Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici

Dictionnaire Internet Africain des Médicaments (DIAM)

 Infectiologie / Classement des articles « Infectiologie »

Les mieux notés - Les plus commentés

Top 10 des articles les plus lus

Classé N° 1 sur 308 articles

Aspects actuels du paludisme grave de l’adulte à la clinique des maladies infectieuses du CNHU de Fann à Dakar

S.A. Diop, C.T. Ndour, N.M. Dia, N.M Manga, L. Fortes, N.A. Lakhes, K. Niang, M. Seydi, M. Soumare, B.M. Diop, P.S. Sow - Sénégal
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 5704 - Avril 2010 - pages 193-197

Voir/masquer le résumé

Objectifs : Cette étude avait pour objectifs de décrire les aspects épidémiologiques, cliniques et pronostiques du paludisme grave de l’adulte à la clinique des maladies infectieuses du CHNU de Fann.
Malades et méthodes : Les données ont été recueillies à partir des dossiers d’hospitalisation des patients et du registre du laboratoire de parasitologie du 1er janvier 2003 au 31 décembre 2006. Etaient inclus, tous les patients, âgés de 15 ans ou plus, qui répondaient à la définition du paludisme grave de l’OMS.
Résultats : Le paludisme grave occupe avec 181 cas la 1ère place des urgences médicales à la Clinique des Maladies Infectieuses du CHU de Fann à Dakar. Il représente 30,8% des infections palustres avec un pic de fréquence aux mois de novembre et décembre. La majorité des patients (59,1%) provenait des zones suburbaines. Le sex-ratio M/F était de 1,6 et l’âge moyen de 35 ± 18,328 [15-87 ans]. Les manifestions cliniques étaient dominés par les signes neurologiques avec 139 cas de coma, surtout de stade 1 (69,7%) et le syndrome confusionnel (27 cas). D’autres critères de gravité du paludisme ont été retrouvés : prostration (105 cas), ictère (46 cas), hémoglobinurie (15 cas), insuffisance rénale (10 cas), collapsus cardiovasculaire (10 cas) et anémie sévère (8 cas). La létalité globale a été de 17,1% (31 décès). Les facteurs de mauvais pronostic statistiquement significatifs ont été l’âge, le délai d’hospitalisation long, la pâleur des muqueuses, l’ictère et la profondeur du coma.
Conclusion : Les manifestations cliniques du paludisme grave restent dominées par les signes neurologiques. Il importe d’améliorer le plateau technique des services de réanimation, si l’on veut obtenir une réduction conséquente de la létalité.

Mots clés : paludisme grave, adulte,

Lire l'article

Cet article est actuellement coté note (3,1 étoiles) par les abonnés de APIDPM Santé tropicale.
Il a été consulté 4697 fois, téléchargé 729 fois et évalué 10 fois.  4 commentaires ont été postés à propos de cet article


Classé N° 2 sur 308 articles

Connaissances, attitudes et pratiques des prestataires des soins de la salle d’accouchement sur la prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant à Lubumbashi

N.A. Mwembo-Tambwe, P. Kalenga, P. Donnen, F. Chenge, P. Humblet, M. Dramaix, P. Buekens - Congo-Kinshasa
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 5905 - Mai 2012 - pages 259-268

