique du Sud 371 000. Les enfants souffrent beaucoup lorsque leurs parents tombent malades ou meurent, selon l’Unicef. Et leur situation se caractérise souvent par des difficultés psychosociales, économiques, par l’abandon scolaire, la malnutrition et les maladies, la perte d’héritage, les mauvais traitements et le risque accru de contracter le Vih, etc. La stratégie de l’Unicef passe par des partenariats à tous les niveaux. Ces partenariats consistent notamment à aider les gouvernements à définir des politiques nationales d’aide aux orphelins et des lois qui protègent les droits de ces derniers, et à encourager la mise au point de programmes innovateurs de soins et d’assistance aux enfants et aux familles en difficulté. Le plan stratégique à moyen terme de l’Unicef pour 2002-2005 s’inspire de l’aide que l’organisation a apportée à la mise au point et au développement de programmes d’assistance aux enfants touchés par la pandémie. Johnson MBENGUE
Lire l'article original : www.walf.sn/archives/article2.CFM?articles__num=9461&unelocale__edition=3050
Enseignement supérieur : Les enseignants de rang B des URF de santé exigent leur décrochage - Notre voie - Côte d'Ivoire - 16/05/02
Le collectif des enseignants de rang B (ERB) des UFR des sciences de la santé (UFRSS) constitué des assistants et maîtres-assistants des UFR des sciences médicales de Cocody, UFR sciences médicales de Bouaké, UFR odonto-stomatologie, UFR sciences pharmaceutiques et biologiques a observé depuis lundi dernier une grève de 72 heures. Lire
JOURNEE MONDIALE DE LA FAMILLE : Mobilisation tous azimuts contre le Vih/sida - Wal Fadjri - Sénégal - 16/05/02
A l’instar de la communauté internationale, le Sénégal a célébré hier la Journée internationale de la famille. Organisée cette année sous l’égide du ministère de la Famille et de la Petite enfance, cette édition a porté sur «Pour un Sénégal sans sida : les familles se mobilisent». Lire
Les consultations prénatales, une nécessité de survie pour la femme enceinte - L'union - Internetgabon.com - 16/05/02
La conférence-débat organisée hier au Centre de santé maternelle et infantile de la Peyrie a permis aux nombreuses femmes enceintes, venues y prendre part, de mesurer toute l'importance qu'il y a à procéder à la surveillance de leurs grossesses. Lire
TROIS QUESTIONS A CHARLOTTE FATIM NDIAYE PRÉSIDENTE DE LA SWAA «La lutte conte le sida passera par les femmes» - Wal Fadjri - Sénégal - 16/05/02
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Ambassade de la République fédérale d’Allemagne : Aide à la lutte contre l’épidémie - L'observateur Paalga - Burkina Faso - 15/05/02
En vue de renforcer la lutte contre l’épidémie de méningite au Burkina Faso, l’Ambassade de la République fédérale d’Allemagne a mis à la disposition de la population burkinabè la somme de 19 657 000 FCFA destinée à l’achat de 49 000 doses d’ampicilline et d’autres consommables médicaux. L’achat des produits médicaux constitue la contribution de l’Allemagne à une opération de vaccination menée par l’Organisation pharmaciens sans frontières en coopération avec le ministère de la Santé. Par le financement de ces vaccins, le ministère des Affaires étrangères en Allemagne répond à l’appel d’aide d’urgence du gouvernement burkinabè adressé à la communauté internationale. La somme a été débloquée du fonds d’aide humanitaire du ministère allemand des Affaires étrangères destiné à faire face à des besoins d’urgence partout dans le monde. Les produits médicaux seront remis par l’Ambassadeur de la République fédérale d’Allemagne, M. Helmut Rau, dans les locaux de la Centrale d’achat des médicaments essentiels génériques et de consommables médicaux (CAPEG) à Ouagadougou le mardi 7 mai 2002 à 17 heures.
Lire l'article original : www.lobservateur.bf/debq.htm
Mauritanie-Santé : Distribution de médicaments aux malades du diabète Les patients reconnaissants aux initiateurs de la collecte d’aide en leur faveur - AMI - 15/05/02
Des quantités de médicaments et consommables tels l’insuline, le gliphage et autres produits pharmaceutiques d’une valeur de 1.600.000 (Un million six cent mille Ouguiya) ont été remises hier à des malades atteints de diabète. Ce lot, le quatrième du genre, a permis à mille malades de se doter de leur traitement pour une durée d’un mois, ce qui leur permettra de réaliser une importante économie et d’alléger leur souffrance. Les médicaments, dont le coût a été collecté auprès des institutions nationales et internationales, ont été distribués sous la supervision du Docteur spécialiste Mohamed Salem Ould Ahmed Ould Mohamed Saleh, sur prescription médicale en présence du président de ce l’ONG collectrice des montants et d’un responsable du Commissariat aux Droits de l’Homme, à la Lutte contre la Pauvreté et à l’Insertion. Après avoir récupéré leurs médicaments, certains malades ont exprimé à l’AMI leur gratitude et leur reconnaissance à cette ONG pour ce geste et les autres actions curatives qu’elle mène en leur faveur. Les bénéficiaires, hommes et femmes assez âgés, proviennent de tous les coins du pays. Selon les statistiques, 3.600 cas de diabète ont été décelés à l’intérieur du pays dont 1000 à Nouakchott. Selon le président de l’ONG, M. Mohamed Mahmoud Ould Bourdid, les malades du diabète sont dans la plupart des gens démunis et ont besoin d’une assistance régulière, précisant que lui-même, diabétique, a décidé d’engager cet effort pour venir en aide à ces malades. Il a ajouté que son ONG est représentée dans les villes de Nouakchott, Nouadhibou, Zouérate, Atar, Rosso et Kiffa. Pour sa part, le Dr Mohamed Salem Ould Mohamed Saleh, a indiqué que le diabète est très répandu dans notre pays et a plaidé en faveur de ses malades. AMI
Lire l'article original : www.mauritania.mr/ami/archivefr2002/bulletin20020415.htm
TRAVAILLEURS MUNICIPAUX DE LA SANTE : L’Etat n’inspire plus confiance - Wal Fadjri - Sénégal - 15/05/02
De qui se moque-t-on au ministère délégué chargé des Collectivités locales ? C’est la question que bien des travailleurs municipaux de la santé se sont posés hier, lors de leur sit-in à l’Hôtel de ville de Dakar. Ils réclament toujours leur part des primes de motivation déjà payées à leurs collègues de la santé qui travaillent pour le compte de l’Etat. Et ces travailleurs se rappellent “de la dernière rencontre que nous avons eue avec le ministre Thiéwo Cissé Doukouré et lors de laquelle elle nous avait promis que notre problème serait réglé bien avant les élections locales”. Lire
Sciences médicales : Des enseignants marchent sur la présidence de l’université - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 14/05/02
Les assistants et maîtres-assistants des UFR des Sciences de la santé ont mis à exécution leur menace de grève. Hier matin, ils ont déserté les amphithéâtres et les laboratoires pour exprimer leur colère aux responsables de l’Enseignement supérieur au sujet de leur “statut ambigu ”. Habillés de leurs blouses blanches, ils étaient près de 150 personnes à se regrouper au parking de l’UFR des Sciences médicales de Cocody vers 9h00 pour ensuite faire mouvement vers la présidence de l’Université. Au bout de 15 mn de marche silencieuse, ils sont allés remettre aux autorités le document contenant leurs revendications. Les assistants et maîtres-assistants des UFR des Sciences de la santé exigent “ une clarification de leur statut par un texte réglementaire, dans un bref délai ”. Ils veulent bénéficier des effets du décrochage et des mesures compensatrices liées au raccrochage qui ont été accordées aux autres enseignants du supérieur. Enfin, les grévistes réclament les avantages sociaux et la rémunération liée à leurs fonctions et prestations hospitalières. Hier, avant la marche, ils ont tenu une petite réunion pour se remobiliser et réaffirmer leur ferme volonté d’aller jusqu’au bout. Il a même été décidé de faire des piquets de grève pendant les trois jours de manifestations à 9H00. Une Assemblée générale est prévue demain à 16h00 pour décider de la conduite à tenir. ALAKAGNI HALA
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Assurance maladie universelle (AMU) - Notre voie - Côte d'Ivoire - 13/05/02
Voici le regard critique de la France Sous la direction de Claude Evin, une mission a été effectuée, du 3 au 9 mars 2002, à Abidjan pour le compte du ministère des Affaires étrangères de la République française. Cette mission, pilotée par la Direction générale de la coopération internationale et du développement (DGCID) dudit ministère, a porté sur “la mise en place de l’Assurance maladie universelle en Côte d’Ivoire”. Nous livrons, ici, l’intégralité du rapport dont nous avons pu avoir copie. Lire
Norme qualité en santé : La Pisam initie l’accréditation des structures sanitaires en Côte d’Ivoire - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 13/05/02
La Côte d’Ivoire va bénéficier d’ici peu d’une quantité importante de médicaments contre le sida, offerts gratuitement pendant cinq ans à notre pays pour prévenir la transmission mère-enfant. Ce don sera fait par la Swiss economic foundation dont le directeur général et homme d’affaires américain, M. Khalid Hossain a été reçu samedi en audience par le Chef de l’Etat. Lire
SIDA : Menace sur les entreprises... La pandémie est devenue un véritable problème économique. Avec des terribles ravages dans les unités de productions. - L'action - Cameroun - 11/05/02
