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Le quotidien | Sénégal | 13/02/2006 | Lire l'article original
Quelles sont les statistiques qui pourraient permettre d’avoir
une idée précise de l’ampleur des dégâts de
ces mauvaises prescriptions ?
Nous n’avons pas fait un travail pour voir les méfaits de l’utilisation
qui ne semble pas correcte de ces médicaments. Nous n’avons pas
fait d’études à ce niveau. Mais c’est quelque chose
que nous avons constaté à la suite d’enquête qui a
été effectuée au niveau des médecins mais également
au niveau des médecins généralistes et même spécialistes
du secteur public.
Comment éviter ces mauvaises prescriptions ?
La méthode est qu’il y ait une information pharmaceutique constante
auprès des prescripteurs pour leur rappeler les règles de prescription,
les médicaments à prescrire devant une pathologie donnée.
Il faut qu’il y ait des formations continues des médecins qui sont
sur le marché sénégalais. Parce qu’on se forme en
1980, on reste médecin jusqu’en 2006, mais il y a les choses qui
évoluent et les médecins doivent suivre une formation continue
pour ne pas êtres laissés en rade.
Quelle appréciation, faites-vous des journées médicales
de l’Université de Dakar ?
Ces journées sont une bonne chose. C’est l’occasion pour
nous, médecins, pharmaciens, d’échanger, de partager. Ce
n’est que dans l’échange ; qu’on peut progresser.
Yathé Nara Ndoye
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