Voir/masquer le résumé

Objectif : Evaluer le niveau de Connaissance, Attitude et Pratique (CAP) des prestataires des maternités en rapport avec la Prévention de la Transmission du VIH de la Mère à l’Enfant (PTME) à Lubumbashi.
Méthodologie : Ce travail repose sur une étude transversale descriptive réalisée dans 27 maternités de Lubumbashi en avril 2010. L’échantillon était constitué de 153 prestataires travaillant dans ces maternités et qui ont été interrogés sur leur CAP en rapport avec la PTME. Pour faire cette évaluation, un score de 24 points a été classé en «suffisant» ou « insuffisant» selon qu’il était d’au moins 12 ou inférieur à 12.
Résultats : Le niveau de CAP de la PTME des prestataires des maternités à Lubumbashi est suffisant dans seulement 8,5% des cas. La proportion de prestataires avec un niveau CAP suffisant était significativement plus élevé chez les universitaires que chez les non universitaires (Odds Ratio ajusté [ORa] = 8,6 ; Intervalle de Confiance [IC] 95% : 1,6-47,5) et dans les maternités où la PTME était intégrée (OR = 4,5 ; IC 95% : 1,3-18,4).
Conclusion : Le niveau de Connaissance, Attitude et Pratique en matière de PTME est très bas chez les prestataires affectés dans les maternités à Lubumbashi. Il y a nécessité d’organiser des formations pour les prestataires de ces services.

Mots clés : attitude, connaissance, infection du VIH, prévention de la transmission mère-enfant, Lubumbashi,

Lire l'article

Cet article est actuellement coté note (1,8 étoiles) par les abonnés de APIDPM Santé tropicale.
Il a été consulté 6261 fois, téléchargé 656 fois et évalué 4 fois.  7 commentaires ont été postés à propos de cet article


Classé N° 3 sur 308 articles

Dakin Cooper® stabilisé : une solution dans le traitement de la candidose buccale de l’enfant

M. Kaloga, C. Assouan, R. Azagoh-Kouadio, S. Kourouma, A. Sangare, E.J. Ecra, B. Camara, A. Aka, I.P. Gbery.I.P. Yoboue, J.M. Kanga - Côte d'Ivoire
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 5806 - Juin 2011 - pages 273-276

Voir/masquer le résumé

Objectifs : Apprécier l’efficacité et la tolérance du Dakin Cooper® stabilisé dans les soins locaux de la candidose buccale de l’enfant.
Méthodologie : Il s’agit d’une étude multicentrique, prospective, descriptive et non comparative portant sur des enfants vus en consultation du 1er mars 2010 au 28 février 2011 dans le service de dermatologie du CHU de Treichville. Cent patients ont été recensés. Tous ont reçu le Dakin Cooper® stabilisé comme antiseptique en bain de bouche.
Résultats : La moyenne d’âge était de 2,8 ans, le sex-ratio est de 1,6 en faveur des hommes, la durée moyenne du traitement était de 10 jours, la quasi-totalité des patients était guérie au bout de 15 jours, quel que soit le traitement associé et la tolérance était bonne chez tous nos patients.
Conclusion : De par son efficacité Dakin Cooper® stabilisé est un antiseptique de choix pour le traitement de la candidose buccale et présente une tolérance excellente.

Mots clés : Dakin, Cooper, stabilisé, candidose buccale, enfant,

Lire l'article

Cet article est actuellement coté note (3,2 étoiles) par les abonnés de APIDPM Santé tropicale.
Il a été consulté 6652 fois, téléchargé 607 fois et évalué 13 fois.  17 commentaires ont été postés à propos de cet article


Classé N° 4 sur 308 articles

La prise en charge du paludisme grave des enfants de moins de cinq ans dans les formations sanitaires périphériques du Burkina Faso

M. Savadogo, MB Boushab, N. Kyélem - Burkina Faso
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 6103 - Mars 2014 - pages 164-168

