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B.M. Diallo, F.A. Faye, J.N.D. Ndour, A.D. Gueye, Z. Marone, Y. Ndiaye, A. Wade, A. Sow, A.I. Thiam, S. Bacourine, M. Ndao, H. Dione, K. Sow, H. Elame, A. Berthé, P.S. Touré, M.M. Diop, M.M. Ka - Sénégal Publié dans Médecine d'Afrique francophone 7206 - Juin 2025 - pages 347-358 - Lire l'article
P.S Dabo, M.M Sow, K.M Bouassalo, B. Cisse, K. Badji, A. Toure, N. Thioune, P.I Kamara, M. Gueye, B.K Djeredou, El.H.B Mbodj - Sénégal Publié dans Odonto-Stomatologie tropicale N° 190 - Volume 48 - Juin 2025 - 5-10 - Lire l'article
Les pathologies chroniques, telles que le diabète, l'hypertension artérielle, les maladies cardio-vasculaires, les maladies respiratoires chroniques, la maladie rénale chronique, les cancers, l'hémophilie, la drépanocytose, la santé occulaire, les traumatismes et les troubles mentaux nécessitent un suivi médical régulier et une adhésion continue aux traitements prescrits. Cependant, la complexité des soins et le manque de connaissances des patients sur leur propre état de santé peuvent compromettre leur prise en charge.
L'éducation thérapeutique du patient (ETP) est une « méthode d'apprentissage structurée et centrée sur la personne », qui soutient les patients vivant avec une maladie dans « l'auto-prise en charge » de leur santé, par le recours à leurs propres ressources et avec l'appui de leurs soignants et de leur famille.
Elle est dispensée par des professionnels de santé qualifiés et repose sur diverses interventions visant à promouvoir l'autonomie dans la gestion de la maladie. Lire la suite
Les inhibiteurs des SGLT2 (dapagliflozine, empagliflozine…) offrent bien plus qu’un contrôle glycémique : ils réduisent aussi la mortalité, les complications rénales et l’insuffisance cardiaque, y compris chez les non-diabétiques. En Afrique, où le diabète progresse rapidement et les complications sont plus sévères, ces molécules représentent une avancée majeure.
Malgré leur coût, leurs bénéfices à moyen terme sont considérables. Leur bonne tolérance en fait une solution adaptée aux réalités africaines.
👉 Une opportunité à intégrer dans les stratégies locales de prise en charge du diabète. Voir cette vidéo
Les inhibiteurs SGLT2, tels que la dapagliflozine, montrent des bénéfices rénaux significatifs, réduisant la progression de la maladie rénale et la mortalité. Les recommandations de la Société africaine de néphrologie et de KDIGO soulignent l'utilisation de ces médicaments chez les patients diabétiques et non diabétiques avec un DFG supérieur à 20 ml/min et une albuminurie élevée.
Malgré leur coût élevé, ces traitements offrent des avantages substantiels pour retarder la dialyse et améliorer la qualité de vie des patients. Voir cette vidéo
Les rubriques « Spécialités » sont des espaces spécialisés. On y trouve toutes les rubriques du site général mais concentrées sur un seul sujet.
Le paludisme est votre sujet favori ? La rubrique « Paludisme » est faite pour vous !
Actuellement disponibles : Cancérologie - Cardiologie - Dermatologie - Diabète - Douleur - Infectiologie - ORL - Paludisme - Pédiatrie - Pharmacie - Pneumologie -
La SFETD a élaboré des recommandations professionnelles concernant les douleurs neuropathiques chroniques (de durée au moins égale à trois mois) de l'adulte et de l'enfant. Ces recommandations sont destinées à l'ensemble des professionnels de santé confrontés aux douleurs neuropathiques en ambulatoire : généralistes, neurologues, rhumatologues, gériatres, odontologistes, kinésithérapeutes et infirmiers.
10/07/2025 - Horizons - Algérie
L’arrêt brutal du soutien financier des États-Unis à la lutte contre le sida menace d’effacer deux décennies de progrès mondiaux, alerte un rapport de l’Onusida présenté ce jeudi en Afrique du Sud. L’agence onusienne parle d’une véritable « bombe à retardement » pour la santé publique mondiale. - Lire l'article
Dr Djédi Kaba Diakité : « l'assistance médicale à la procréation, du pain béni pour l'humanité » - Lire l'article
Paludisme : Le décryptage du génome d'Anopheles funestus ouvre de nouvelles voies de lutte - Lire l'article
Lutte contre l’infertilité: Deux établissements sanitaires unissent leurs forces dans l’accompagnement des couples - Lire l'article
Bruno Mortemousque - La revue du praticien - (Actualités)
Bien que rare, cette pathologie peut entraîner des complications oculaires, voire une cécité si elle n’est pas reconnue et traitée rapidement. Sa prise en charge est délicate, avec un risque iatrogène important. Cette fiche aborde les signes d’appel, les diagnostics différentiels, les comorbidités et les grandes lignes du traitement.
La kératoconjonctivite vernale est une affection rare, avec une prévalence de 1 à 5/10 000.1 Elle semble plus fréquente sous des climats chauds et ensoleillés, le rayonnement ultraviolet (UV) agissant comme un facteur déclenchant des poussées. Cela explique une fréquence supérieure des atteintes dans les régions du sud de l’hémisphère Nord. Elle touche plus particulièrement les enfants et pose de réels problèmes aux patients et à leurs familles.
La kératoconjonctivite vernale fait partie des atteintes allergiques oculaires. Celles-ci regroupent les conjonctivites médiées par les immunoglobulines de type E (IgE), les kératoconjonctivites atopiques, les kératoconjonctivites vernales et les blépharoconjonctivites de contact (eczéma de contact).
L'appellation « kératoconjonctivite » signe à la fois une atteinte conjonctivale et une atteinte cornéenne responsable des signes et symptômes de gravité qui la définissent. Contrairement aux conjonctivites allergiques, la kératoconjonctivite vernale peut induire des baisses d'acuité visuelle définitives, soit par les atteintes cornéennes et l'amblyopie qu'elles provoquent, soit par la pathogénicité des corticoïdes qu'elle nécessite le plus souvent pour sa prise en charge.
La physiopathologie est complexe. Elle fait intervenir une réponse de type cellulaire (lymphocytes T et éosinophiles) plus ou moins associée à un mécanisme IgE-médié (lymphocytes B, mastocytes et IgE spécifiques), ainsi qu'à des facteurs génétiques et hormonaux. Ainsi, la concentration observée des androgènes circulantes chez les sujets atteints est inférieure à celle des sujets sains, suggérant un rôle de ces hormones dans sa pathogénie ou sa gravité...
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