Accès aux sites pays fleche Santé tropicale au Bénin BENINSanté tropicale au Burkina Faso BURKINA FASOSanté tropicale au Cameroun CAMEROUNSanté tropicale en Centrafrique CENTRAFRIQUESanté tropicale au Congo CONGOSanté tropicale en Côte d'Ivoire COTE D'IVOIRESanté tropicale au Gabon GABON
Santé tropicale en Guinée GUINEESanté tropicale à Madagascar MADAGASCARSanté tropicale au Mali MALISanté tropicale en R.D. Congo R.D. CONGOSanté tropicale au Sénégal SENEGALSanté tropicale au Togo TOGO



ban_jmp_malacur - 25 avril 2024 - Journée mondiale de lutte contre le paludisme

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici

Revue de presse de Santé tropicale

Trier les actualités par :

Dr Charlotte Brulet : C'est une technique de prévention

Mutations | Cameroun | 28/01/2009 | Lire l'article original

La gynécologue obstétricienne parle des risques de l'amniocentèse qu'elle pratique depuis 8ans. Pourquoi pratiquer une amniocentèse ?

C'est d'abord à titre préventif. Cette technologie médicale permet d'éviter aux parents le doute de ne pas pouvoir faire des enfants normaux, d'éviter aux parents de subir toute une vie des difficultés financières, morales et d'être régulièrement déstabilisés parce qu'ils ont un enfant trisomique ou drépanocytaire. Ce n'était pas facile quand nous avons commencé cette expérience à Douala en octobre 2006, mais aujourd'hui nous sommes contents des résultats obtenus même si par rapport à la taille de la population sont encore insuffisants.

Quels risques fait courir la pratique une amniocentèse ?

La réalisation de l'amniocentèse, même conduite dans des conditions de compétence et sécurité maximales, comporte un risque de fausse couche de 0,5 à 1%. Ce risque de fausse couche est maximum dans les 8 à 10 jours suivant l'amniocentèse. C'est pour cela qu'il faut éviter de faire de gros travaux et il est recommandé de se reposer. La fausse couche suite à l'amniocentèse peut se manifester par des douleurs, des saignements ou un écoulement de liquide. La survenue de l'un de ces signes doit amener la patiente à consulter rapidement un médecin. Il faut également noter que certains risques peuvent être favorisés par l'état de la patiente, ses antécédents médicaux ou des traitements pris avant l'opération. C'est pour cela qu'il est impératif d'informer le médecin traitant des antécédents personnels et familiaux de santé et des traitements médicaux en cours. Heureusement depuis que nous avons mis en place le Diagnostic anténatal à Douala, nous n'avons pas encore eu une seule fausse couche.

Propos recueillis par M.O

Lire l'article original

Retour

NEWSLETTER

Restez informés : recevez, chaque mercredi, la lettre d'informations de Santé tropicale. Inscriptions


Vous êtes professionnel(le) de santé ?

Ce contenu gratuit vous est destiné :

img_produit

img_produit

img_produit

img_produit
Téléchargez hearWHO - Pour vérifier l'audition !

img_produit

Vidéo formation

Espace formation Pierre Fabre

vig_webinar15
Prise en charge du paludisme en ASS : Place de la DHA – PQP - Pr Issaka SAGARA et Pr Mahamadou A THERA

encart_diam_cooper
Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays


CONTACTEZ-NOUS

adresse Adresse

  • APIDPM
    135, chemin de Canto Maï
    83190 Ollioules - France

tel Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

email Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation


Site éditeur :
logo

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !