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Médecine d'Afrique Noire

Médecine d'Afrique Noire N° 5905 - Mai 2012

Médecine d'Afrique Noire

N° 5905 - Mai 2012

Editeur : APIDPM Santé tropicale
Langue(s) de publication : Français
Edition papier : ISSN 0465-4668
Edition électronique : ISSN 2490-9971
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Il y a actuellement 2393 articles.


Archives (par année de publication)

Sommaire du N° 5905 - Mai 2012

Monsieur Gora Lô Prévalence de l’antigène de surface du virus de l’hépatite B (AgHBs) chez les femmes enceintes au laboratoire de l’hôpital Militaire de Ouakam (HMO), Dakar
G. Lô, P.S. Diawara, N.N Diouf, B. FAYE, M.C. Seck, K. Sow, S.M. Sarre, H.D. Ndiaye, N.C. Toure Kane, S. Mboup - Sénégal - pages 241-244


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Monsieur Gora Lô Prévalence de l’antigène de surface du virus de l’hépatite B (AgHBs) chez les femmes enceintes au laboratoire de l’hôpital Militaire de Ouakam (HMO), Dakar Prévalence de l’antigène de surface du virus de l’hépatite B (AgHBs) chez les femmes enceintes au laboratoire de l’hôpital Militaire de Ouakam (HMO), Dakar est évalué 2,77777777777778 étoiles

Auteurs : G. Lô, P.S. Diawara, N.N Diouf, B. FAYE, M.C. Seck, K. Sow, S.M. Sarre, H.D. Ndiaye, N.C. Toure Kane, S. Mboup - Sénégal
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5905 - Mai 2012 - pages 241-244


Résumé

Introduction : Par sa fréquence et son endémicité, l’hépatite virale B a suscité beaucoup de travaux de recherche en zones intertropicales. L’Afrique de l’Ouest en particulier est bien connue comme une zone à forte endémicité pour cette affection. Elle demeure pourtant une des affections virales les plus prévalentes en milieu hospitalier. L’objectif de cette étude est de déterminer la séroprévalence de l’antigène de surface du virus de l’hépatite B (AgHBs) chez les gestantes reçues au laboratoire de l’Hôpital Militaire de Ouakam entre décembre 2006 et novembre 2010.
Matériels et méthode : Dans cette étude, 2635 gestantes ont été testées pour l’Ag HBs et leur sérums ont été analysés par les kits du Cobas e411 des laboratoires de Roche et des Kits de Hepa-nostika® HBs Ag Uni-Form II du laboratoire Organon Tecknika.
Résultats : Parmi les 2635 gestantes testées pour l’antigène HBs, trois cent huit étaient positives pour l’antigène HBs soit une séroprévalence de 11,57%. La moyenne d’âge de la population d’étude était de 28,4 [14-45 ans]. La séroprévalence des femmes porteuses d’AgHBs était plus élevée dans la tranche d’âge [21-30 ans] avec un taux de 49%.
Conclusion : Cette étude confirme la forte prévalence d’antigène de surface de l’hépatite B chez les femmes enceintes.


Summary
Prevalence of antigen of the hepatitis B virus (HBsAg) in the pregnant woman in the laboratory of Military Hospital Ouakam, Dakar, Senegal

Introduction: By its frequency and its endemicity, hepatitis B virus generated a lot of research in the area tropics. West Africa is particularly well known as a highly endemic area for this disease. Yet it is one of the most prevalent viral diseases in hospitals. The objective of this study is to determine the seroprevalence of HbsAg among the pregnant women received in the laboratory of the Military Hospital of Ouakam between December 2006 and November 2010.
Materials and methods: The study involved 2635 pregnant women whom blood samples were collected. HBs-Ag detection was made according to ELISA technique (kit of the Cobas e411) from Roche Laboratories and Kit Hepanostika® HBsAg Uni-Form II Laboratory Tecknik Organon.
Results: Three hundred and eight were positive for HBsAg out of the 2635 pregnant women, or a seroprevalence of 11.57%. The average age of this study population was 28.4 [14-45 years]. The prevalence (49%) of pregnant women carrying the HBsAg was higher in the age group [21-30 years].
Conclusion: This study confirm, the pregnant women high prevalence of surface antigen of hepatitis B.



