Accès aux sites pays fleche Santé tropicale au Bénin BENINSanté tropicale au Burkina Faso BURKINA FASOSanté tropicale au Cameroun CAMEROUNSanté tropicale en Centrafrique CENTRAFRIQUESanté tropicale au Congo CONGOSanté tropicale en Côte d'Ivoire COTE D'IVOIRESanté tropicale au Gabon GABON
Santé tropicale en Guinée GUINEESanté tropicale à Madagascar MADAGASCARSanté tropicale au Mali MALISanté tropicale en R.D. Congo R.D. CONGOSanté tropicale au Sénégal SENEGALSanté tropicale au Togo TOGO



Souffrez-vous de crises hémorroïdaires ? - Plus d'informations

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici

Revue de presse de Santé tropicale

Trier les actualités par :

Amadou Makhtar Dieye, professeur de pharmacologie à l’Ucad : «Il faut plus de rigueur dans la prescription de somnifères»

Le quotidien | Sénégal | 13/02/2006 | Lire l'article original

Lors des 16e journées médicales, vous avez insisté sur la nécessité d’être plus regardant dans la prescription de certains médicaments contre l’insomnie, qu’en est-il exactement ?
Nous avons simplement dit que devant une insomnie, il y a des benzodiazodines, qui sont plus indiquées que d’autres. L’enquête que nous avons faite a révélé que les benzodiazodines qui sont souvent prescrites par les médecins ne correspondent pas aux molécules qu’on aurait dû utiliser devant une insomnie isolée.

Et quand il s’agit de benzodiazodines, il est préférable de donner celles qu’on appelle à courte durée d’action qui ne donnent pas de métaboliques actifs et qui permettraient au lendemain de se réveiller et d’être en forme. Mais si on donne des produits qui ont une durée de vie très longue, le lendemain, la personne peut avoir un réveil très désagréable. Elle est somnolente et ça, ne lui permet pas d’être efficace durant la journée. Et c’est dangereux même si la personne doit conduire une voiture ou voyager.

Quelles sont les statistiques qui pourraient permettre d’avoir une idée précise de l’ampleur des dégâts de ces mauvaises prescriptions ?
Nous n’avons pas fait un travail pour voir les méfaits de l’utilisation qui ne semble pas correcte de ces médicaments. Nous n’avons pas fait d’études à ce niveau. Mais c’est quelque chose que nous avons constaté à la suite d’enquête qui a été effectuée au niveau des médecins mais également au niveau des médecins généralistes et même spécialistes du secteur public.

Comment éviter ces mauvaises prescriptions ?
La méthode est qu’il y ait une information pharmaceutique constante auprès des prescripteurs pour leur rappeler les règles de prescription, les médicaments à prescrire devant une pathologie donnée. Il faut qu’il y ait des formations continues des médecins qui sont sur le marché sénégalais. Parce qu’on se forme en 1980, on reste médecin jusqu’en 2006, mais il y a les choses qui évoluent et les médecins doivent suivre une formation continue pour ne pas êtres laissés en rade.

Quelle appréciation, faites-vous des journées médicales de l’Université de Dakar ?
Ces journées sont une bonne chose. C’est l’occasion pour nous, médecins, pharmaciens, d’échanger, de partager. Ce n’est que dans l’échange ; qu’on peut progresser.

Yathé Nara Ndoye

Lire l'article original

Retour

NEWSLETTER

Restez informés : recevez, chaque mercredi, la lettre d'informations de Santé tropicale. Inscriptions


Vous êtes professionnel(le) de santé ?

Ce contenu gratuit vous est destiné :

img_produit

img_produit

img_produit

img_produit
Téléchargez hearWHO - Pour vérifier l'audition !

img_produit

img_produit

encart_diam_biogaran
Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays

encart_diam_aldounion
Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays


CONTACTEZ-NOUS

adresse Adresse

  • APIDPM
    135, chemin de Canto Maï
    83190 Ollioules - France

tel Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

email Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation


Site éditeur :
logo

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !