Connexion / Inscription
0 articles
Editeur : APIDPM Santé tropicale
Langue(s) de publication : Français - Anglais
Edition papier : ISSN 0251-172X
Edition électronique : ISSN 2491-4428
Retrouvez également nos offres d'abonnements
Il y a actuellement 676 articles.
Evaluation des contacts occlusaux en occlusion d’intercuspidie maximale en fonction de la posture
P.S Dabo, M.M Sow, K.M Bouassalo, B. Cisse, K. Badji, A. Toure, N. Thioune, P.I Kamara, M. Gueye, B.K Djeredou, El.H.B Mbodj - Sénégal - 5-10
Evaluation des contacts occlusaux en occlusion d’intercuspidie maximale en fonction de la posture 
Auteurs : P.S Dabo, M.M Sow, K.M Bouassalo, B. Cisse, K. Badji, A. Toure, N. Thioune, P.I Kamara, M. Gueye, B.K Djeredou, El.H.B Mbodj - Sénégal
Publié en Français dans Odonto-Stomatologie Tropicale 190 - Juin 2025 - 5-10
Introduction : L’occlusion est de plus en plus associée à l’équilibre postural. L’objectif de cette étude était de déterminer le nombre de contacts en occlusion d’intercuspidie maximale en position de décubitus dorsal, assise et orthostatique.
Matériels et méthode : Il s’agissait d’une étude descriptive à visée analytique qui s’était déroulée d’octobre 2023 à novembre 2024, menée sur des individus âgés de plus de 17 ans, venus en consultation à l’Institut d’Odontologie et de Stomatologie de l’Université Cheikh Anta Diop. La méthode d’enregistrement des contacts occlusaux en deux phases de Bausch a été utilisée. Cette méthode utilise deux types de papier, 200 puis de 40 µm de couleur différente. Le nombre maximal de contacts occlusaux a été étudié en fonction de la posture.
Résultats : L’échantillon était composé de 109 individus dont 80 hommes soit 73,34% soit un sex-ratio de 2,76. L’âge moyen était de 22,4 ± 4 ans. Le nombre moyen de contacts en occlusion d’intercuspidie maximale était de 25,23 ± 4,1 en décubitus dorsal, 28,62 ± 4,1 en position assise et 29,4 ± 4 en position orthostatique. La comparaison des moyennes du nombre de contacts occlusaux a montré un p < 0,05.
Conclusion : L’équilibration occlusale devrait être entreprise en position orthostatique dans la mesure du possible ou en position assise pieds au sol dans le cas où le patient a des difficultés pour se maintenir en position debout.
Introduction: Occlusion is increasingly associated with postural balance. The aim of this study was to determine the number of maximum intercuspid bite contacts in the supine, sitting and orthostatic positions.
Materials and methods: This was a descriptive study with analytical aims, carried out on individuals aged over 17, who came for consultation to the Cheikh Anta Diop University Institute of Odontology and Stomatology. Bausch’s two-phase occlusal contact recording method was used. In this method, two types of 200 and then 40 µm paper in different colors were used in succession. The maximum number of occlusal contacts was studied as a function of posture.
Results: The sample comprised 109 individuals, including 80 men (73.34%), giving a sex ratio of 2.76. Mean age was 22.4 ± 4 years. The mean number of contacts in maximum intercuspidial occlusion was 25.23 ± 4.1 in the supine position, 28.62 ± 4.1 in the sitting position and 29.4 ± 4 in the orthostatic position). Comparison of the means of the number of occlusal contacts showed a p < 0.05.
Conclusion: Occlusal balancing should be undertaken in the orthostatic position whenever possible, or in the seated position with the foot on the ground if the patient has difficulty maintaining an upright position.
Téléchargez cet article pour 1 jeton ou 0,00 € à l'unité. Voir nos offres de jetons
Vous pourrez télécharger immédiatement vos articles payés en ligne dans la rubrique « Mes achats PDF » de votre compte.
