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Un nouveau cas de maladie à virus Ebola a été confirmé aujourd'hui à Beni, en République démocratique du Congo (RDC).
Recommandations de l'OMS lorsque vous voyagez à destination ou en provenance des pays touchés par Ebola
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Sources : France diplomatie
Brut, consacre une série documentaire aux ravages du virus Ebola en RDC
Episode 1
Episode 2
Episode 3
*selon l'Institut de veille sanitaire
1. | Le virus Ebola n’est pas naturellement présent en Europe. A ce jour, aucune personne ne s’est jamais infectée en dehors du continent africain. |
2. | Les personnes infectées ne peuvent pas transmettre le virus avant le début des symptômes. |
3. | La transmission du virus nécessite un contact physique rapproché avec une personne infectée présentant des symptômes ou un contact avec des surfaces souillées par les liquides biologiques de la personne (vomissements, linge par exemple). |
4. | Le virus Ebola n’est pas transmis par voie aérienne comme la grippe (dans les transports en commun, par exemple), ni par des vecteurs tels que les insectes. |
5. | La durée d’incubation de la maladie (période entre la contamination et le début des symptômes) est habituellement de quelques jours mais peut durer jusqu’à 3 semaines. |
6. | Les hémorragies ne sont pas présentes au début de la maladie, mais peuvent apparaître au bout de quelques jours, quand la maladie évolue. |
7. | Le virus est détruit par les solutions hydro-alcooliques (pour la peau) et par l’eau de javel diluée à 0,5% (pour les surfaces). |
8. | Il n’existe à ce jour pas de vaccin ni de médicaments spécifiques d’efficacité prouvée contre l’infection. |
9. | Il n’existe pas de moyen permettant de dépister ou de diagnostiquer l’infection avant le début des symptômes. |
10. | La prise en charge des personnes malades le plus tôt possible après le début des symptômes augmente les chances d’évolution favorable de la maladie. |
Washington est disposé à capitaliser l'élan déjà pris ainsi que les progrès réalisés, au plan local, dans la lutte contre la maladie, a assuré le secrétaire du département de la Santé et des services humains des Etats-Unis d'Amérique à Kinshasa, Alex Azar, après l'entretien qu'il a eu avec le chef de l'Etat, Félix Tshisekedi, le 13 septembre, au Palais de la nation.
Se confiant à la presse, Alex Azar s'est félicité de la qualité des échanges avec Félix Tshisekedi, en présence du ministre de la Santé, Eteni Longondo. « Je suis très heureux d'avoir rencontré, pour la deuxième fois, le président Félix Tshisekedi. Cela m'a permis de lui transmettre les salutations chaleureuses de son homologue Donald Trump ». Les Etats-Unis, a-t-il ajouté, sont très engagés au côté de la République démocratique du Congo (RDC), non seulement dans le cadre de la lutte contre la maladie à virus Ebola, mais surtout, « pour participer au renforcement du système de santé dans son ensemble ».
Vantant la longévité de la collaboration que son pays entretient avec la RDC dans le domaine sanitaire, Alex Azar a indiqué qu'elle se poursuivra sans relâche jusqu'au traitement du dernier sujet atteint du virus Ebola. Par la voix de leur secrétaire d'Etat, les Etats-Unis d'Amérique affichent, d'ores et déjà, leur disponibilité à soutenir financièrement la RDC dans ses efforts visant l'éradication de cette maladie.
Tout en rappelant que son pays est le plus grand partenaire d'aide de la RDC dans la lutte contre Ebola, Alex Azar a indiqué que les Etats-Unis ont déjà contribué, dans ce cadre, pour environs cent cinquante millions de dollars. A cela s'ajoutent deux cent trente millions de dollars d'aide destinés au développement du vaccin et à l'élaboration d'une thérapeutique appropriée, mais aussi à la création des Centres de traitement et de dépistage de cette épidémie.
Partenaires importants dans le domaine de la santé dans plusieurs Etats africains et grands donateurs à l'Organisation mondiale de la santé, les Etats-Unis, a-t-il indiqué, sont prêts à soutenir le renforcement des capacités dans la filière médicale via la formation des prestataires afin de développer la résilience du pays face aux épidémies de toute nature.
Par Alain Diasso
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