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Revue de presse de Santé tropicale

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Des médecins expatriés de l’Hôpital du Cinquantenaire interdits d’exercer en RDC

Les dépêches de Brazzaville | Congo-Brazzaville | 26/05/2015 | Lire l'article original

La déclaration a été signée conjointement par le président national de l’Ordre des médecins, le Dr Antoine MBUTUKU, et son président provincial, le Dr Tshimpeta. Dans leur déclaration, les médecins ont démontré que la plupart des expatriés qui travaillent à l’Hôpital du Cinquantenaire n’ont ni qualité, ni compétences techniques requises. En plus, ils ne veulent pas obéir aux lois du pays. Selon les présidents national et provincial de l’Ordre des médecins, l’État Congolais a réglementé la pratique de la médecine afin de la sécuriser et de la mettre à l’abri des excès ou insuffisances susceptibles de causer nuisances à la Santé de la population.

Par conséquent, aucun médecin étranger soit-il ne peut l’enfreindre. Malheureusement, les médecins expatriés prestant à l’Hôpital du Cinquantenaire se comportent comme s’ils étaient en territoire conquis.

Le Conseil national avait même saisi l’autorité judiciaire pour exercice illégal de l’art de guérir à l’encontre des sujets indiens œuvrant à l’Hôpital du Cinquantenaire. À entendre les Drs Antoine Mbutuku et Tshimpeta, le bureau du Conseil Urbain de l’Ordre des Médecins (CUOM) réagissant à cette illégalité voulue et entretenue en âme et consciente par le gestionnaire de l'Hôpital du Cinquantenaire en dépit du rappel à l’ordre du ministre qui l'a interpellé par deux fois en de quatre mois, comme le témoignent nos correspondances du 19 juillet 2014 et celle du 29 novembre 2014 sans que ledit gestionnaire daigne s’exécuter. Eu égard au mépris dont a fait montre ce dernier à tous ces rappels à l’ordre, le bureau du CUOM s’est vu dans l’obligation d’interdire l’exercice de la médecine à tous les médecins expatriés de l’Hôpital du Cinquantenaire. Il faut encore souligner qu’à la suite de la réponse du gestionnaire de cet l’hôpital, suspendant son inscription aux instructions qu’il devait recevoir du cabinet du président de la République, celui-ci choqué du trafic d’influence voulant l’impliquer, dans sa correspondance du 15 mars 2015, n° 0486/03/2015, a mis en garde ce dernier d’évoquer abusivement l’intervention du cabinet du président de la République dans ses démarches et relations avec les tiers. « Nonobstant l’interdiction d’exercer la médecine, les rappels à l’ordre de la présidence de la République, du ministre de la Santé, le gestionnaire du Cinquantenaire s’illustre par des pratiques publicitaires au profit de son institution hospitalière en violation des dispositions légales y afférentes », peut –on lire.

À la lumière de cet entêtement susmentionné dans le chef du gestionnaire du Cinquantenaire, poursuit la déclaration, l’Ordre des médecins n’ayant pas un pouvoir de coercition afin de contraindre les présumés médecins expatriés à se conformer à la loi, il ne peut que s’en remettre aux autorités ci-après : le gouverneur de la ville-Province de Kinshasa en tant qu’autorité politico-administrative gardant jusqu’à ce jour un mutisme dépassant tout entendement quoique saisi officiellement; le ministre de la Santé, autorité de tutelle et, pourtant, le premier ayant tiré la sonnette d’alarme, fait preuve d’une léthargie face à l’insubordination d’un agent placé sous un commandement et au Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication, dans sa vocation de réguler le fonctionnement des médias, fait montre d’une apathie dans le suivi des décisions prises par la Haute autorité des médias dont il est l’émanation, quant à la publicité des maisons des soins.

Aline Nzuzi

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