Lambeau de boule de Bichat dans la prise en charge des communications bucco-sinusiennes au Centre National d’odonto-stomatologie Professeur Hamady Traore de Bamako
A. Coulibaly, S. Adam, F. Sissoko, H. Fongoro, B. Ba, D. Traore - Mali - 11-17
Lambeau de boule de Bichat dans la prise en charge des communications bucco-sinusiennes au Centre National d’odonto-stomatologie Professeur Hamady Traore de Bamako Auteurs : A. Coulibaly, S. Adam, F. Sissoko, H. Fongoro, B. Ba, D. Traore - Mali
Publié en Français dans Odonto-Stomatologie Tropicale 190 - Juin 2025 - 11-17
Introduction : Le choix de la technique de prise en charge des Communications Bucco-Sinusiennes (CBS) dépend de plusieurs facteurs, notamment la taille de la communication, le temps de l’exposition de l’effraction, le plateau technique mis à disposition. Le corps adipeux buccal appelé corps adipeux de la joue, constitue un moyen simple et efficace dans la fermeture des communications bucco-sinusiennes. Le but de ce travail était d’illustrer l’intérêt du lambeau de boule de Bichat dans la prise en charge des communications bucco-sinusiennes.
Matériels et méthodes : Il s’agissait d’une étude transversale descriptive, qui s’est déroulée de 2020 à 2024. Elle concernait tous les cas de CBS pris en charge par lambeau de boule de Bichat.
Résultats : Onze cas ont été recensés. Le sexe féminin était le plus représenté avec 9 cas (81,8%) et le sex-ratio était de 0,22. La moyenne d’âge était de 38 ans avec un écart-type de 15,78. Les âges extrêmes étaient de 19 ans et 65 ans. Les causes tumorales étaient les plus représentées soit 6 cas (54,5%). Le siège alvéolaire était le plus fréquent avec 7 cas (63,6%). La taille de la communication bucco-sinusienne était supérieure à 30 mm dans 7 cas (63,6%) avec une moyenne de 40,52 mm. La prise en charge chirurgicale consistait en une fermeture par le lambeau de boule de Bichat et l’évolution était favorable dans 9 cas (81,8%) après un recul d’un mois.
Discussion : Les causes des CBS sont iatrogènes le plus souvent. Le lambeau de Bichat est la technique de choix pour les CBS de diamètre supérieur à 5 mm, avec un taux de fermeture supérieur à 98%.
Conclusion : Le lambeau de boule de Bichat est une technique privilégiée dans la prise en charge des CBS en raison de sa simplicité, de son faible taux d’échec.
Introduction: The choice of technique for treating Oro-Sinus Communications (OSC) depends on several factors, including the size of the communication, the time of exposure of the breach, and the technical platform available. The buccal fat body, called the cheek fat body, constitutes a simple and effective means for closing oro-sinus communications. The objective of this work was to illustrate the benefit of the Bichat ball flap in the management of oral-sinus communications.
Materials and methods: This was a descriptive cross-sectional study, which took place from 2020 to 2024 in the stomatology and maxillofacial surgery department of CHU-CNOS Pr HT. It concerned all OSC cases managed by Lambeau de Bichat.
Results: Eleven cases were identified. The female sex was the most represented with 9 cases (81.8%) and the sex-ratio was 0.22. The average age was 38 years with a standard deviation of 15.78. The extreme ages were 19 years and 65 years. Tumor causes were the most represented with 6 cases (54.5%). The alveolar site was the most frequent with 7 cases (63.6%). The size of the oro-sinus communication was greater than 30 mm in 7 cases (63.6%) with an average of 40.52 mm. Surgical management consisted of closure by the Bichat ball flap and the evolution was favorable in 9 cases (81.8%) after a follow-up of one month.
Discussion: The causes of OSC are most often iatrogenic. The Bichat fat ball flap is the technique of choice for OSC with a diameter greater than 5 mm, with a closure rate greater than 98%, but its numerous advantages and excellent results have led to its indication being broadened.
Conclusion: The Bichat flap is a preferred technique in the management of CBS due to its simplicity, its low failure rate and complications of donor site morbidity.
Téléchargez cet article pour 1 jeton ou 0,00 € à l'unité. Voir nos offres de jetons
Vous pourrez télécharger immédiatement vos articles payés en ligne dans la rubrique « Mes achats PDF » de votre compte.
Corrélations entre les mensurations céphalométriques des tissus durs et les caractéristiques photogrammétriques des tissus mous faciaux
D. Cisse, A. Badiane, M. Guèye, I. Rakoto Solofo, J. Samba Diouf, K. Diop-BA, P.I. Ngom - Sénégal - 18-28
Corrélations entre les mensurations céphalométriques des tissus durs et les caractéristiques photogrammétriques des tissus mous faciaux Auteurs : D. Cisse, A. Badiane, M. Guèye, I. Rakoto Solofo, J. Samba Diouf, K. Diop-BA, P.I. Ngom - Sénégal
Publié en Français dans Odonto-Stomatologie Tropicale 190 - Juin 2025 - 18-28
Introduction : Les tissus mous faciaux recouvrent les dents et le squelette facial ; entretiennent d’étroits rapports anatomiques avec eux et peuvent néanmoins varier dans leur morphologie et leur position. L’objectif de cette étude était de déterminer les corrélations entre les mensurations des tissus mous faciaux et celles des tissus durs crânio-faciaux.
Matériels et méthodes : Une étude descriptive transversale a été réalisée à partir de clichés téléradiographiques et photographiques standardisés issus de jeunes enfants venus consulter pour des soins orthodontiques. Sur chaque sujet sélectionné, des mensurations céphalométriques et photogrammétriques ont été faites. Les données recueillies ont été analysées grâce au logiciel statistique IBM SPSS 20.0. La corrélation entre les mensurations céphalométriques des tissus durs et les mensurations photogrammétriques des tissus mous a été recherchée par une corrélation de Pearson. La signification était fixée à p = 0,05.
Résultats : ANB était significativement et positivement corrélé à Sn-N’-Sm. I/A-Pog était significativement et positivement corrélée à Ls-E et Li-E. Des corrélations significatives et positives ont été trouvées entre la position du pogonion et Sn-H. Il en est de même entre la position du point A et la distance Trg-Sn ; et entre S-Ar et les variables N’-Sn et N’-Me’. Ar-Go était aussi significativement et positivement corrélée à Sn-Me’, Sn-Sts et N’-Me’.
Conclusion : Les nombreuses corrélations significatives et positives trouvées entre les variables céphalométriques et photogrammétriques montrent que ces dernières pourraient avantageusement être utilisées pour évaluer des variables squelettiques et dentoalvéolaires. Ceci permettrait de limiter les risques non-négligeables de rayonnements ionisants.
Introduction: Facial soft tissues cover the teeth and the facial skeleton; maintain close anatomical relations with them and may nevertheless vary in their morphology and position. The objective of this study was to determine the correlations between soft facial tissue measurements and craniofacial hard tissue measurements.
Materials and methods: A cross-sectional descriptive study was performed using standardized teleradiographic and photographic images of young children who had come for orthodontic care. On each selected subject, cephalometric and photogrammetric measurements were made. The data collected was analyzed using the IBM SPSS 20.0 statistical software. The correlation between hard tissue cephalometric measurements and photogrammetric soft tissue measurements was investigated by a Pearson correlation. The significance was fixed at p = 0.05.
Results: ANB was significantly and positively correlated to Sn-N’-Sm. I / A-Pog was significantly and positively correlated with Ls-E and Li-E. Significant and positive correlations were found between the position of the pogonion and Sn-H. It is the same between the position of point A and Trg-Sn distance; and between S-Ar and the variables N’-Sn and N’-Me ‘. Ar-Go was also significantly and positively correlated to Sn-Me ‘, Sn-Sts and N’-Me’.
Conclusion: The many significant and positive correlations found between cephalometric and photogrammetric variables show that these could advantageously be used to evaluate skeletal and dentoalveolar variables. This would limit the significant risks of ionizing radiation during orthodontic treatment.
Téléchargez cet article pour 1 jeton ou 0,00 € à l'unité. Voir nos offres de jetons
Vous pourrez télécharger immédiatement vos articles payés en ligne dans la rubrique « Mes achats PDF » de votre compte.
Fractures mandibulaires isolées de l’enfant : aspects épidémiologiques, anatomo-cliniques et thérapeutiques au Centre Hospitalier Universitaire Yalgado Ouedraogo (Burkina Faso)
C. Bazame, T. Salissou Souleymane, M. Idani, A. coulibaly, M. Millogo, T. Konsem - Burkina Faso - 29-35
Fractures mandibulaires isolées de l’enfant : aspects épidémiologiques, anatomo-cliniques et thérapeutiques au Centre Hospitalier Universitaire Yalgado Ouedraogo (Burkina Faso) Auteurs : C. Bazame, T. Salissou Souleymane, M. Idani, A. coulibaly, M. Millogo, T. Konsem - Burkina Faso
Publié en Français dans Odonto-Stomatologie Tropicale 190 - Juin 2025 - 29-35
Introduction : Les fractures mandibulaires de l’enfant constituent une entité pathologique particulière, survenant sur une mandibule en pleine croissance et une dentition évolutive. L’objectif de ce travail était de décrire les aspects épidémiologiques, anatomo-cliniques et thérapeutiques des fractures mandibulaires isolées de l’enfant au centre hospitalier universitaire Yalgado Ouedraogo.
Matériels et méthode : Il s’est agi d’une étude transversale descriptive à collecte rétrospective sur une période de 32 mois. Ont été inclus dans notre étude tous les patients âgés de 0 à 12 ans pris en charge pour une fracture mandibulaire.
Résultats : Nous avons enregistré 41 cas de fracture mandibulaires pédiatriques. L’âge moyen était de 6,78 ans avec un écart-type de 2,32. Une prédominance masculine était observée avec 65,85% des cas. Les accidents de la circulation routière étaient l’étiologie la plus fréquente avec 43,90% des. Les fractures étaient bifocales dans 53,65% des cas. La prise en charge a consisté à un traitement orthopédique dans 53,65% des cas. L’évolution était favorable pour l’ensemble des patients après un recul de 6 mois.
Conclusion : Les fractures mandibulaires de l’enfant sont singulières au regard des risques d’ankylose temporo-mandibulaire, de troubles occlusaux et de troubles de la croissance. Leur traitement est volontiers conservateur.
Introduction: Mandibular fractures in children constitute a specific pathological entity, occurring in a growing mandible and evolving dentition. The objective of this study was to describe the epidemiological, clinical-anatomical, and therapeutic aspects of isolated mandibular fractures in children at the Yalgado Ouedraogo University Hospital.
Materials and methods: This was a descriptive, cross-sectional study with retrospective data collection over a 32-month period. All patients aged 0 to 12 years treated for a mandibular fracture were included in our study.
Results: We recorded 41 cases of pediatric mandibular fractures. The mean age was 6.78 years with a standard deviation of 2.32. A male predominance was observed, with 65.85% of cases. Road traffic accidents were the most common etiology, with 43.90%. Fractures were bifocal in 53.65% of cases. Management consisted of orthopedic treatment in 53.65% of cases. The outcome was favorable for all patients after a 6-month follow-up.
Conclusion: Mandibular fractures in children are unique in terms of the risks of temporomandibular ankylosis, occlusal disorders and growth disorders. Their treatment is often conservative.
Téléchargez cet article pour 1 jeton ou 0,00 € à l'unité. Voir nos offres de jetons
Vous pourrez télécharger immédiatement vos articles payés en ligne dans la rubrique « Mes achats PDF » de votre compte.