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Docteur Marie-Louise Bassene L’oesophagite peptique dans le centre d’endoscopie digestive du Chu Aristide Le Dantec de Dakar : aspects épidémiologiques, cliniques et endoscopiques à propos de 380 cas
M.L. Bassène, M.L. Diouf, D. Dia, A.V. Ould Mohamed, M. Mbengue, B. Beye, S. Diallo, A. Halim - Sénégal - pages 245-250


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Docteur Marie-Louise Bassene L’oesophagite peptique dans le centre d’endoscopie digestive du Chu Aristide Le Dantec de Dakar : aspects épidémiologiques, cliniques et endoscopiques à propos de 380 cas L’oesophagite peptique dans le centre d’endoscopie digestive du Chu Aristide Le Dantec de Dakar : aspects épidémiologiques, cliniques et endoscopiques à propos de 380 cas est évalué 1 étoiles

Auteurs : M.L. Bassène, M.L. Diouf, D. Dia, A.V. Ould Mohamed, M. Mbengue, B. Beye, S. Diallo, A. Halim - Sénégal
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5905 - Mai 2012 - pages 245-250


Résumé

Introduction : La prévalence du reflux gastro-oesophagien (RGO) et de l’oesophagite peptique (OP) semblent augmenter dans les pays occidentaux ; les OP sévères et leurs complications y sont fréquentes. En Afrique, les études montrent globalement une rareté des OP sévères. Notre objectif était de déterminer la prévalence et les profils épidémiologiques, cliniques et endoscopiques de l’OP chez les patients reçus pour endoscopie digestive haute au CHU Aristide Le Dantec de Dakar.
Matériel et méthode : Il s’agissait d’une étude rétrospective couvrant la période du 1er janvier 2005 au 31 décembre 2008. Tous les patients présentant une oesophagite peptique ont été inclus. L’âge, le sexe, les indications de l’endoscopie digestive haute, la description de l’oesophagite peptique selon la classification de Savary-Miller et les lésions oesogastroduodénales associées ont été étudiés.
Résultats : Nous avons inclus 380 patients. Leur âge moyen était de 46 ans [extrêmes 12-90 ans]. Il y avait 212 hommes et 168 femmes (sex-ratio = 1,2). Les indications de l’endoscopie étaient dominées par les épigastralgies (60%). Le pyrosis était présent chez 21% des patients. Les OP étaient classées comme suit : stade I = 45,8%, stade II = 25,7%, stade III = 11,1% et stade IV = 17,4%. Il y avait 22 cas d’ulcères peptiques, 33 cas de sténoses oesophagiennes et 11 cas d’endo-brachyoesophage. Une hernie hiatale était associée à l’OP chez 125 patients soit 32,9% ; un ulcère gastrique était présent dans 39 cas (10,3%) et une sténose pyloro-duodénale dans 22 cas (5,8%). Des séances de dilatation endoscopique par bougies de Savary-Gilliard ont été réalisées chez 20 patients qui présentaient une sténose peptique. Le nombre moyen de séances de dilatation était de 3 et l’intervalle entre les dilatations de 4 semaines en moyenne.
Conclusion : La prévalence des OP est stable dans le centre d’endoscopie digestive de l’hôpital Aristide Le Dantec au cours de ces dix dernières années. Cependant on note une nette augmentation des formes sévères avec apparition de l’endobrachyoesophage et des sténoses oesophagiennes.


Summary
Peptic esophagitis in the digestive endoscopy center of university hospital Aristide Le Dantec of Dakar: epidemiological, clinical and endoscopic aspects about 380 cases

