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Le potentiel | Congo-Kinshasa | 10/06/2008 | Lire l'article original
Mais ce qui a donné la clé de ce phénomène, c’est la révélation de la présence dans le cerveau d’une protéine, l’ASIC1a, de la catégorie des «canaux ioniques» qui facilitent la diffusion entre une cellule et l’extérieur. L’étude a montré que des souris à qui on a supprimé le gène de cette protéine, ont des crises d’épilepsie plus sévères et de plus longue durée que celles qui disposent de ce gène. En outre, celles qui ne l’ont pas ne tirent aucun bénéfice d’une baisse du niveau de pH. A l’inverse, augmenter l’impact de la protéine protège les souris de crises sévères. En fait, les chercheurs ont constaté que, lors du déclenchement d’une crise, la protéine réagissait à une augmentation de l’acidité en stoppant l’activité épileptique.
Par REGINE KIALA
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