Voir/masquer le résumé

Au Burkina Faso, comme dans de nombreux pays africains au sud du Sahara, le paludisme sévit sur un mode endémique et constitue un problème majeur de santé publique.
Objectif : Décrire les aspects épidémiologiques, cliniques, thérapeutiques et évolutifs du paludisme grave dans deux centres régionaux de référence.
Patients et méthodes : Il s'agit d'une étude transversale rétrospective couvrant la période du 1er janvier 2010 au 31 décembre 2010. Etaient inclus les cas de paludisme grave admis au Centre hospitalier régional de Gaoua et au niveau du Centre médical avec antenne chirurgicale de Batié.
Résultats : Cent-neuf dossiers de paludisme grave ont été inclus. L'âge moyen des enfants était de 18 mois avec des extrêmes de 3 à 48 mois. Soixante-quinze virgule deux pour cent des malades avait un âge inférieur ou égal à 24 mois. L'âge médian était de 15 mois. Le sex-ratio était de 1,66 en faveur des garçons. Les signes de gravité étaient dominés par les signes neurologiques et l'anémie sévère. 
La quinine était la molécule de base du traitement. Elle était relayée par une combinaison à base d'artémisinine dès que la voie orale était possible conformément à la directive nationale de prise en charge du paludisme. La létalité globale était de 9,5%.
Conclusion : Au regard de la gravité des formes neurologiques, une unité de réanimation nous semble nécessaire dans les structures régionales de prise en charge.

Mots clés : Paludisme grave, structures sanitaires, prise en charge, Burkina Faso

Lire l'article

Cet article est actuellement coté note (2,3 étoiles) par les abonnés de APIDPM Santé tropicale.
Il a été consulté 6381 fois, téléchargé 521 fois et évalué 8 fois.  9 commentaires ont été postés à propos de cet article


Classé N° 5 sur 308 articles

La prise en charge du paludisme grave des enfants de moins de cinq ans dans les formations sanitaires périphériques du Burkina Faso

M. Savadogo, MB Boushab, N. Kyélem - Burkina Faso
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 6103 - Mars 2014 - pages 164-168

Voir/masquer le résumé

Au Burkina Faso, comme dans de nombreux pays africains au sud du Sahara, le paludisme sévit sur un mode endémique et constitue un problème majeur de santé publique.
Objectif : Décrire les aspects épidémiologiques, cliniques, thérapeutiques et évolutifs du paludisme grave dans deux centres régionaux de référence.
Patients et méthodes : Il s'agit d'une étude transversale rétrospective couvrant la période du 1er janvier 2010 au 31 décembre 2010. Etaient inclus les cas de paludisme grave admis au Centre hospitalier régional de Gaoua et au niveau du Centre médical avec antenne chirurgicale de Batié.
Résultats : Cent-neuf dossiers de paludisme grave ont été inclus. L'âge moyen des enfants était de 18 mois avec des extrêmes de 3 à 48 mois. Soixante-quinze virgule deux pour cent des malades avait un âge inférieur ou égal à 24 mois. L'âge médian était de 15 mois. Le sex-ratio était de 1,66 en faveur des garçons. Les signes de gravité étaient dominés par les signes neurologiques et l'anémie sévère. 
La quinine était la molécule de base du traitement. Elle était relayée par une combinaison à base d'artémisinine dès que la voie orale était possible conformément à la directive nationale de prise en charge du paludisme. La létalité globale était de 9,5%.
Conclusion : Au regard de la gravité des formes neurologiques, une unité de réanimation nous semble nécessaire dans les structures régionales de prise en charge.

Mots clés : Paludisme grave, structures sanitaires, prise en charge, Burkina Faso

Lire l'article

Cet article est actuellement coté note (2,3 étoiles) par les abonnés de APIDPM Santé tropicale.
Il a été consulté 6381 fois, téléchargé 521 fois et évalué 8 fois.  9 commentaires ont été postés à propos de cet article


Classé N° 6 sur 308 articles

Profil actuel des pleurésies séro-fibrineuses au Sénégal : émergence des pathologies auto-immunes

S. NDONGO, A. POUYE, S.O. CHAVEY, M.M KA, T.M DIOP - Sénégal
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 5611 - Novembre 2009 - pages 585-591

