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Virus Ebola : Suivez l'actualité de l'épidémie


La fin de l'épidémie à virus Ebola n'est pas pour maintenant !

Un nouveau cas de maladie à virus Ebola a été confirmé aujourd'hui à Beni, en République démocratique du Congo (RDC).



EBOLA : ce que vous devez savoir si vous voyagez

Recommandations de l'OMS lorsque vous voyagez à destination ou en provenance des pays touchés par Ebola

EBOLA : ce que vous devez savoir si vous voyagez

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Avant votre départ, il convient de :

Sources : France diplomatie


Série documentaire

Brut, consacre une série documentaire aux ravages du virus Ebola en RDC

Episode 1


Episode 2


Episode 3

10 points essentiels* sur Ebola

*selon l'Institut de veille sanitaire


1. Le virus Ebola n’est pas naturellement présent en Europe. A ce jour, aucune personne ne s’est jamais infectée en dehors du continent africain.
2. Les personnes infectées ne peuvent pas transmettre le virus avant le début des symptômes.
3. La transmission du virus nécessite un contact physique rapproché avec une personne infectée présentant des symptômes ou un contact avec des surfaces souillées par les liquides biologiques de la personne (vomissements, linge par exemple).
4. Le virus Ebola n’est pas transmis par voie aérienne comme la grippe (dans les transports en commun, par exemple), ni par des vecteurs tels que les insectes.
5. La durée d’incubation de la maladie (période entre la contamination et le début des symptômes) est habituellement de quelques jours mais peut durer jusqu’à 3 semaines.
6. Les hémorragies ne sont pas présentes au début de la maladie, mais peuvent apparaître au bout de quelques jours, quand la maladie évolue.
7. Le virus est détruit par les solutions hydro-alcooliques (pour la peau) et par l’eau de javel diluée à 0,5% (pour les surfaces).
8. Il n’existe à ce jour pas de vaccin ni de médicaments spécifiques d’efficacité prouvée contre l’infection.
9. Il n’existe pas de moyen permettant de dépister ou de diagnostiquer l’infection avant le début des symptômes.
10. La prise en charge des personnes malades le plus tôt possible après le début des symptômes augmente les chances d’évolution favorable de la maladie.

Dossier : Fièvre Hémorragique Virale (FHV) à virus Ebola


ACTUALITES


Il n’y a plus assez de vaccin contre l’Ebola en Afrique pour stopper l’épidémie - Radio Canada International - Canada - 08/07/2019

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) rapporte que près de 147 000 personnes ont reçu le vaccin contre l’Ebola de conception canadienne depuis que le ministère de la Santé du Congo a déclaré la découverte d’un vaste foyer d’infection il y a 11 mois. Le microbiologiste et chercheur Gary Kobinger, un des Canadiens qui a participé à la conception de ce vaccin, affirme cependant qu’il n’y en a pas assez pour stopper l’épidémie actuelle. La demande est forte et croissante, car les agents de santé essaient de traiter ceux qui sont entrés en contact avec des personnes qui ont été infectées.

Le virus Ebola est très contagieux. Pour l’endiguer, les agents de santé utilisent une méthode de vaccination en anneau. Tout d’abord, ils vaccinent le cercle immédiat, soit ceux qui ont eu un contact direct avec une personne infectée. Puis ils partent, offrant le vaccin à tous ceux qui sont en contact avec ceux du premier anneau.

L’épidémie se propage

Selon l’OMS, près de 2400 personnes ont été infectées et plus de 1600 sont mortes de la fièvre hémorragique au Congo. Il y a de nouvelles inquiétudes que l’épidémie pourrait se propager dans les pays voisins, depuis l’arrivée d’une femme infectée près de la frontière ougandaise et sud-soudanaise la semaine dernière.

La femme a parcouru plus de 460 kilomètres depuis sa ville natale de Beni, au Congo, jusqu’au carrefour frontalier très fréquenté. Lorsqu’elle est tombée malade, elle a révélé que ses enfants avaient tous succombé récemment à l’Ebola.

Elle est ensuite décédée elle-même dans ce qu’on appelle la zone de santé d’Ariwara, qui partage une frontière avec le district d’Arua en Ouganda.

Succès en laboratoire puis sur le terrain

Le vaccin rVSV-ZEBOV a été partiellement mis au point par une équipe du Laboratoire national de microbiologie de Winnipeg et avait donné des résultats prometteurs lorsqu’il avait été utilisé en 2015, lors de la plus importante éclosion d’Ebola de l’histoire en Afrique occidentale. Le vaccin est maintenant fabriqué par Merck et sa production prend près d’un an.

En 2016, le fabricant de médicaments avait conclu un accord avec la Vaccine Alliance à Genève pour maintenir un stock de 300 000 doses en cas d’épidémie.

Mais « 300 000 doses ne suffisent plus », déclare le microbiologiste et chercheur Gary Kobinger, qui suit l’épidémie depuis le Centre de recherche sur les maladies infectieuses de l’Université Laval, à Québec. « Il faudrait atteindre un million, sinon deux millions de personnes. »

Le porte-parole de Merck, Skip Irvine, affirme pour sa part que l’entreprise a récemment décidé de tripler ses stocks au cours des 18 prochains mois. « Nous avons maintenant amplifié notre engagement pour 850 000 (doses). »

Skip Irvine indique que les responsables de son entreprise sont arrivés à ce chiffre après avoir consulté l’OMS, les Centers for Disease Control des États-Unis et d’autres parties intéressées quant à ce qui, selon eux, sera nécessaire dans l’éventualité où l’épidémie se poursuivrait.

RCI avec les informations de Katie Nicholson CBC News et la contribution de Radio-Canada

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