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Lire le document (PDF UNICEF)
Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
Le Syndicat national des personnels médico-sanitaires du Cameroun (Synpemps) et le Syndicat national des personnels des établissements/entreprises du secteur de la santé du Cameroun (CAP/santé), dans une correspondance datée du 8 septembre 2021, accusent le directeur général (DG) de l'hôpital général de Yaoundé (HGY) d'« abus de fonction, abus de pouvoir, obligation forcée et illégale de vaccination contre Covid-19 des personnels de santé ».
En effet, dans une note de service datant du 12 août, le directeur de l'HGY, Pr. Vincent de Paul Djientcheu, informe que le personnel non vacciné contre la Covid-19 et sans poste de travail « ne sera plus admis à l'hôpital général de Yaoundé mais continuera à percevoir son salaire sans les compléments liés au travail (primes de rendement, transport, garde, astreinte et technicité) jusqu'à nouvel avis ». La même note indique que le personnel soignant et non soignant non immunisé « ne pourra plus servir dans les endroits où les patients sont précaires (réanimation, hémodialyse, oncologie, urgences…) ».
D'après le DG de l'HGY, cette mesure s'inscrit dans le cadre d'un « redéploiement interne en prélude à la riposte de la troisième vague de la Covid-19 où le variant Delta circule déjà à Douala et Yaoundé ». Le Pr. Vincent de Paul Djientcheu emboîte le pas au ministre de la Santé publique, Manaouda Malachie, qui soulignait au cours d'une rencontre avec des responsables des hôpitaux le 14 juillet dernier : « Sous d'autres cieux, vous avez compris qu'il y a une obligation déjà de vaccination du personnel de santé et que celui qui n'est pas vacciné n'aura pas de salaire ».
Tout en rappelant que le salaire constitue la contrepartie du travail fait et les accessoires une partie intégrante, les syndicats font observer que « le vaccin est un soin qui ne saurait être obligatoire, encore moins une condition au bénéfice des accessoires de salaire ».
Du coup, ils soupçonnent une forme déguisée de discrimination ou de licenciement abusif, surtout qu'ils notent que ni le président de la République, ni le Parlement, ni aucune institution républicaine n'oblige le citoyen à se faire vacciner, se contentant de sensibiliser les populations au respect des mesures barrières.
Et les deux syndicats de s'enquérir : « Cette décision de suspension des accessoires de salaire et d'obligation à se faire vacciner contre la Covid-19 à l'hôpital général de Yaoundé ne masquerait-elle pas une opportunité pour certains de provoquer des soulèvements populaires en commençant par les personnels hospitaliers au Cameroun ? »
D. M.
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
C'est tout l'objet de ce cours qui se présente sous forme d'un « mini MOOC » qui nécessite 2 heures d'investissement au maximum. Plus d'informations
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