Voir/masquer le résumé

La pleurésie séro-fibrineuse est la présence dans la cavité pleurale d’une quantité anormale de liquide jaune citrin ou séro-hématique avec un taux de protéine supérieur à 30 g/l. Dans les pays développés, ses causes actuelles sont dominées par les néoplasies. En Afrique, le caractère endémique de la tuberculose laisse entrevoir un profil étiologique différent. Les rares études disponibles retrouvent une fréquence élevée de l’origine tuberculeuse soutendue par une forte prévalence de l’infection à VIH. Les objectifs de notre travail étaient de situer l’importance des pleurésies séro-fibrineuses dans la pathologie générale dans un service de médecine interne africain, et de déterminer leur profil étiologique actuel.
Il s’agissait d’une étude rétrospective portant sur les dossiers des patients hospitalisés pour une pleurésie sérofibrineuse à la clinique médicale I du C.H.U Aristide Le Dantec de Dakar. La période d’étude allait du 1er janvier 2000 au 31 décembre 2005 soit 6 ans. Ont été inclus tous les dossiers des patients hospitalisés pour pleurésie sérofibrineuse durant cette période. Ont été exclus les dossiers des patients dont les données cliniques et paracliniques ne permettaient pas l’individualisation et l’exploitation d’une étiologie. Cent six dossiers ont été colligés sur 8563 toutes pathologies confondues, soit une prévalence de 1,70 %. La moyenne d’âge des patients était de 37,5 ans avec des extrêmes de 19 et 98 ans. Le sex-ratio était de 1,3 (61H/45F). La fièvre constituait la manifestation la plus fréquente : elle était présente chez 97 patients (91,5 %). La dyspnée était observée chez 56 patients soit 52,8 %. Le syndrome d’épanchement pleural était unilatéral chez 70 patients dont 30 à gauche et 40 à droite. Dans 46 cas il était bilatéral. Les étiologies étaient dominées par la tuberculose avec 87 cas soit 82,07 %. La tuberculose était multifocale dans 65 cas, elle était suivie par les maladies de système (16,03 %). Deux cas de mésothélium pleural ont été diagnostiqués.
La survenue d’une pleurésie sérofibrineuse dans notre contexte pose des difficultés diagnostiques entre la tuberculose d’une part et les maladies auto-immunes notamment la polyarthrite rhumatoïde et le lupus érythémateux systémique d’autre part. En effet les marqueurs immunologiques tels que les anticorps antinucléaires et les facteurs rhumatoïdes peuvent être positifs au cours des processus chroniques comme la tuberculose et il n’existe aucun test pleural de certitude permettant de différencier ces étiologies. L’hypoglycopleurie est inconstante au cours de la tuberculose et peut être observée dans les pleurésies auto-immunes.

Mots clés : pleurésies séro-fibrineuses, maladies auto-immunes, milieu tropical,

Lire l'article

Cet article est actuellement coté note (3,7 étoiles) par les abonnés de APIDPM Santé tropicale.
Il a été consulté 4570 fois, téléchargé 452 fois et évalué 3 fois.  Aucun commentaire n'a encore été ajouté à propos de cet article


Classé N° 7 sur 308 articles

Rage furieuse transmise par un chien errant

M. Savadogo, N. Kyèlem, M.B. Boushab, K.A. Sondo, R. Thiombian, L. Simporè, A. Ouedraogo - Burkina Faso
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 6404 - Avril 2017 - pages 243-246

Voir/masquer le résumé

Nous rapportons une observation d’un cas de rage furieuse survenue suite à la morsure par un chien errant. La discussion porte sur la clinique, sur la démarche à suivre après morsure par un chien et les difficultés de diagnostic de cette affection dans notre contexte. Les auteurs recommandent le traitement prophylactique antirabique en cas de morsure par un chien errant. Ils rappellent également que la rage est transmise par un animal enragé, et ils interpellent les autorités sanitaires sur la nécessité de former le personnel de santé, de rendre accessible les vaccins et les immunoglobulines antirabiques. Aussi le renforcement de la surveillance de cette anthropozoonose nécessite un laboratoire et un plateau technique capable de confirmer les cas humains de rage. Une action en amont basée sur la vaccination des animaux de compagnie, l’abattage des chiens errants et le traitement prophylactique en cas d’exposition, contribuera à réduire de façon significative l’ampleur de cette maladie./p>

