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Publié dans Médecine du Maghreb 157 - Juin 2008 - pages 21-25
Article Open access
Auteurs : A. BOUGTEBA, A. BASIR, H. BELAIDI, F. LAHJOUJI, B. KABLY, R. OUAZZANI - Maroc
Introduction : Les épilepsies partielles, par leurs fréquences et leurs difficultés thérapeutiques qu’elles posent, constituent un problème majeur de santé publique. C’est parmi elles que se recrute un grand nombre d’épilepsie pharmaco-résistantes. De plus, il y a un problème d’identification des crises partielles contrairement aux crises généralisées spectaculaires facilement identifiées ce qui explique la proportion surprenante des crises généralisées dans notre contexte.
Objectifs : Rapporter les différents traitements classiques des épilepsies partielles utilisées dans notre contexte, ainsi que les difficultés thérapeutiques et les comparer aux nouveaux antiépileptiques.
Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective sur période de 1 an allant de 2003 à 2004, portant sur 230 cas de patients vus en consultation et colligés au service de neurophysiologie. Tous les patients ont bénéficié d’un interrogatoire se basant sur les données anamnestiques (âge, sexe, monothérapie, bithérapie, effets indésirables, évolution immédiate et à long terme).
Résultats : Nous avons trouvé dans notre étude 128 hommes et 102 femmes. L’âge moyen de début dans notre série était de 16,4 ans. Nous avons utilisé soit une monothérapie, soit une polythérapie. La carbamazépine était le médicament le plus utilisé (42 % des malades). Le recours à la bithérapie était faible dans notre série (21 % des cas). L’association PB-TEG a été utilisée.
Conclusion : Il n’a été retenu pour un grand nombre de malades que la généralisation secondaire c’est ainsi que les crises partielles complexes sont fréquemment sous évaluées. Dans les épilepsies partielles la reconnaissance de certains éléments cliniques et surtout Electroencéphalogramme (EEG) précoce devrait inciter à envisager une thérapeutique autre que médicamenteuse en particulier chirurgicale.
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