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Le patriote | Côte d'Ivoire | 21/04/2009 | Lire l'article original
En effet, après avoir fait le point de la mise en œuvre de la déclaration de Yamoussoukro de 1998, les chefs d’Etats ont noté « que de grands progrès avaient été accomplis dans la connaissance de la maladie, mais de nombreux autres défis restaient à relever ». Dans la déclaration de Cotonou, ils se sont engagés à réduire les souffrances des malades et à prendre les mesures nécessaires pour appliquer pleinement les stratégies recommandées par l’OMS. Cette déclaration a été lue par le ministre ivoirien de la santé et de l’hygiène publique, le Dr Allah Kouadio Remi. La délégation ivoirienne était conduite par le ministre des affaires étrangères M Youssouf Bakayoko. Elle s’est dite satisfaite de ces assises. La Côte d’Ivoire, depuis 2007, selon le Dr Allah Kouadio, a élaboré un plan national stratégique de lutte contre l’ulcère de Buruli, répondant pleinement à l’esprit de la présente déclaration. « De 9 centres de prise en charge en 2006, nous avons aujourd’hui plus de 231 centres capables de prendre les malades en charges. A cela s’ajoute la formation du personnel sanitaire», a-t-il indiqué. C’est donc en reconnaissance de tous ces efforts, que les participants ont demandé que la déclaration soit lue par le ministre ivoirien, contrairement à la tradition qui veut qu’elle soit lue par le ministre du pays hôte.
Dao Maïmouna (source, service communication MSHP)
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