Mots clés : p>Rage, chien, enragé, errant, vaccin, immunoglobuline

Lire l'article

Cet article est actuellement coté note (2,9 étoiles) par les abonnés de APIDPM Santé tropicale.
Il a été consulté 3893 fois, téléchargé 445 fois et évalué 19 fois.  8 commentaires ont été postés à propos de cet article


Classé N° 8 sur 308 articles

Insuffisance rénale aiguë au cours du paludisme grave en milieu hospitalier pédiatrique à Ouagadougou (Burkina Faso)

H. Savadogo, G. Coulibaly, A.S. Ouermi, M. Pongas, M. Baduon, A. Kaboré, F. Kouéta, S. Kaboret/Douamba, L. Dao, S.O. Ouédraogo/YugbarE, D. Yé - Burkina Faso
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 6707 - Juillet 2020 - pages 407-416

Voir/masquer le résumé

Introduction : Le paludisme est une maladie parasitaire très fréquente en zone tropicale, sa forme grave s’accompagnant de manifestations variées. L’insuffisance Rénale Aiguë (IRA) est une complication avec un risque élevé de mortalité, surtout en cas de retard au diagnostic et de prise en charge. Notre étude a pour objectif de déterminer la fréquence, les manifestations cliniques et paracliniques ainsi que les facteurs associés à l’IRA au cours du paludisme grave chez l’enfant au CHU Pédiatrique Charles De Gaulle de Ouagadougou au Burkina Faso.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude prospective sur la période allant du 1er juillet au 31 décembre 2014, incluant les enfants de 0 à 15 ans hospitalisés pour paludisme grave. Cent soixante-huit patients ont été inclus.
Résultats : La fréquence hospitalière de l’IRA au cours du paludisme était de 45,8%. L’âge moyen de nos patients était de 58,9 ± 38,5 mois (extrêmes : 6-168). Il s’agissait de 33 garçons (42,9%) et 44 filles (57,1%) avec un sex-ratio de 0,75. La fièvre était le principal motif d’hospitalisation. Plasmodium falciparum était la seule espèce retrouvée. La créatininémie moyenne était élevée à 102,3 ± 245 µmol/L et le Débit de Filtration Glomérulaire (DFG) moyen était de 53,6 ± 38,2 ml/min/1,73m2. L’hémoglobinurie, la quinine et l’anémie sévère ont été incriminés dans le mécanisme de l’insuffisance rénale aiguë par nécrose tubulaire aiguë. La durée moyenne du séjour à l'hôpital était de 8,3 ± 3,4 jours. Le suivi avec contrôle de la créatinine sérique a concerné 58 patients (75,3 % des cas) à un mois et 44 patients (57,1 % des cas) à trois mois. Les autres patients étaient absents lors des rendez-vous de suivi. Le DFG est normalisé chez tous les patients qui ont eu un contrôle de la créatinine sérique avec des moyennes respectives de 94,8 ml/min/1,73m2 à un mois et de 101,7 ml/min/1,73m2 à trois mois de suivi. Douze décès ont été constatés (taux de mortalité de 15,6 %).
Conclusion : L’IRA au cours du paludisme est une complication fréquente d’où l’intérêt de la prévention dans notre contexte marqué par le retard diagnostique et de prise en charge thérapeutique.

Mots clés :

Insuffisance rénale, paludisme, enfant, Ouagadougou, Afrique

Lire l'article

Cet article est actuellement coté note (1,0 étoiles) par les abonnés de APIDPM Santé tropicale.
Il a été consulté 10121 fois, téléchargé 421 fois et évalué 1 fois.  Aucun commentaire n'a encore été ajouté à propos de cet article


Classé N° 9 sur 308 articles

Anémie au cours de la grossesse au Sénégal : rôle du paludisme et des parasitoses intestinales

B. Faye, R.C. Tine, K. Sylla, A. Diagne, D. Sow, J.L. Ndiaye, Y. Dieng, O. Faye, O. Gaye - Sénégal
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 6103 - Mars 2014 - pages 169-174

