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Revue de presse de Santé tropicale

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Mutilations génitales féminines : désormais “Tolérance zéro de l`excision”

Le nouveau réveil | Côte d'Ivoire | 12/02/2010 | Lire l'article original

La Côte d'Ivoire en partenariat avec l'Unicef lance la phase "Tolérance zéro de l'excision", phase consistant à la répression proprement dite. Malgré une tendance à la baisse au niveau nationale des mutilations génitales féminines, la pratique dans les régions du nord à quant à elle, accru avec une prévalence de 88%. Le nord ouest enregistre une prévalence de 88% et l'ouest montagneux 73%. Selon les derniers chiffres de l'Unicef en date de 2006, le taux de filles et de femmes excisées, âgées de 15 à 49 ans est de 36,4%. Les années antérieures, la proportion était de 44,5%. La pratique est plus répandue dans les zones rurales. Pour freiner cette pratique en Côte d'Ivoire, le législateur ivoirien a pris, depuis 1998, sur l'impulsion des associations de défense des droits de la femme et des Ong luttant pour la dignité de la femme, des décisions fermes à travers une loi définissant cette pratique et condamnant toute personne la pratiquant.

Il s'agit de la loi n° 98-757 du 23 décembre 1998 portant répression de certaines formes de violence à l'égard des femmes. En son article 1er , la loi stipule : “Est qualifiée de mutilation génitale, l'atteinte à l'intégrité de l'organe génital de la femme, par ablation totale ou partielle, infibulation, insensibilisation ou par tout autre procédé”. En son article 2 portant condamnation, la loi dit ceci: “Quiconque commet une mutilation génitale est puni d'un emprisonnement d'un à cinq ans et d'une amande de 360.000 à 2 millions de francs Cfa. La peine est portée au double lorsque l'auteur appartient au corps médical ou paramédical. La peine est d'un emprisonnement de 5 à 20 ans lorsque la victime en est décédée”. La Côte d'Ivoire et ses partenaires dans la lutte contre les mutilations génitales après la phase de sensibilisation, a décidé de passer à la phase répressive par la phase dite "Tolérance Zéro de l'excision".

Jean Prisca

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