Aspects épidémiologiques et anatomopathologiques des tumeurs odontogènes bénignes et malignes au laboratoire d’anatomie et cytologie pathologiques de l’hôpital National de Niamey
I. Boubacar, B. Efared, A.B. Abani Bako, H.S. Boureima, A.G. Boulama, M. Djangnikpo Lucien, Y. Amadou, N. Hassan - Niger - 36-40
Aspects épidémiologiques et anatomopathologiques des tumeurs odontogènes bénignes et malignes au laboratoire d’anatomie et cytologie pathologiques de l’hôpital National de Niamey Auteurs : I. Boubacar, B. Efared, A.B. Abani Bako, H.S. Boureima, A.G. Boulama, M. Djangnikpo Lucien, Y. Amadou, N. Hassan - Niger
Publié en Français dans Odonto-Stomatologie Tropicale 190 - Juin 2025 - 36-40
Introduction : Les tumeurs odontogènes sont un groupe hétérogène de tumeurs bénignes et malignes qui dérivent des structures dento-maxillaires et de leurs vestiges embryonnaires. Le but ici est de présenter les aspects épidémiologiques et anatomopathologiques des tumeurs odontogènes diagnostiquées au laboratoire d’anatomie et cytologie pathologiques de l’Hôpital National de Niamey.
Méthodologie : Il s’agit d’une étude transversale à visée descriptive et analytique de 4 ans qui a inclus toutes les tumeurs odontogènes. Les paramètres étudiés ont été l’âge et le sexe des patients, le type des prélèvements, le site et le diagnostic histologique de la lésion. Les tests du Khi² de Pearson et Student-Fisher ont été utilisés pour rechercher une relation entre les variables étudiées avec un seuil de significativité fixé à un P < 0,05
Résultats : Nous avions colligé 123 cas de tumeurs maxillaires parmi lesquels 36 cas de tumeurs odontogènes soit une fréquence de 29,3%. L’âge moyen était de 33,8 ans ± 15,37 et le sexe masculin prédominait avec un sex-ratio de 1,40. Le siège de la tumeur était mandibulaire chez 27 patients soit 75%. Huit types histologiques d’origine épithéliale, mésenchymateuse et mixte ont été retrouvés dont 5 types bénins et 3 types malins. Les tumeurs bénignes étaient au nombre de 32 (88,9%) et sont dominées par l’améloblastome (N = 19) soit 52,8%.
Discussion : La comparaison de nos résultats avec ceux des études antérieures menées en Afrique, en Asie, en Europe et en Amérique a montré des similitudes et des divergences.
Conclusion : Les tumeurs odontogènes affectent plus l’adulte jeune avec une prédominance masculine et sont majoritairement bénignes dominées par l’améloblastome.
Introduction: Odontogenic tumours are a heterogeneous group of benign and malignant tumours which derive from dento-maxillary structures and their embryonic remains. The aim here is to present the epidemiological and anatomopathological aspects of odontogenic tumours diagnosed in the pathological anatomy and cytology laboratory of the Niamey National Hospital.
Methodology: This was a 4-year cross-sectional study with descriptive and analytical aims, which included all odontogenic tumours. The parameters studied were the age and sex of the patients, the type of specimen, the site and histological diagnosis of the lesion. Pearson’s Chi-square and Student-Fisher tests were used to look for a relationship between the variables studied, with a significance threshold set at P < 0.05
Results: We collected 123 cases of maxillary tumours, 36 of which were odontogenic, representing a frequency of 29.3%. The mean age was 33.8 ± 15.37 years and the predominant sex was male, with a sex-ratio of 1.40. The tumour site was mandibular in 27 patients (75%). Eight histological types of epithelial, mesenchymal and mixed origin were found, including 5 benign and 3 malignant types. Benign tumours numbered 32 (88.9%) and were dominated by ameloblastoma (N = 19), in 52.8%.
Discussion: Comparison of our results with those of previous studies conducted in Africa, Asia, Europe and America showed similarities and differences.
Conclusion: Odontogenic tumours affect more young adults with a male predominance and are mostly benign, dominated by ameloblastoma.
Téléchargez cet article pour 1 jeton ou 0,00 € à l'unité. Voir nos offres de jetons
Vous pourrez télécharger immédiatement vos articles payés en ligne dans la rubrique « Mes achats PDF » de votre compte.
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Revues
Abonnements
Services