Voir/masquer le résumé

Chez la femme enceinte, l'anémie est fréquemment rencontrée. Les parasitoses intestinales et le paludisme sont souvent cités dans les étiologies. L'objectif de cette étude était de mesurer l'impact de ces affections sur la survenue de l'anémie chez la femme enceinte en zone suburbaine au Sénégal. Un examen de selles, une goutte épaisse et une Numération Formule Sanguine (NFS) ont été effectués chez des femmes au dernier trimestre de grossesse ou à l'accouchement. L'examen parasitologique des selles a révélé que 65.4% des femmes hébergeaient au moins un parasite intestinal. Les principaux parasites mis en évidence étaient Ascaris lumbricoïdes (41.6%), Trichuris trichiura (24.1%) et Entamœba coli (25.1%). La goutte épaisse était négative dans 100%. La prévalence de l'anémie (hémoglobine < 11g/dl) était de 55.3%. Une corrélation significative a été retrouvée entre l'anémie et le poly-parasitisme RR [IC 95%] = 1.94 [1.1-3.4] (p = 0.03).
Les étiologies parasitaires malgré une prévalence élevée des parasitoses intestinales ne semblent pas être la cause la plus importante dans la survenue de l'anémie chez la femme enceinte au Sénégal.

Mots clés : Anémie, parasitoses intestinales, paludisme, femme enceinte

Lire l'article

Cet article est actuellement coté note (1,7 étoiles) par les abonnés de APIDPM Santé tropicale.
Il a été consulté 6261 fois, téléchargé 417 fois et évalué 6 fois.  1 commentaire a été posté à propos de cet article


Classé N° 10 sur 308 articles

Anémie au cours de la grossesse au Sénégal : rôle du paludisme et des parasitoses intestinales

B. Faye, R.C. Tine, K. Sylla, A. Diagne, D. Sow, J.L. Ndiaye, Y. Dieng, O. Faye, O. Gaye - Sénégal
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 6103 - Mars 2014 - pages 169-174

Voir/masquer le résumé

Chez la femme enceinte, l'anémie est fréquemment rencontrée. Les parasitoses intestinales et le paludisme sont souvent cités dans les étiologies. L'objectif de cette étude était de mesurer l'impact de ces affections sur la survenue de l'anémie chez la femme enceinte en zone suburbaine au Sénégal. Un examen de selles, une goutte épaisse et une Numération Formule Sanguine (NFS) ont été effectués chez des femmes au dernier trimestre de grossesse ou à l'accouchement. L'examen parasitologique des selles a révélé que 65.4% des femmes hébergeaient au moins un parasite intestinal. Les principaux parasites mis en évidence étaient Ascaris lumbricoïdes (41.6%), Trichuris trichiura (24.1%) et Entamœba coli (25.1%). La goutte épaisse était négative dans 100%. La prévalence de l'anémie (hémoglobine < 11g/dl) était de 55.3%. Une corrélation significative a été retrouvée entre l'anémie et le poly-parasitisme RR [IC 95%] = 1.94 [1.1-3.4] (p = 0.03).
Les étiologies parasitaires malgré une prévalence élevée des parasitoses intestinales ne semblent pas être la cause la plus importante dans la survenue de l'anémie chez la femme enceinte au Sénégal.

Mots clés : Anémie, parasitoses intestinales, paludisme, femme enceinte

Lire l'article

Cet article est actuellement coté note (1,7 étoiles) par les abonnés de APIDPM Santé tropicale.
Il a été consulté 6261 fois, téléchargé 417 fois et évalué 6 fois.  1 commentaire a été posté à propos de cet article


encart_cefoken

encart_ciblor

CONTACTEZ-NOUS

Adresse

Téléphone

CARTE DU SITE

Revue MAF

Revue OST

Actualités

Rubriques spécialités

Webinaires

Espaces labos

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !