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Le potentiel | Congo-Kinshasa | 29/07/2008 | Lire l'article original
La contamination était intervenue lors de la production de la substance active, le nelfinavir, utilisée pour la fabrication du médicament. «Les résultats d’études toxicologiques chez l’animal, aujourd’hui disponibles, sont rassurants pour les patients traités par Viracept » pendant la période de contamination, a indiqué l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé dans un communiqué. Les résultats présentés par les laboratoires Roche « confirment que les niveaux les plus élevés de contamination par l’éthylmésylate sont très inférieurs au seuil de toxicité cancérigène chez l’homme. Il n’existe donc pas d’élément susceptible de faire craindre une augmentation du risque de cancer chez les patients fortement exposés au Viracept contaminé, c’est-à-dire les patients exposés en mars 2007 », a indiqué l’Afssaps. « Aucun suivi particulier des patients exposés au Viracept contaminé ne s’avère nécessaire », a-t-elle ajouté. La suspension d’autorisation de mise sur le marché du Viracept a été levée en octobre 2007 en raison des garanties supplémentaires apportées par les laboratoires Roche sur la fabrication.
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