Introduction: Prevalence of gastroesophageal reflux disease (GERD) seems to increase in the western countries; severe peptic esophagitis (PO) and its complications are frequent in this area. In Africa, the studies show globally a rarity of severe PO. The aim of our study was to determine prevalence and epidemiological, clinical and endoscopic profiles of PO in patients received for upper digestive endoscopy in the University Hospital Aristide Le Dantec of Dakar.
Materials and method: It was about a retrospective study covering the period from January 2005 to December 2008. All patients with peptic esophagitis were included. Age, sex, and indications of upper digestive endoscopy, description of peptic esophagitis in Savary-Miller classification and esogastric injuries associated were studied.
Results: We included 380 patients. Their mean age was 46 years [extremes 12-90 years]. There were 212 men and 168 women (sex-ratio = 1,2). The indications of endoscopy were dominated by epigastralgia (60%) and pyrosis (21%). PO was classified as follows: stage I = 45,8%, stage II = 25,7%, stage III = 11,1% and stage IV = 17,4%. There were 22 cases of peptic ulcers, 33 cases of peptic stenosis and 11 cases of Barrett’s esophagus. A hiatal hernia was associated with PO in 125 patients (32,9%); a gastric ulcer was present in 39 cases (10,3 %), and gastric outlet obstruction in 22 cases (5,8%). Sessions of endoscopic dilatation with Savary-Gilliard bougies were performed in 20 patients who presented peptic stenosis. The mean number of sessions of dilatation was 3 and the mean interval between dilatations was 4 weeks.
Conclusion: Prevalence of PO is stable in the digestive endoscopy center of the University Hospital Aristide Le Dantec during these last ten years. However we note a clear increase of the severe forms with appearance of Barrett’s esophagus and esophageal stenosis.



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L’Initiative contre les maladies Diarrhéiques et Entériques en Afrique : Une contribution à la lutte contre le choléra
A.L. Assogba, E. Ehui, M.F. Maiga, B. Mibulumukini, C.T. N’Dour, E. N’Guetta Niamke Eboua, R.V. Randremanana, J. Sehonou, E. Seukap, J. Taguebue, K. Toure, L. Hessel et les membres d’IDEA - France - pages 251-257


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L’Initiative contre les maladies Diarrhéiques et Entériques en Afrique : Une contribution à la lutte contre le choléra L’Initiative contre les maladies Diarrhéiques et Entériques en Afrique : Une contribution à la lutte contre le choléra est évalué 1 étoiles

Auteurs : A.L. Assogba, E. Ehui, M.F. Maiga, B. Mibulumukini, C.T. N’Dour, E. N’Guetta Niamke Eboua, R.V. Randremanana, J. Sehonou, E. Seukap, J. Taguebue, K. Toure, L. Hessel et les membres d’IDEA - France
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5905 - Mai 2012 - pages 251-257


Résumé

Les maladies diarrhéiques représentent la troisième cause de décès par maladie infectieuse après les maladies respiratoires et le SIDA. Parmi elles, le choléra est toujours un problème majeur de santé publique. L’Organisation Mondiale de la Santé estime entre 3 et 5 millions le nombre de cas de choléra enregistrés tous les ans dans le monde et de 100.000 à 120.000 le nombre de personnes qui meurent de cette maladie.
Cette situation est particulièrement critique dans la plupart des pays de l’Afrique sub-saharienne où la maladie sévit sur les modes endémiques et épidémiques, avec des taux de mortalité encore trop élevés malgré les efforts engagés aux niveaux nationaux et internationaux. Il est nécessaire que des acteurs sanitaires du continent africain se mobilisent pour contribuer à l’amélioration de cette situation.
C’est pourquoi l’Initiative contre les maladies Diarrhéiques et Entériques en Afrique (IDEA), constituée d’acteurs sanitaires et scientifiques de 7 pays francophones (Bénin, Cameroun, Côte d’Ivoire, Madagascar, Mali, République Démocratique du Congo et Sénégal) s’est réunie à Dakar, Sénégal, du 7 au 10 novembre 2011, puis à Accra, Ghana, du 25 au 27 avril 2012.

Après avoir analysé la situation de façon globale et au niveau des situations locales, il s’est fixé pour mission de contribuer à la lutte contre le choléra et les maladies diarrhéiques. En tant que groupe consultatif, multidisciplinaire et indépendant, l’IDEA s’emploiera à réfléchir, analyser, mobiliser, sensibiliser, conduire et/ou soutenir toutes les initiatives nécessaires à la réussite de sa mission. Il le fera à travers une approche multisectorielle basée sur son expertise, la collecte et l’analyse de faits objectifs, et des échanges avec les partenaires nationaux et internationaux impliqués dans la lutte contre ce fléau. Dans les 12 mois à venir, IDEA va mettre en place un plan d’action dans les domaines qu’il estime prioritaires tels que l’évaluation du poids réel du choléra sur les plans sanitaires, économiques, sociaux et culturels, les efforts de recherche opérationnelle et les approches nécessaires à la sensibilisation des décideurs et des acteurs de terrain afin de disposer des ressources nécessaires à la lutte contre cette maladie.


