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Publié dans Médecine du Maghreb 181 - Novembre 2010 - pages 38-44

Conjoints de bipolaires et qualité de vie note

Article Open access

Auteurs : ELLOUZE F., AYADI S., CHANOUFI L., MASMOUDI S., M’RAD M.F. - Tunisie


Résumé

Objectif : Evaluer la qualité de vie d’une population de conjoints de patients bipolaires.
Matériels et méthodes : Nous avons mené une étude transversale où nous avons colligé un groupe composé de 50 conjoints de patients suivis pour trouble bipolaire I selon les critères de DSM IV. L’évaluation de la qualité de vie a été réalisée par la passation de l’échelle de qualité de vie : SF-36. Cette échelle comporte 36 questions réparties en huit dimensions.
Résultats : L’analyse des variations des scores moyens des huit dimensions de la SF-36 de l’ensemble des conjoints a montré que seules 2 dimensions étaient préservées dont la santé physique (D1) et la D2. Apres standardisation il s’avère que toutes les dimensions étaient aussi altérées hormis deux : santé physique (D1) et la vie et relation avec les autres (D6). Dans notre étude, une qualité de vie altérée était corrélée au sexe féminin, pas au sexe masculin, un nombre d’enfants supérieur à 1, un bas niveau socioéconomique, une méconnaissance de la maladie avant le mariage, une durée d’évolution dépassant 10 ans, un nombre d’hospitalisation supérieur à 1, un suivi irrégulier et à une mauvaise observance du traitement.
Discussion : La femme serait plus exposée à la stigmatisation, au stress engendré par les différents rôles et les difficultés financières. Notre contexte socioculturel lui impose de ne point se séparer de son mari malade, elle aurait de ce fait une qualité de vie plus altérée. La méconnaissance de la maladie peut être envisagée sous le même angle puisqu’elle signifie que le conjoint n’a pas choisi de vivre avec le patient bipolaire. Il s’agit d’une situation qui lui a été imposée.
Conclusion : La reconnaissance des facteurs contribuant à l’altération de la qualité de vie des conjoints pourra nous permettre d’atténuer leurs effets par des mesures préventives.

Summary
Bipolars’ spouse quality of life

Objective: To assess the quality of life of a population of spouses of bipolar patients.
Materials and methods: We conducted a study including 50 spouses of patients followed for bipolar I disorder according to DSM IV criteria. Evaluating the quality of life has been achieved by the scale of quality of life: SF-36. This scale contains 36 questions divided in 8 dimensions.
Results: The analysis of the variations of the 8 dimensions mean scores of all spouses showed that only 2 dimensions were preserved : physical health (D1) and D2. After standardization, we noted that all dimensions were altered except 2 : physical health (D1) and life and relation to others (D6). The quality of life was impaired in most spouses. Impaired quality of life was associated to sex, the number of children, lew socioeconomic level, a poor compliance.
Discussion: Woman seems to be more exposed to stigmatisation, to stress engendered by her different roles and financial difficulties. Women are forced by our socio-cultural context not to leave their diseased husband, so, her quality of life is more affected. Ignorance of the disease can be seen from the same angle because the spouse doesn’t choose to live with a bipolar patient. This situation is set to her.
Conclusion: Considering the consequences that may have the appearance of bipolar disorder on the patient’s spouse, certain measures must be proposed to improve their quality of life.

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