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Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
Au moment où le variant Omicron circule dans le pays, les sites de vaccination contre la covid-19 sont de moins en moins fréquentés.
« La moyenne actuelle de 392 personnes vaccinées est la plus basse depuis le début de la vaccination le 24 mars 2021 », soulignait la Coordination nationale de gestion de la pandémie de covid-19 dans le communiqué final de sa réunion du 29 décembre dernier.
Dans les sites de vaccination, cette baisse est observable. Avant l'opération «Coup de poing», le site de vaccination de Makélékélé, à Brazzaville, recevait une soixantaine de personnes par jour. Au moment de l'opération, le nombre avait triplé. « Mais après, jusqu-à ce jour, les gens viennent se faire vacciner au compte-gouttes : moins de trente par jour», à en croire le chef dudit centre, le Dr Guy Serge Mahoungou. La réalité est la même dans plusieurs autres sites de vaccination, à travers la capitale, dont celui de Blanche-Gomes qui, au début de la vaccination en mars 2021, était l'un des plus fréquentés de la ville capitale. Dans ce site, 450 personnes pouvaient se faire vacciner par jour surtout au moment de l'opération "Coup de poing». Actuellement, le nombre a baissé jusqu'à atteindre difficilement cinquante personnes, selon les explications du superviseur Josh Mebri.
Visiblement, la fin de l'opération «Coup de poing» a réduit l'engouement des citoyens à se faire vacciner. Le pays a connu les taux les plus élevés de vaccination au cours de cette opération, avec 6 622 vaccinations journalières. Mais aujourd'hui, le relâchement se fait constater non seulement par rapport aux mesures barrières mais également par rapport à la vaccination. La majorité de ceux qui se vaccinent actuellement le fait parce que confrontée soit à un voyage qui oblige la présentation d'une preuve de vaccination, soit encore à une autre opération similaire.
Rominique Makaya
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
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