Summary

Enteric diseases represent the third cause of death by infectious diseases in the world just after respiratory diseases and HIV. Among them, cholera remains a major public health issue. The World Health Organization (WHO) estimates that 3 to 5 million cholera cases occur every year, leading to 100.000 to 120.000 deaths. This situation is critical in Sub-Saharan Africa where the disease is both endemic and epidemic. Despite current national and international efforts, the morbidity and mortality rates remain high and represent a significant burden in the region. To contribute to the improvement of the situation a unified group of 11 scientific and medical experts from 7 French-speaking African countries (Benin, Cameroon, Ivory Coast, Madagascar, Mali, Democratic Republic of Congo and Senegal) convened in Dakar, Senegal in November 2011 and in Accra, Ghana in April 2012, to constitute the Initiative against Diarrheal and Enteric diseases in Africa (IDEA) and to set up its work plan.

Following an in-depth analysis of global and local situations, it decided to contribute to improve the control and prevention of cholera in the region. As an independent, multidisciplinary group, the IDEA will share information, analyze relevant issues, raise disease awareness and suggest appropriate measures in order to support formulating policies required to improve disease control and prevention in the region. The Bureau will work through a multi-sectorial approach based on its expertise, through the collection, analysis and dissemination of evidence-based data and by establishing linkages with national and international stakeholders involved in the fight against this scourge. Within the coming year, IDEA is going to implement a plan of action focusing on some priority areas such as the assessment of the actual medical, public health, socio-economic and cultural burden of cholera, the identification of the needs for operational research efforts and the best advocacy approaches to improve awareness of decision-makers and field actors to allocate necessary resources to support cholera and enteric diseases management, control and prevention.



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Docteur Albert Nkoy Mwembo-Tambwe Connaissances, attitudes et pratiques des prestataires des soins de la salle d’accouchement sur la prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant à Lubumbashi
N.A. Mwembo-Tambwe, P. Kalenga, P. Donnen, F. Chenge, P. Humblet, M. Dramaix, P. Buekens - Congo-Kinshasa - pages 259-268


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Docteur Albert Nkoy Mwembo-Tambwe Connaissances, attitudes et pratiques des prestataires des soins de la salle d’accouchement sur la prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant à Lubumbashi Connaissances, attitudes et pratiques des prestataires des soins de la salle d’accouchement sur la prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant à Lubumbashi est évalué 1,75 étoiles

Auteurs : N.A. Mwembo-Tambwe, P. Kalenga, P. Donnen, F. Chenge, P. Humblet, M. Dramaix, P. Buekens - Congo-Kinshasa
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5905 - Mai 2012 - pages 259-268


Résumé

Objectif : Evaluer le niveau de Connaissance, Attitude et Pratique (CAP) des prestataires des maternités en rapport avec la Prévention de la Transmission du VIH de la Mère à l’Enfant (PTME) à Lubumbashi.
Méthodologie : Ce travail repose sur une étude transversale descriptive réalisée dans 27 maternités de Lubumbashi en avril 2010. L’échantillon était constitué de 153 prestataires travaillant dans ces maternités et qui ont été interrogés sur leur CAP en rapport avec la PTME. Pour faire cette évaluation, un score de 24 points a été classé en «suffisant» ou « insuffisant» selon qu’il était d’au moins 12 ou inférieur à 12.
Résultats : Le niveau de CAP de la PTME des prestataires des maternités à Lubumbashi est suffisant dans seulement 8,5% des cas. La proportion de prestataires avec un niveau CAP suffisant était significativement plus élevé chez les universitaires que chez les non universitaires (Odds Ratio ajusté [ORa] = 8,6 ; Intervalle de Confiance [IC] 95% : 1,6-47,5) et dans les maternités où la PTME était intégrée (OR = 4,5 ; IC 95% : 1,3-18,4).
Conclusion : Le niveau de Connaissance, Attitude et Pratique en matière de PTME est très bas chez les prestataires affectés dans les maternités à Lubumbashi. Il y a nécessité d’organiser des formations pour les prestataires de ces services.


