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Revue de presse de Santé tropicale

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Disponibilité des antirétroviraux : la tension baisse

Cameroon tribune | Cameroun | 15/09/2008 | Lire l'article original

Le comité pour l’amélioration de la prise en charge s’est réuni vendredi dernier à Yaoundé. Mis en place en février dernier, le comité de concertation pour une meilleure prise en charge des Personnes Vivant avec le VIH/Sida (PVVS) s’est réuni vendredi dernier. Histoire de jeter un regard sur le chemin parcouru durant les six premiers mois de son existence. Le ministre de la Santé publique, André Mama Fouda, a présidé cette rencontre qui a vu la participation des réseaux d’associations et associations des PVVS.

En terme de bilan, le Dr Elat Nfetam, secrétaire permanent du Comité National de Lutte contre le Sida (CNLS) a parlé entre autres de la baisse du coût des examens biologiques. Des rabais qui sont possibles grâce à une subvention de l’Etat. Il s’agit notamment du bilan d’orientation (2500 F), du bilan thérapeutique (500F) et du bilan semestriel de suivi (3000 F).

Mais on ne pouvait parler de la prise en charge des PVVS sans évoquer le sujet qui fâche : la disponibilité des antirétroviraux (ARV). Un sujet qui a d’ailleurs été à l’origine d’un mouvement d’humeur le 1er septembre dernier. Au regard des interventions des uns et des autres, il s’est avéré que c’est le manque d’information qui a été à l’origine des soulèvements de nombreux malades. Selon Lucie Zambou du Réseau camerounais des personnes vivant avec le VIH/Sida (Recap+), certains n’avaient pas la bonne information et c’est pourquoi ils ont engagé le mouvement du début du mois.

Et de l’avis du Minsanté, outre la restructuration en cours au CNLS, il faut prendre en compte l’augmentation du nombre de malades par rapport aux prévisions 2007. Estimés à 40 000 l’année dernière, les malades sont environ 53 000 en 2008. Quant à l’Efavirenz, une molécule dont le manque était le plus décrié, seuls 22% de malades le prenaient en 2007 contre 40% cette année. Ce qui a pour conséquence directe d’énormes stocks d’autres médicaments non consommés qu’il faut gérer. Les traitements de deuxième ligne par exemple ont entre 38 et 105 mois de surstocks.

Le non respect des prix subventionnés ayant également été évoqué, André Mama Fouda a prescrit des descentes inopinées sur le terrain afin de vérifier, et éventuellement, sanctionner les coupables de tels abus. Quelques pistes de solutions ont été données. Notamment la formation des prescripteurs afin de faire face à la rupture d’un protocole ou d’un autre, l’approvisionnement en protocole de troisième ligne pour venir en aide aux malades ayant développé des résistances. Le ministre a également exhorté à une meilleure communication entre le Minsanté, le CNLS et les associations des PVVS. Cela passant par des rencontres plus régulières du comité de concertation. Afin que, comme a conclu André Mama Fouda, personne ne perde de vue que « nous luttons tous pour la vie ».

Jocelyne NDOUYOU-MOULIOM

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