Accès aux sites pays BENIN BURKINA FASO CAMEROUN CENTRAFRIQUE CONGO COTE D'IVOIRE GABON
GUINEE MADAGASCAR MALI R.D. CONGO SENEGAL TOGO
Lire le document (PDF UNICEF)
Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
Le Sénégal a débuté un projet de recherche scientifique sur les molécules pour l'amélioration de la prise en charge des cas graves de la Covid-19. Il s'agit d'une molécule qui a une puissance anti-virale importante in vitro (c'est-à-dire hors laboratoire). Le projet a démarré le 14 août 2020, conformément au protocole de recherche qui a été validé par le Comité d'éthique national pour la recherche en santé.
« Sur le traitement spécifique de la Covid-19, l'association azithromycine et hyrdoxychloroquine s'est avéré efficace », a souligné d'emblée, samedi, le Professeur Moussa Seydi, Chef du Service des Maladies infectieuses de l'hôpital Fann, président du Comité scientifique Covid-19 du ministère de la Santé, responsable de la prise en charge des malades atteints par le coronavirus. Cependant, tient-il à préciser, cette efficacité est évidente « quant il s'agit d'une prise précoce mais elle est moins soutenue dans les formes graves». C'est fort de cette conclusion que l'Institut Pasteur de Dakar et les services des maladies infectieuses et tropicales de Fann ont initié une étude scientifique, en vue d'évaluer l'efficacité d'un médicament, dans les formes sévères. «Il s'agit de médicaments disponibles depuis plus de vingt ans qui a une action anti-coagulante et anti-inflammatoire, efficace chez l'homme » a annoncé le Professeur Seydi au cours d'un point de presse dédié au six mois de lutte contre l'épidémie de Covid-19 au Sénégal.
Ces deux actions sont indispensables dans le cadre de la prise en charge d'une forme grave. C'est d'ailleurs pour cette raison que le Sénégal a inclus dans la prise en charge des malades de Covid, l'utilisation des anti-coagulants et des corticoïdes comme anti-inflammatoires, bien avant, les recommandations de l'Organisation mondiale de la Santé (Oms), expose celui qui est également président du Comité scientifique Covid-19 du ministère de la Santé.
En outre, cette molécule a une puissance anti-virale importante in vitro (c'est-à-dire hors laboratoire). Le projet a démarré le 14 août 2020, conformément au protocole de recherche qui a été validé par le Comité d'éthique national pour la recherche en santé. Le professeur Seydi a vivement remercié le président de la République et le ministre de la Santé et de l'Action sociale pour leur soutien dans la mise en place du projet. Le Sénégal est actuellement le seul pays qui a débuté ce projet de recherche en Afrique.
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
C'est tout l'objet de ce cours qui se présente sous forme d'un « mini MOOC » qui nécessite 2 heures d'investissement au maximum. Plus d'informations
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Actualités
Articles médicaux