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 Santé mentale / Classement des articles « Santé mentale »

Les mieux notés - Les plus commentés

Top 10 des articles les plus lus

Classé N° 1 sur 24 articles

Trouble stress post-traumatique chez les conducteurs de taxi-motos de Lomé (Togo) : prévalence et facteurs associés

S. Salifou, D. Wenkourama, S. Kanekatoua, C. Aff, G. Bawi, K.S. Dassa - Togo
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 7012 - Décembre 2023 - pages 691-700

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Introduction : Le Trouble Stress Post-Traumatique (TSPT) est un état psychopathologique qui se développe et persiste au-delà d’un mois suite à l’exposition à un événement traumatique comme les accidents de la route. L’objectif de cette étude était d’estimer la prévalence du TSPT chez les Conducteurs de Taxi-Motos (CTM) de Lomé et de déterminer les facteurs associés.

Cadre et méthode : Il s’est agi d’une étude transversale à visée descriptive et analytique portant sur le TSPT chez les CTM de Lomé, menée du 1er septembre 2022 au 30 novembre 2022. Ont été inclus dans cette étude, tout conducteur de taxi-moto de Lomé, tout sexe et âge confondu, en service libre ou appartenant à toute société pendant la période d’étude ; et ayant donné son consentement libre et éclairé pour participer à l’étude.

Résultats : L’âge moyen des CTM était de 34,7 ± 8,9 ans avec des extrêmes de 18 et 65 ans. Un bas niveau d’instruction était observé (collège 28,7%, primaire 19,7%, non-scolarisé 13,7%) chez ces CTM. Trois cent quinze CTM (82,9%) avaient été exposés aux accidents graves de la route. Le TSPT actuel avait représenté 5,1% des CTM exposés à un évènement traumatique. Le TSPT passé était de 7,3%. Les facteurs de risques du trouble stress post-traumatique chez les conducteurs de taxi-motos étaient la provenance des zones hors de Lomé (Ora = 9.20 ; IC95% :1.29-77.4 ; p = 0.025), avoir été victime directe d’un évènement traumatisant (Ora = 7.34, IC95% : 3.38-16.7 ; p < 0.001) et avoir vécu un nombre d’évènements traumatisant supérieur à 2 (Ora = 3.67 ; IC95% : 1.42-9.70 ; p = 0.007).

Conclusion : Les résultats de cette étude vont servir de base à une réflexion sur l’organisation d’une prise en charge psychologique des conducteurs exposés aux évènements traumatisants au Togo.

Mots clés :

Trouble stress post-traumatique, prévalence, facteurs associés, conducteurs, taxi-moto

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Classé N° 2 sur 24 articles

Evaluation de la qualité de vie des personnes vivant avec le virus de l’immunodéficience humaine à Antananarivo

Rakotoarivelo RA, Ramanalimanana P, Andrianasolo R, Razafimahefa SH, Randria MJD - Madagascar
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 5802 - Février 2011 - pages 100-104

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Les Personnes Vivant avec le Virus Immunodéficience Humaine (PVVIH), ne sont pas confrontées seulement à des problèmes médicaux mais aussi à des problèmes sociaux et psychologiques liés à leur maladie et au traitement antirétroviral qui pourraient interférer avec leur Qualité de Vie (QdV). Une étude transversale a été menée auprès des PVVIH sous traitement Antirétroviral (ARV) et suivis à Antananarivo. Nous avons utilisé l’instrument générique, Medical outcome study short from-12 item health survey (MOS SF-12). Notre objectif était d’évaluer le retentissement de l’infection VIH/SIDA et du traitement antirétroviral sur la QdV des PVVIH. Trente et un patients ont participé à cette étude, l’âge moyen était de 39,09 ans et le sex-ratio de 1,21. Le score moyen avait montré une composante physique (PCS) plus altérée que la composante psychique (MCS), avec des scores respectifs de 44,1 et 50,2. Aucune corrélation n’était constatée entre la QdV et l’activité sexuelle. Les 16,1% des PVVIH qui avaient besoin d’aide permanente avaient aussi la QdV la plus altérée (PCS à 39,75 et MCS à 43,50). Les antirétroviraux étaient bien supportés dans 93,5% des cas. Ils avaient amélioré la QdV de 93,5% des PVVIH.

Mots clés : VIH/SIDA, antirétroviraux, qualité de vie, Antananarivo,

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Classé N° 3 sur 24 articles

Risque suicidaire chez les élèves scolarisés à Parakou (Bénin) en 2021

I.N.E. Ataigba, K.F.B. Adeossi, D.S. Koivogui, M.R. Koulodji, D.M. Awohouedji, D. Moussa, A. Djidonou, L. Anagonou, E. Fiossi Kpadonou - Bénin
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 7102 - Février 2024 - pages 123-132

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Introduction : Le suicide considéré comme un problème de santé publique, est néanmoins en grande partie évitable (OMS). La dépression, le désespoir, la faible estime de soi, les difficultés socioéconomiques, les difficultés scolaires etc. sont des facteurs qui peuvent facilement fragiliser un individu entraînant un risque suicidaire. La couche juvénile faisant partie des personnes à risque, la présente étude s’est proposée d’étudier le risque de suicidaire chez les adolescents scolarisés à Parakou.
Méthodes : Il s’est agi d’une étude transversale, descriptive à visée analytique menée de décembre 2020 à novembre 2021. La technique d’échantillonnage utilisée a été le tirage aléatoire stratifié. Etaient inclus dans l’étude les élèves en classes de troisième (3ème), seconde (2nd), première (1ère) et Terminale (Tle) inscrits au cours de l’année académique 2020-2021 Le risque suicidaire a été évalué avec le Mini International Neuropsychiatrie Interview (MINI).
Résultats : Au terme de cette étude 702 élèves ont été inclus. L’âge moyen des enquêtés dans était de 17 ans ± 1,90 avec une médiane de 18 ans et des extrêmes de 14 ans et 25 ans. Une prédominance masculine a été notée (52,71%) avec une sex-ratio (H/F) à 1,11. La prévalence du risque suicidaire globale était estimée à 12,54% (88 adolescents sur 702). Ce risque global peut être qualifié de léger dans 59,09% des cas (52 adolescents sur 88), moyen dans 22,73% des cas (20 adolescents sur 88) et élevé dans 18,18% des cas (16 adolescents sur 88). A l’analyse multivariée, plusieurs facteurs étaient associés : la violence subie au cours de l’enfance, la maltraitance, la violence des pairs à l’école, la dépression, antécédent familial de tentative de suicide, antécédent familial de suicide, comportement des éducateurs, et la baisse de performance scolaire.
Conclusion : Les résultats obtenus révèlent que plus d’un élève sur dix présente un risque suicidaire. Plusieurs facteurs associés au risque de suicide chez les élèves peuvent être influencés. Il s’avère donc indispensable de mener à divers niveaux, des actions efficaces pour prévenir le passage à l’acte au sein de cette couche juvénile qui porte l’espoir de toute une nation.

Mots clés :

Risque suicide, adolescents, scolaire, Bénin, 2021

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Classé N° 4 sur 24 articles

Intérêt de l’apport de pidolate de magnésium dans le sevrage alcoolique

J.M. Yeo-Tenena, N.D. N’Guessan, M.S.P. Konan, T.A. Salami, M. Ovoundard, E. Konan - Côte d'Ivoire
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 6006 - Juin 2013 - pages 251-255

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Introduction : Les auteurs rapportent leur expérience de l'utilisation du pidolate de magnésium par voie orale (MAG 2® ampoule buvable sans sucre) dans le sevrage alcoolique.
Patients et méthode : il s'agit d'une étude prospective descriptive portant sur 38 patients alcooliques qui ont reçu pendant 10 mois du Mag2® ampoule buvable sans sucre associé au traitement classique (le diazépam et la thiamine pour le sevrage alcoolique et l'acamprosate comme médicament d'aide au maintien de l'abstinence). Le critère de jugement a été la baisse de l'intensité du syndrome de sevrage et la présence ou non de rechute.
Résultats : Notre étude a concerné 38 patients alcooliques connus et régulièrement suivis répartis en 32 hommes (84.21 %) et 6 femmes (15.79%) avec un sex-ratio de 5.33. L'âge moyen de patients était de 28.6 ans avec des extrêmes de 16 ans et 46 ans. 86,4% de nos patients ont fait l'objet d'un sevrage ambulatoire.
Conclusion : Le pidolate de magnésium (Mag2® ampoule buvable sans sucre) nous a donné satisfaction dans la prise en charge du sevrage alcoolique.

Mots clés : alcoolisme, sevrage, Mag2®,

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Classé N° 5 sur 24 articles

La dépression chez les hémodialysés chroniques

N.D. Ndiaye-Ndongo, O.M. Samba, A. Sylla, M.H. Thiam, B. Diouf - Sénégal
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 6212 - Décembre 2015 - pages 603-608

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L'hémodialyse a modifié le pronostic de l’insuffisance rénale chronique. La prise en charge de troubles dépressifs pourrait toutefois améliorer le pronostic.
L'objectif de notre travail était d’estimer la prévalence de la dépression, chez une population de patients insuffisants rénaux chroniques en hémodialyse.
Nous avons mené une étude descriptive transversale de janvier 2012 à mai 2014 à l’unité d’hémodialyse du service de néphrologie de l’hôpital Aristide Le Dantec.
L’échelle d’autoévaluation de la dépression de Beck, dans sa version simplifiée, a été utilisée.
La prévalence de la dépression selon l’échelle abrégée de Beck, dans cette population, était de 57,8%. Chez 58.8% des patients déprimés on retrouvait une dépression légère. Deux patients avaient une dépression sévère. Une dépression modérée était notée chez 18 patients (37,5%).
La prise en charge des insuffisants rénaux en hémodialyse doit intégrer le traitement de la dépression.

Mots clés : Dépression, insuffisance rénale chronique, hémodialyse, prévalence

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Classé N° 6 sur 24 articles

Médicaments prescrits dans le traitement de la démence au Centre Neuro-Psycho-Pathologique de l’Université de Kinshasa

R. Akweni Lusaki, G. Mananga Lelo, F. Nsuadi Manga - Congo-Kinshasa
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 6803 - Mars 2021 - pages 141-147

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Objectif : Répertorier les médicaments utilisés dans le traitement de la démence au centre neuro-psycho-pathologique de l’Université de Kinshasa.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective réalisée au centre neuro-psycho-pathologique de l’Université de Kinshasa de janvier à mars 2016. Elle a porté sur 154 patients déments ayant consulté durant l’année 2015. Les médicaments prescrits ont été répertoriés à partir de leurs fiches de traitement.
Résultats : La prévalence des patients déments était de 13,4%. Leur âge variait entre 26 et 86 ans avec un sex-ratio de 1H:1F. L’acide acétylsalicylique, la citicoline, le piracétam, la trypsine et la chymotrypsine, les Omega 3, les vitamines, les oligoéléments, les électrolytes et les minéraux étaient les médicaments utilisés. Ces médicaments étaient prescrits pour leurs effets antiagrégants plaquettaires ou antioxydants ou comme oxygénateurs cérébraux ou suppléments nutritifs. Ils ne présentent pas d'indications dans la démence mais peuvent néanmoins agir sur certains symptômes.
Conclusion : Cette étude révèle qu’aucun médicament anti-démentiel spécifique n’a été utilisé chez les patients déments reçus au centre neuro-psycho-pathologique de l’Université de Kinshasa.

