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Publié dans Médecine du Maghreb 119 - Septembre 2004 - pages 32-34
Article Open access
Auteurs : H. KISRA, A. MANALI, A. BLAACHA, J.E KTIOUET, M. PAES, R. MOUSSEDAQ - Maroc
A partir d’une observation portant sur une jeune fille de 14 ans épileptique, présentant un état psychotique, nous rappelons le concept de psychose alternative et la relation soulignée dès le XIXe siècle entre la maladie épileptique et les manifestations schizophréniques.
En 1934, VON MEDUNA propose pour la première fois la convulsivothérapie dans le traitement des psychoses schizophréniques à la suite de plusieurs observations montrant une amélioration de certains patients lorsque ceux-ci font des crises comitiales.
LANDOLT décrit en 1953 «la normalisation forcée» : il s’agit d’une amélioration de l’enregistrement électro-encéphalique chez des patients épileptiques au cours d’épisodes psychotiques. Par la suite, TELLENBACH propose le terme de «psychose alternative« voulant ainsi insister sur l’absence clinique de crise d’épilepsie durant ces épisodes psychotiques aigus. Il affine aussi leur description symptomatique.
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