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Cameroon tribune | Cameroun | 11/12/2007 | Lire l'article original
Marguerite Marie Limagnack, la présidente de l’ONG Smile a indiqué dans son propos d’ouverture, le défi d’améliorer l’offre en traitement au niveau national. Soulignant que malgré l’augmentation des chiffres des personnes atteintes, l’essentiel des spécialistes des dents se recrute dans les grandes villes que sont Yaoundé et Douala. Le plus souvent, dans des cliniques privées où les coûts sont parfois onéreux par rapport au pouvoir d’achat moyen des Camerounais. « Nos travaux devraient aboutir à la mise en place d’une unité mobile pour favoriser les interventions en milieu rural », a expliqué la promotrice.
A sa suite, la représentante de l’Oms, après avoir démontré que les maladies bucco-dentaires sont un enjeu planétaire aujourd’hui est même allée plus loin. Certes, le nombre des professionnels est restreint du fait des études onéreuses – souvent à l’étranger- qu’il faut mener pour se spécialiser. Mais pour la représentante, l’enjeu pour les pouvoirs publics doit être de ramener les soins bucco-dentaires dans le giron des soins de santé primaires. Cela passe par des recyclages des personnels médicaux en place, afin de permettre que des diagnostics soient opérés dans tous les centres de santé. Un bon chantier à déblayer.
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