Mots clés :

Démence, médicaments, anticholinelinestérasiques, centre neuro-psycho-pathologique, République démocratique du Congo

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Classé N° 7 sur 24 articles

Difficultés diagnostiques de la fièvre typhoïde en milieu urbano-rural congolais. Etude menée à Kalemie, province du Tanganyika (République Démocratique du Congo)

H. Kabemba Bukasa, S. Mukena Tchioni, J. Pungue Kabiswe, D. Ngiele Mposhi, J. Namutarutwa, C. Kasolva Tshinkobo - Congo-Kinshasa
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 6405 - Mai 2017 - pages 263-270

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Introduction : La fièvre typhoïde est un problème de santé publique qui affecte surtout la population des pays en voie de développement suite aux déficits des mesures d’hygiène. L’objectif de cette étude consistait à déterminer ses modalités diagnostiques.
Patients, matériel et méthodes : C’est une étude rétrospective, descriptive et analytique de 2013 à 2014 à l’hôpital général de référence de Kalemie (RD Congo). Elle concernait les cas diagnostiqués et traités de fièvre typhoïde en médecine interne et pédiatrie.
Résultats : La fréquence des patients chez qui le diagnostic de la fièvre typhoïde a été évoqué représente 3,3% avec 3,0% en pédiatrie et 4,1% en médecine interne. Les enfants étaient les plus affectés, surtout de sexe féminin. La clinique restait dominée par la fièvre, asthénie physique, anorexie, céphalée et troubles digestifs. Le test de Widal-Félix sur plaque a été demandé dans 82,9% avec 70,1% de positivité alors que 17,1% des patients étaient diagnostiqués sur base des arguments cliniques. Il a été noté une forte association diagnostique (traitée) paludisme-fièvre typhoïde (73,8%).
Conclusion : Dans notre série, le diagnostic de la fièvre typhoïde pose de sérieux problèmes liés notamment aux explorations de biologie médicale. Cette dernière devrait contribuer à appuyer la clinique. Les efforts devraient être fournis pour améliorer le diagnostic et prise en charge adéquate des patients, épargnant ainsi au malade des antibiothérapies inutiles.

Mots clés :

Fièvre typhoïde, Kalemie, ISTM, RDC, Widal

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Classé N° 8 sur 24 articles

Prévalence de la dépression et facteurs associés chez les patients tuberculeux au Sud Bénin en 2019

A.P. Wachinou, L. Anagonou, E. Klikpo, H. Loko, V. Sekpon, G. Agodokpessi, C. Merle, D. Affolabi - Bénin
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 6811 - Novembre 2021 - pages 651-661

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Contexte : La dépression lorsqu’elle est associée à la tuberculose (TB) peut être source de résultats défavorables de traitement, d’augmentation du risque de transmission communautaire de la TB de d’émergence de bacilles pharmacorésistants. Il n’existe, à notre connaissance, pas de données sur cette association morbide au Bénin.
Objectif : Déterminer la prévalence et les facteurs associés à la dépression chez les patients tuberculeux au Bénin.
Méthode : Il s’agit d’une étude transversale qui a été menée de janvier à juin 2019. L’étude s’est déroulée dans les trois plus grands centres de prise en charge de la tuberculose (TB) au Bénin à savoir : le Centre National Hospitalier Universitaire de Pneumophtisiologie de Cotonou, le Centre Hospitalier de Pneumophtisiologie Akron de Porto-Novo et le centre de dépistage et de traitement d’Abomey-Calavi. Etaient inclus dans l’étude, les patients âgés de 18 ans et plus qui ont été diagnostiqués avec une TB pulmonaire bactériologiquement confirmée (TPB+). La dépression a été évaluée à l’aide l’échelle de dépression de Hamilton (EDH).
Résultats : Au total, 300 patients TBP+ ont été recrutés. La moyenne d’âge était de 37,19 ± 13,05 ans. Le sex-ratio (H/F) était de 2,15. Les patients ayant un niveau d’instruction primaire étaient les plus représentés avec 32%. Un tiers des patients étaient célibataires (33,7%) et 44% avaient perdu leur activité génératrice de revenus. La dépression était retrouvée chez 24,3% des patients. Dans l’analyse multivariée, l’âge (25-34 ans, Ora = 5,15, IC 95% [1,54-17,21]) ; (35-44 ans, Ora = 4,13, IC 95% [1,23-13,85]) ; (≥ 55 ans, Ora = 4,86, IC 95% [1,46-16,10]) ; la modalité de prise en charge (ambulatoire Ora = 3,05, IC95% [1,29-7,19]) ; (CTDO, Ora = 5,74, IC 95% [2,60-12,68]) ; l’attitude de l’entourage (indifférence, Ora = 11,19, IC 95% [2,12-59,07] ; l’abandon, Ora = 4,87, IC 95% [1,68-14,08]) ; le sentiment de honte face à la TB (Ora = 2,05, IC 95% [1,08-3,89]), étaient associés à la dépression chez les patients tuberculeux.
Conclusion : La prévalence de la dépression est élevée chez les patients tuberculeux. Il est donc nécessaire de mettre en place un système de prise en charge permettant un accompagnement psychologique de ces patients.

