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Lire le document (PDF UNICEF)
Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
L'éventualité d'une réouverture des hôtels et restaurants a fait croire à plus d'un que le Grand Libreville, et partant le Gabon, serait déconfiné le 25 juin. Alors que la rumeur devient insistante sur les réseaux sociaux, le porte-parole du Comité de pilotage du plan de veille et de riposte contre l'épidémie à Coronavirus (Copil) a indiqué qu'il n'en n'est rien. Cependant des déplacements interurbains pourraient être autorisés à condition de présenter un test Covid-19.
Pas le moindre déconfinement le 25 juin. Le porte-parole du Comité de pilotage du plan de veille et de riposte contre l'épidémie à Coronavirus (Copil) a tranché net le 22 juin. «Il n'y aura pas déconfinement le 25 juin». Depuis l'annonce par le gouvernement d'une possible réouverture des restaurants et hôtels dans le Grand Libreville, certains ont imaginé que le déconfinement interviendra de facto ce 25 juin. A en croire Guy-Patrick Obiang, le gouvernement ne travaille pour l'instant que sur toutes les stratégies relatives à l'allègement d'un certain nombre de mesures de restriction et rien de plus. Ces mesures, a-t-il déclaré, «seront communiquées par le gouvernement le moment venu».
Les 9 provinces du pays sont désormais touchées par la pandémie mais parallèlement, la phase de stabilisation de la situation épidémiologique continue sa consolidation si bien que d'aucuns estiment qu'il est temps de déconfiner. Un point de vue que réfute le Copil. Selon Guy_Patrick Obiang, la transmission communautaire est effective dans les provinces de l'Estuaire et du Haut-Ogooué tandis que dans les autres provinces, il y a uniquement des clusters. «C'est-à-dire, un nombre infime de personnes contaminées par rapport à l'ensemble des populations de ces provinces», a-t-il expliqué. A partir de cet instant, a-t-il ajouté, «une ouverture massive de ces provinces exposera les différentes populations».
Tenant compte de l'organisation des villages dans l'arrière-pays et du nombre important des personnes vulnérables au Covid-19 qui y vient, celles ayant 65 ans et plus, le Copil estime qu'ouvrir les déplacements «c'est mettre en danger ces populations de l'arrière-pays». Cependant, a soutenu Guy-Patrick Obiang, des réflexions sont en cours pour l'allégement de certains déplacements. «Peut-être, à un moment donné nous demanderons dans le cadre du dépistage massif que toutes les personnes qui veulent se rendre à l'intérieur du pays, qui veulent circuler d'une province à une autre puissent d'abord se faire dépister», a-t-il dit. «C'est-à-dire avoir fait un test de dépistage au Covid-19 pour pouvoir circuler. Peut-être qu'on en arrivera là dans le cadre de l'atténuation de certaines mesures de restriction», a-t-il laissé entendre.
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
C'est tout l'objet de ce cours qui se présente sous forme d'un « mini MOOC » qui nécessite 2 heures d'investissement au maximum. Plus d'informations
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