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Cameroon tribune | Cameroun | 05/06/2008 | Lire l'article original
C’est pour intensifier le plaidoyer pour la prise en compte de cette problématique auprès des instances décisionnaires camerounaises et africaines (les parlements, gouvernements, la coopération internationale) que le premier congrès panafricain de bioéthique s’est tenu du 28 au 30 mai dernier à l’hémicycle de Ngoa-Ekellé, sous l’égide de la CBS. Il s’agissait en gros, pour les hommes de science, chercheurs et membres de la société civile d’effectuer des propositions de mise en œuvre des résolutions du 32e sommet de l’OUA tenu en juillet 1996 à Yaoundé, où la bioéthique et avait été inscrite à l’ordre du jour. « Deux aspects importants : la structuration du mouvement bioéthique par sa mise en place, comme forum et demain, comme structure du Congrès panafricain de bioéthique.
Ensuite, l’atteinte des Objectifs du millénaire. Les enjeux de la bioéthique dans la réalisation de ces objectifs », explique Pierre Effa. Plusieurs communications ont ponctué ces assises. Parmi lesquelles, celle du Dr Alain Didier Olinga, coordonnateur du groupe des sciences sociales, sur la gouvernance et les droits de l’homme dans la réalisation des objectifs du millénaire. Selon les responsables chaque pays africain devrait disposer d’un minimum pour cette veille cruciale dans le processus de développement : des lois bioéthique, ou l’équivalent d’un comité de bioéthique, issus de préférence de la société civile, des centres de recherche en bioéthique, etc. Vaste chantier en perspective.
Alain TCHAKOUNTE
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