Mots clés :

Tuberculose, dépression, prévalence, facteurs associés, Bénin

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Classé N° 9 sur 24 articles

Violences au travail observées dans le service de psychiatrie du CHU de Brazzaville Congo

Mouanga A, Comlan P, Bandzouzi-Ndamba B, Ve D, Taboa, Mambouj B, Kone D, Delafosse RCJ - Congo-Brazzaville
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 5807 - Juillet 2011 - pages 353-362

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La violence sur les lieux du travail a été observée dans les services de psychiatrie depuis de nombreuses années. L’objectif de cette étude était de décrire les situations de violence sur les lieux du travail, le vécu des victimes et les pratiques de prise en charge chez les travailleurs du service de psychiatrie du Centre Hospitalier et Universitaire de Brazzaville (CHUB) au Congo.
Nous avons utilisé un auto-questionnaire standardisé de type semi-directif. Nous avons interrogé 21 travailleurs sur 27 (77,8% de l’effectif) qui ont subi en 2007, une situation de violence physique, verbale et/ou sexuelle occasionnée par les patients hospitalisés en psychiatrie ou leurs accompagnants.
Les résultats mettent en évidence le fait que vingt travailleurs (95,2%) interrogés ont vécu, durant leur travail en psychiatrie, des événements de violences au travail, un des six travailleurs (30%) n’a pas pu obtenir de l’aide au moment de l’agression, seule une victime (5%) a bénéficié d’une prise en charge psychologique après l’événement violent. Les violences sont survenues fréquemment durant les visites de routine surtout lorsque les agents de santé se retrouvaient isolés durant les permanences ou les gardes. Le déficit en personnel a facilité les actes de violences au travail qui étaient répartis en violences verbales (13 fois), violences physiques (12 fois) et violences sexuelles (2 fois). Les lésions psychologiques les plus graves étaient de type stress post traumatique.
Pour éviter la survenue d’autres agressions, les victimes ont proposé des stratégies de prévention qui seront prises en compte pour rédiger des procédures. Nous recommandons une évaluation et une réorganisation de l’environnement de travail pour une meilleure prévention de la violence dans le service de psychiatrie.

Mots clés : violence au travail, service de psychiatrie,

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Classé N° 10 sur 24 articles

Profil socio-démographique et clinique des patients observés en consultation externe de psychiatrie au Congo-Brazzaville

A.M. MOUANGA, D.A. MISSONTSA - Congo-Brazzaville
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 5205 - Mai 2005 - pages 279-282

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Les auteurs rapportent les résultats d’une étude rétrospective effectuée sur 215 patients vus en consultation externe de psychiatrie au CHU de Brazzaville dans la seule unité spécialisée qui existe au Congo Brazzaville.
Les patients sont essentiellement congolais, jeunes (la moyenne d’âge est de 33 ans), chrétiens et résidant à Brazzaville.
Les dépressions nerveuses (30,2 %), les épilepsies (14,9 %), les psychoses délirantes aiguës (13,5 %), les céphalées tensives (8,4 %) représentent les diagnostics les plus fréquents suivis par les schizophrénies qui semblent moins fréquentes (5,1 %) que dans les séries ouest africaines.
Les névroses classiques (obsessions, phobies, hystéries) sont rares de même que les consultations pour sevrage d’une toxicomanie.

Mots clés : consultation externe, psychiatrie, diagnostics, Afrique noire, Congo,

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