Summary
Knowledges, attitudes and practices of labor room care providers about prevention of mother to child transmission of HIV in Lubumbashi

Objective: To estimate the level of Knowledge, Attitude and Practices (KAP) of health providers in Lubumbashi labor rooms about Prevention of Mother-to-Child Transmission of HIV (PMTCT).
Methods: This is a cross-sectional survey made up of 153 nurses/midwives, who were working in 27 Lubumbashi hospitals maternities in April 2010. Data were collected through the use of a self administered questionnaire on PMTCT. A scale of 24 points was classified “sufficient” or “insufficient” when the score was above 12 or lower than 12, respectively.
Results: The level of KAP of the PMTCT of Lubumbashi hospital maternities health providers was sufficient in only 8.5%. The level of KAP was significantly more important among the university educated health providers (Adjusted Odds Ratio [AOR] 8.6; Confidence Interval [CI] 95 %: 1.6-47.5) and in the hospitals where the PMTCT was integrated (AOR=4.5; CI 95%: 1.3-18.4).
Conclusion: The level of Knowledge, Attitude and Practices in PMTCT is very low among health providers in Lubumbashi hospital maternities. There is a need to organize training for the health providers of these services.



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Monsieur  Koffi Didier Ayena Prévalence du trachome dans la population infantile de la région des Savanes du Togo
K.D. Ayena, K.S. Koffi, A. Amza, K.D. Azoumah, K. Dzidzinyo, M. Banla, K.P. Balo - Togo - pages 269-274


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Monsieur  Koffi Didier Ayena Prévalence du trachome dans la population infantile de la région des Savanes du Togo Prévalence du trachome dans la population infantile de la région des Savanes du Togo est évalué 1 étoiles

Auteurs : K.D. Ayena, K.S. Koffi, A. Amza, K.D. Azoumah, K. Dzidzinyo, M. Banla, K.P. Balo - Togo
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5905 - Mai 2012 - pages 269-274


Résumé

Objectif : Décrire la prévalence du trachome dans la population infantile de la région des Savanes.
Matériels et méthodes : Une enquête transversale descriptive a été réalisée dans 4 districts sanitaires de la région des Savanes, en novembre 2009. Dans chacun des 2 villages de l’aire sanitaire de chaque unité de soins périphérique (USP), 15 écoliers âgés de 6 à 9 ans puis 35 enfants de la communauté âgés de 1 à 5 ans ont été examinés à la recherche de signes de trachome à l’aide d’une lampe torche couplée d’une loupe de magnification 2.5x.
Résultats : Au total 6 700 enfants ont été examinés dans 134 villages des aires sanitaires de 67 USP. Parmi les 4 690 enfants âgés de 1-5 ans, 121 présentaient une inflammation trachomateuse folliculaire (TF), 21 une inflammation trachomateuse intense (TI) et 1 une cicatrice trachomateuse (TS), soit un taux de prévalence de 3,05%. Parmi les 2010 écoliers 52 présentaient TF et 25 TI soit un taux de prévalence de 3,83%. Le taux de prévalence du trachome actif est de 3,27 % dans la population infantile de cette région.
Conclusion : Cette enquête nous a permis de savoir que le trachome actif existe encore dans cette région. Une autre enquête sera réalisée pour évaluer la prévalence chez les sujets adultes afin de disposer d’une base de données plus complète en vue des actions ultérieures d’élimination du trachome dans cette région.


Summary
Prevalence of trachoma in the infantile population of Savannah’s region of Togo

Aim: To describe the prevalence of the trachoma in the infantile population of Savannah’s area.
Materials and methods: A descriptive cross sectional investigation was conducted in 4 health districts of Savannah’s region, in November 2009. In each of the 2 villages of the sanitary area of every peripheral health unit (PHU), 15 schoolchildren from 6 to 9 years and 35 children of the community aged from 1 to 5 years were examined for signs of trachoma using a flashlight coupled with a binocular loupe (2.5x magnification).
Results: Total 6,700 children were examined in 134 villages of the sanitary areas of 67 PHU. Among 4,690 children aged 1-5 years, 121 showed follicular trachoma inflammation (TF) and 21 intense trachoma inflammation (TI) and 1 trachoma scar (TS), corresponding to 3.05% of prevalence rate. Among the 2,010 schoolchildren, 52 presented TF and 25 TI corresponding to 3.83 % of prevalence rate. The prevalence rate of the active trachoma was 3.27 % of the infantile population of this region.
Conclusion: This survey allowed us to know that active trachoma still exists in this region. Another survey will be conducted to determine the prevalence among the adult subjects in order to have a more complete database for subsequent actions of elimination of trachoma in this region.



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Docteur Kadiatou Doumbia L’ascite, une complication péjorative chez le cirrhotique en milieu tropical, au Mali
K. Doumbia, M. Diarra, A. Konate, H. Sow, A. Soukho, A. Kalle, M. Dembele, H.A. Traore, M.Y. Maiga - Mali - pages 274-278


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Docteur Kadiatou Doumbia L’ascite, une complication péjorative chez le cirrhotique en milieu tropical, au Mali L’ascite, une complication péjorative chez le cirrhotique en milieu tropical, au Mali est évalué 2,33333333333333 étoiles

Auteurs : K. Doumbia, M. Diarra, A. Konate, H. Sow, A. Soukho, A. Kalle, M. Dembele, H.A. Traore, M.Y. Maiga - Mali
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5905 - Mai 2012 - pages 274-278


Résumé

But : Le but de cette étude était d’évaluer le pronostic de l’ascite chez le cirrhotique.
Méthodes : L’étude était prospective portant sur les patients ayant une cirrhose décompensée sur le mode ascitique dans le service d’hépato-gastroentérologie du CHU Gabriel Touré de novembre 2007 à mai 2009. Les malades étaient examinés et bénéficiaient d’examens à visées diagnostique et pronostique. Le suivi des malades a duré de 3 à 12 mois.
Résultats : Cent-cinq malades étaient inclus. L’âge moyen était de 43,8 ± 15,09 ans et le sex-ratio était 2,28 en faveur des hommes. L’évolution était marquée par la survenue des complications graves dont une encéphalopathie hépatique (31 cas), une ascite réfractaire (15 cas), une infection du liquide d’ascite (15 cas), une hémorragie digestive (34 cas), un carcinome hépatocellulaire (2 cas) et un syndrome hépatorénal (1 cas). La mortalité entre 3 et 12 mois était de 73%. Les signes cliniques à l’inclusion et le score de Child Pugh étaient significativement associés à cette mortalité.
Conlusion : La cirrhose est une maladie grave, et l’ascite en est une complication redoutable. La prévention des infections par les virus des hépatites B et C pourrait réduire la mortalité de cette affection.


Summary

Objective: Our main objective was to evaluate the prognosis of ascite in cirrhotic patients.
Methods: This study was prospective including patients having decompensated cirrhosis with ascitis in the hepato gastro enterology unit of the UTH Gabriel Touré of Bamako from November 2007 to December 2009. The patients were examinated and underwent examinations for diagnosis and prognosis. Patients follow up lasted from 3 to 12 months.
Results: 105 patients were included. The average age was 43 ± 15.09 years and sex ratio was 2.28 for men. The evolution was marked by the occurrence of serious complications such are hepatic encephalopathy (31 cases), refractory ascites (15 cases), infectious ascite (15 cases), digestive haemorrage (34 cases), hepatocellular carcinoma (2 cases) and hepatorenal syndrome (1 case). The mortality between 3 and 12 months was 73%. The clinical signs and Child Pugh’s staging were significantly associated with this mortality.
Conclusion: Cirrhosis is a serious disease, and the ascites is frightening complication. The prevention of hepatis B and hepatitis C virus infection may reduce mortality of this disease.



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Docteur Nobila Valentin Yaméogo La fibrillation atriale non valvulaire. A propos de 118 observations colligées au CHU de Dakar
N.V. Yameogo, A. Mbaye, P. Thiombiano, L.J. Kagambega, S. Pessinaba, M.B. Ndiaye, M. Bodian, M. Kane, D. Diagne-Sow, B. Diack, A. Kane - Sénégal - pages 279-284


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Docteur Nobila Valentin Yaméogo La fibrillation atriale non valvulaire. A propos de 118 observations colligées au CHU de Dakar La fibrillation atriale non valvulaire. A propos de 118 observations colligées au CHU de Dakar est évalué 2,75 étoiles

Auteurs : N.V. Yameogo, A. Mbaye, P. Thiombiano, L.J. Kagambega, S. Pessinaba, M.B. Ndiaye, M. Bodian, M. Kane, D. Diagne-Sow, B. Diack, A. Kane - Sénégal
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5905 - Mai 2012 - pages 279-284


Résumé

Introduction : Sous les tropiques, la fibrillation atriale non valvulaire tend à augmenter en raison de la prévalence sans cesse croissante des cardiopathies non valvulaires. Les objectifs de cette étude étaient de déterminer la prévalence de la fibrillation atriale non valvulaire au CHU de Dakar, d’en déterminer les étiologies et d’étudier les aspects thérapeutiques et évolutifs de la maladie.
Patients et méthode : Nous avons recensé les dossiers des patients hospitalisés pour fibrillation atriale ou l’ayant présenté en cours d’hospitalisation dans le service de cardiologie du CHU de Dakar. L’ECG et l’écho doppler cardiaque étaient systématiques. Le Holter ECG, la tomodensitométrie cérébrale ainsi que l’échocardiographie trans-œsophagienne étaient réalisés selon les cas. Les valvulaires et porteurs de prothèse valvulaire étaient non inclus.
Résultats : La fibrillation atriale non valvulaire représentait 65,55% des fibrillations atriales. Le sex-ratio était de 1,62 en faveur des femmes. L’âge moyen était de 67,36 ± 13,23 ans. La prévalence de la maladie augmentait avec l’âge des patients. Les causes cardiaques étaient retrouvées dans 82,20% des cas. Les formes idiopathiques étaient au nombre 4 cas (3,39%). Les causes cardiaques étaient dominées par la cardiopathie hypertensive (57,73%), la myocardiopathie dilatée (22,68%) et la cardiopathie ischémique (12,37%). Le traitement réducteur a été administré chez 12 (10,17 %) patients et un traitement ralentisseur chez 108 patients (91,52%). Les antivitamines K étaient utilisées dans 66,10% des cas. Parmi les patients non traités par antivitamine K, 34 (soit 28,81% de l’échantillon) avaient un score CHADS supérieur ou égal à 3. Les complications étaient retrouvées dans 37,29% des cas soit 44 patients dont 18 cas d’AVC ischémiques, 32 cas de thromboses intracardiaques et 5 cas de décès.
Conclusion : La fibrillation atriale non valvulaire est fréquente sous les tropiques. Sa principale étiologie est la cardiopathie hypertensive. Les complications sont fréquentes et dominées par les thromboses intracardiaques. Plus d’un quart des patients qui devrait bénéficier d’un traitement par les AVK n’en bénéficie pas.


Summary
Non valvular atrial fibrillation, a study on 118 cases observed at the teaching hospital of Dakar

Introduction: In sub-Saharan Africa, non-valvular atrial fibrillation increases as a result of ever-increasing prevalence of non-valvular heart disease. The objectives of this study were to determine the prevalence of non-valvular atrial fibrillation and its etiologies at the CHU of Dakar, and to study therapeutic aspects and outcome of this disease.
Patients and methods: We reviewed the records of patients hospitalized for atrial fibrillation or who presented it during their hospitalization in the cardiology department of the teaching hospital of Dakar. The ECG and echocardiography were systematic. Holter ECG, brain CT scan and transesophageal echocardiography were performed as appropriate. Patients who had valvular disease or prosthetic valve were not included.
Results: Atrial fibrillation accounted for 65.55% non-valvular atrial fibrillation. The sex ratio was 1.62 for women. The average age was 67.36 ± 13.23 years. The prevalence increased with patient age. The cardiac causes were found in 82.20% of cases and the idiopathic forms in 4 cases (3.39%). The cardiac causes were dominated by hypertensive myocardiopathy (57.73%), dilated cardiomyopathy (22.68%) and ischemic heart disease (12.37%). The reducing treatment was administered in 12 (10.17%) patients and a retarder treatment in 108 patients (91.52%). Oral anticoagulants were used in 66.10% of cases. Among patients not treated with anticoagulants, 34 (or 28.81% of the sample) had a CHADS score greater than or equal to 3. Complications were found in 44 patients including 18 cases of ischemic stroke, 32 cases of intracardiac thrombosis and 5 cases of death.
Conclusion: Non-valvular atrial fibrillation is common in sub-Saharan Africa. Its main cause is the hypertensive myocardiopaty. Complications are common and dominated by intracardiac thrombosis. More than a quarter of patients who should be treated by oral anticoagulants are not.



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Docteur Serges Magloire CAMENGO POLICE La hernie hiatale à l’hôpital universitaire de l’Amitié à propos de 156 cas
S.M. Camengo-Police, G. Service, N.P. Boua-Akelelo, M. Mbeko-Simaleko, J.R. Molowa-Kobendo, S. Nangouma - Centrafrique - pages 285-288


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Docteur Serges Magloire CAMENGO POLICE La hernie hiatale à l’hôpital universitaire de l’Amitié à propos de 156 cas La hernie hiatale à l’hôpital universitaire de l’Amitié à propos de 156 cas est évalué 1 étoiles

Auteurs : S.M. Camengo-Police, G. Service, N.P. Boua-Akelelo, M. Mbeko-Simaleko, J.R. Molowa-Kobendo, S. Nangouma - Centrafrique
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5905 - Mai 2012 - pages 285-288


Résumé

Objectif : Déterminer la prévalence, les manifestations cliniques et les aspects endoscopiques de la hernie hiatale.
Patients et méthode : Il s’était agi d’une étude rétrospective d’une durée de 15 mois portant sur 942 endoscopies digestive réalisées. Étaient inclus dans l’étude, les patients présentant à l’endoscopie digestive une hernie hiatale. Les paramètres étudiés étaient l’âge, le sexe, la profession, les signes cliniques, les lésions endoscopiques. L’analyse des données était faite à l’aide de logiciel Epi info 3.5.1.
Résultats : 156 patients avaient une hernie hiatale (16,6%). Il s’agissait de 64 hommes (41%) et 92 femmes (59%). Le sex-ratio (H/F) était de 0,7. L’âge moyen de nos patients était de 39 ans avec des extrêmes de 18 et 74 ans. Les motifs de l’examen endoscopique étaient le pyrosis (n = 118), les éructations (n = 36), la gêne rétrosternale (n = 28), les vomissements (n = 24), les régurgitations (n = 23), la dysphagie (n = 11), l’hématémèse (n = 9 cas) et l’ascite (n = 9 cas). La hernie hiatale était par glissement chez tous les patients. Les lésions endoscopiques associées étaient l’oesophagite peptique (n = 65), la congestion gastrique (n=6), les varices oesophagiennes (n = 4), le syndrome de Mallory-Weiss (n = 3), les érosions gastriques liées à la prise des anti-inflammatoires non stéroïdiens (n = 2), la congestion bulbaire (n = 2), l’ulcère du bulbe (n = 2) et la candidose oesophagienne (n = 2).
Conclusion : La hernie hiatale est une affection fréquente dont les manifestations sont celles du reflux gastro-oesophagien. Sa fréquente complication est l’oesophagite peptique qu’il faut traiter à cause de ses complications tardives dont l’endobrachy-oesophage.


Summary
Hiatal hernia in the university hospital Amitié, about 156 cases

Objective: To determine the prevalence, the clinical demonstrations and the endoscopic aspects of the hiatus hernia.
Patient and method: It is a retrospective survey of 15 months carrying on 942 achieved digestive endoscopies. Were included in the study, patients that digestive endoscopy showed a hiatus hernia. The studied parameters were age, sex, profession, clinical signs and endoscopic lesions. Analysis of the data was made with the Epi info 3.5.1. software.
Results: 156 patients had a hiatus hernia (16,6%). It was about 64 men (41%) and 92 women (59%). The sex-ratio (H/F) was of 0,7. The middle age of our patients was 39 years with extremes of 18 and 74 years. The motives of the endoscopic exam were heartburn (n = 118), eructations (n = 36), retro sternal hindrance (n=28), vomiting (n = 24), regurgitations (n=23), dysphagiae (n=11), blood vomiting (n = 9 cases) and ascites (n = 9 cases). The hiatus hernia was sliding in all patients. The associated endoscopic lesions were peptic oesophagitis (n = 65), gastric congestion (n = 6), esophageal varicose veins (n = 4), Mallory-Weiss’ syndrome (n=3), gastric erosions bound to non steroidal anti-inflammatory therapy (n=2), bulbar congestion (n = 2), ulcer of the bulb (n = 2) and oesophageal candidosis (n = 2).
Conclusion: Hiatus hernia is a frequent affection whose demonstrations are those of gastro-oesophageal reflus. Its frequent complication is the peptic oesophagitis that it is necessary to treat because of its late complications of which the endobrachy-oesophagus.



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