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Revue de presse de santé tropicale

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Le ministre Bininga : « Au 19 janvier, tous les lits sont occupés dans nos deux principaux centres »

Les dépêches de Brazzaville | Congo-Brazzaville | 26/01/2021 | Lire l'article original

Le ministre de la Justice, des droits humains et de la Promotion des peuples autochtones, Aimé Ange Wilfrid Bininga, qui défendait le projet de loi portant prorogation de l'état d'urgence sanitaire le 22 janvier dernier devant les deux chambres du Parlement, a indiqué que le relâchement des mesures barrières est la principale cause du rebond de la pandémie de Covid-19.

« Au mois d'août, nous étions en train de sortir progressivement et de bonne manière. Le relâchement que nous avons observé depuis le mois d'août est la principale cause du rebond observé, particulièrement au mois de décembre. Au 19 janvier, nous avons remarqué que nos deux principaux centres, notamment Brazzaville et Pointe-Noire, tous les lits sont occupés », a expliqué le ministre devant les députés et sénateurs réunis en session extraordinaire.

Selon lui, tous les pays misent actuellement sur la prévention en commençant par le port obligatoire et conforme des masques. Des mesures qui ne sont pas strictement observées en République du Congo. Ainsi, la responsabilité est partagée entre la population, les pouvoirs publics ainsi que les acteurs politiques et de la société civile. « Chacun de nous doit rappeler l'intérêt pour nous d'observer les mesures barrières. Les autres pays sont répartis aux mesures de durcissement telles que le couvre-feu à 18 heures et le reconfinement de la population. Ne cherchons pas que nous revenions là », a prévenu Aimé Ange Wilfrid Bininga, insistant sur le respect des mesures barrières en attendant le vaccin.

Présidant les travaux de la neuvième session extraordinaire, le 1er vice-président de l'Assemblée nationale, Léon Alfred Opimbat, a rappelé que, loin d'être une formalité, encore moins une routine, la 15e prorogation de l'état d'urgence sanitaire devrait appeler à une prise de conscience. « L'Afrique est menacée avec une deuxième vague de contamination et le Congo vit une tendance à la remontée de la pandémie. Sans risque de nous tromper, l'heure est donc grave, ceux qui vivent sont ceux qui luttent. Notre mission consiste à continuer à sensibiliser nos mandants pour les préserver de cette pandémie », a-t-il souligné.

Le président du Sénat, Pierre Ngolo, a, de son côté, déclaré que la dixième session extraordinaire de cette institution venait, une fois de plus, de donner au gouvernement l'outil juridique lui permettant d'intensifier l'action urgente, coordonnée et d'envergure à la pandémie de Covid-19. C'est ainsi qu'il a appelé le gouvernement et l'ensemble des institutions de la République à tout entreprendre pour faire face à l'impératif catégorique de sécurisation des citoyens du Congo. « Nous exhortons les pouvoirs publics à prendre les dispositions nécessaires à l'accélération, au déploiement de la campagne de vaccination, avec une priorité donnée aux personnes présentant une pathologie à très haut risque de forme grave de la maladie et à celles les plus vulnérables », a-t-il invité.

S'agissant des parlementaires, Pierre Ngolo a rappelé qu'ils doivent renforcer la proximité avec les citoyens afin toujours de leur donner la bonne information sur la pandémie. Quant aux citoyens, ils auraient tort de lésiner sur l'effort à fournir pour comprendre que les différentes mesures prises le sont pour l'intérêt de tous et pour la sécurité des uns et des autres. « Toute gesticulation, toute légèreté devant l'application des règles établies expose au désastre toute la société. …La mobilisation générale pour une action plus efficace contre la maladie qui est loin de s'essouffler est exigée », a conclu Pierre Ngolo.

Parfait Wilfried Douniama

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