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Publié dans Médecine du Maghreb 157 - Juin 2008 - pages 9-14
Article Open access
Auteurs : O. MAHMOUD - Maroc
L’existence d’une tumeur cérébrale chez un malade avec des troubles psychiques peut amener à confondre des troubles psychiques d’origine tumorale avec une maladie psychiatrique et notamment l’hystérie.
L’hystérie se prête mal à une clinique qui s’élabore avec des critères objectifs facilement authentifiables. Elle peut apparaître comme un défi à la médecine et ses signes sont variables, inconstants et labiles.
Elle est l’entité psychiatrique considérée comme la grande simulatrice et au moment ou le terme hystérie est employé par un soignant, ceci signifie malheureusement une connotation fortement péjorative et rejoint la simulation et la fausse maladie. L’hystérique souffre réellement mais est dans la difficulté de l’exprimer. La conversion hystérique est réservée pour désigner des signes cliniques qui ne peuvent pas être rattachés à une maladie connue. C’est un diagnostic d’élimination.
Ce travail sera illustré par une observation clinique qui va mettre en garde contre toute "psychiatrisation" d’un trouble neurologique juste parce que le malade est connu pour être suivi en psychiatrie ou ayant des traits de personnalité particulières.
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