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StopBlaBlaCam | Cameroun | 13/06/2024 | Lire l'article original
À l’Assemblée nationale, ce 12 juin a été consacré à une « Journée parlementaire spéciale sur le paludisme ». Dans son allocution d'ouverture, Malachie Manaouda (photo), le ministre de la Santé publique (Minsante), a informé les députés que chaque année, les formations sanitaires du pays accueillent près de 3 millions de cas de paludisme. Cela représente environ 40 % des hospitalisations. Chez les enfants de moins de 5 ans, cette proportion est encore plus élevée, atteignant 68 %, selon le ministre.
Le ministre a rappelé que le gouvernement s'engage à réduire le nombre de cas de paludisme à l'échelle nationale, soulignant que cette maladie cause environ 2 000 décès chaque année. Selon le ministre, la stratégie gouvernementale vise à « assurer un accès universel et équitable aux interventions de prévention et de prise en charge les plus efficaces contre le paludisme, à un coût abordable pour toute la population camerounaise, y compris les plus vulnérables et défavorisés ».
Il n'est donc pas surprenant que le Minsante ait inclus le paludisme dans la première phase du programme de Couverture Santé Universelle (CSU), lancé l'année dernière. Ce programme promet de fournir des soins de qualité aux populations camerounaises, en mettant l'accent sur les groupes les plus vulnérables. Le panier de soins de la CSU inclut le traitement du paludisme chez les enfants de moins de 5 ans et les femmes enceintes, considérés comme les plus exposés.
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