"Le sida est une terrible menace pour le monde du travail. Si rien n´est fait, nous nous dirigeons vers la disparition du travail" ; s´inquiète André Siaka, président du groupement inter patronal du Cameroun ( Gicam ) mercredi dernier, à la cérémonie de signature des accords de partenariat entre le comité national de la lutte contre le sida et le secteur privé professionnel. Lire
LE PRESERVATIF ET LES SENEGALAIS : Bien connu, mais peu utilisé… - Wal Fadjri - Sénégal - 11/05/02
Le préservatif, la population sénégalaise connaît à 89 %. La notoriété de ce condom est encore plus forte chez les adultes de 20 à 39 ans, en particulier chez les hommes. Sur le plan géographique, le plus d’individus qui déclarent savoir ce qu’est le préservatif sont des habitants de la région de Fatick où il a été paradoxalement enregistré le pourcentage d’utilisateurs le plus bas. En outre, le plus faible taux de connaisseurs a été enregistré pas loin de cette partie du Sine, dans le Saloum, à Kaolack. Ziguinchor se distingue comme la région où il a été “enregistré le taux plus élevé de personnes qui utilisent le préservatif, mais c’est également là où nous avons enregistré le taux le plus élevé de personnes qui ont des relations sexuelles non protégées”. Lire
Lutte contre le cancer : Une ligue ivoirienne voit le jour - Notre voie - Côte d'Ivoire - 11/05/02
Mlle Bintou Bourgoin, directrice de société, a présenté hier devant la presse, à la salle de conférence de la CIE à Treichville, la toute nouvelle Ligue ivoirienne contre le cancer (LICC). Structure qu’elle a créé le 24 décembre dernier avec des personnalités de la société civile et d’éminents spécialistes en médecine dont M. Echimane Kouassi Antoine, professeur en cancérologie. Pour Bintou Bourgoin, la principale motivation qui l’a poussée à créer cette ligue réside dans le fait qu’elle a perdu deux (2) parents à cause du cancer. L’objectif recherché selon la présidente de LICC, est entre autres, de rassembler toutes les personnes physiques ou morales désireuses d’aider la lutte contre le cancer. De provoquer, favoriser, coordonner et développer la lutte contre le cancer. De son côté, le Professeur Echimane, par ailleurs, vice-président de LICC, a présenté le mal qu’est le cancer, la situation en Côte d’Ivoire. Mais le professeur a surtout expliqué que la ligue va aider à la rechercher fondamentale, appliquée et clinique sur le cancer en Côte d’Ivoire. Car selon lui, l’incidence des cancers en Côte d’Ivoire d’après une estimation de l’OMS est de 100 cas pour 100.000 habitants. Ce qui signifie que 1500 cas de cancer sont attendus en Côte d’Ivoire. D’où la nécessité de mener une campagne de sensibilisation pour un dépistage précoce de la pathologie. Ce à quoi va s’atteler LICC à travers toute la Côte d’Ivoire. Le vendredi 17 mai prochain à l’Hôtel Ivoire, la ligue fera sa sortie officielle. Coulibaly Zié Oumar
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Norme qualité en santé : La Pisam initie l’accréditation des structures sanitaires en Côte d’Ivoire - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 11/05/02
Médecins-conseils d’assurances, directeurs médicaux et ses responsables de cliniques et des Chu, médecins d’entreprises ont accouru nombreux le mardi dernier dans l’après-midi au 4e étage de l’immeuble de la PISAM pour en savoir un peu plus sur l’accréditation des établissements de santé. Invité de la PISAM, M. Jean-Pierre Deymier, directeur de la clinique Pasteur à Toulouse et expert visiteur de l’Agence Nationale d’Accréditation et d’évaluation en santé (ANAFS) était à Abidjan pour parler de la démarche qualité en santé comme il en existe déjà dans l’industrie et le commerce avec la norme ISO 9002 par exemple. Mais la santé n’est pas un produit fini, aussi ne peut-on pas parler en la matière de certification. L’accréditation des établissements de santé, une pratique vieille de près de 100 ans en Amérique du nord est longtemps mal vie en France par les professionnels de la santé procédure d’évaluation externe à un établissement de santé sur son fonctionnement et ses pratiques. Elle vise à s’assurer que les conditions de sécurité et de qualité des soins et de prise en charge du patient sont prises en compte par l’établissement de santé. L’accréditation devenue réalité à partir de 1997 en France ( ordonnance puis décret) concerne aujourd’hui 3500 établissements. Si tous les établissements sont acerbités parce qu’ils ont reçu la visite des experts visiteurs, c’est le niveau de l’accréditation decernée par un collège de trois à dix médecins selon la taille de la structures des soins, de la prise en charge et des conditions de sécurité. Et cela peut-être affiché devant l’établissement de santé. Aux Etats-Unis, certains Etats exigent cette accréditation comme condition d’ouverture au d’extension des activités des établissements de santé. Quatre niveaux d’accréditation peuvent être attribués. En allant du bon au moins bon, on a l’accréditation et sans recommandation ” “ accréditation avec recommandation ”, “ accréditation avec réserve ” et le plus mauvais c’est “ l’accréditation avec réserve majeure ”. La démarche qualité que la PISAM veut initier en Côte d’Ivoire aide en fait les structures sanitaires à se remettre en cause, “ à faire la promotion de ce que nous dispensons et vendons : les soins de santé ” comme l’a souligné le PDG de la PISAM, le professeur William Djibo. B. ZEGUELA
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