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27/10/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
Une campagne de déparasitage des enfants en âge scolaire dans six
provinces du Cameroun a été lancée vendredi dernier à
Garoua. Déparasiter systématiquement et régulièrement
tous les enfants en âge scolaire, rendre les médicaments disponibles
dans toutes les formations sanitaires, éduquer et sensibiliser les populations,
promouvoir l’hygiène et l’assainissement de l’environnement.
Telles sont les actions prioritaires que compte mener le programme national
de lutte contre la schistosomiase et les helminthiases intestinales au Cameroun.
Lancé officiellement vendredi dernier à Garoua par le Secrétaire
permanent du programme, le Pr. Louis-Albert Tchuem Tchuente, ce projet sanitaire
va couvrir toutes les trois provinces septentrionales, ainsi que la province
du Sud, du Sud-ouest et du Nord-Oeust. Pour le gouverneur de la province du
Nord, Roger Moïse Eyene Nlom, qui présidait la cérémonie,
c’est une satisfaction de voir la capitale provinciale du Nord abriter
le lancement de ce programme pour toutes les six provinces concernées.
Mots clés : vers intestinaux
27/10/2007 | Gabonews | Gabon
Le marché libre des écorces et des feuilles de brousse,
dérivées des essences naturelles de la forêt gabonaise se
développe à grand pas, avec la commercialisation de ces produits
sur le marché principal de la capitale gabonaise, a constaté GABONEWS.
Cette activité met en scène quelques traditionalistes, dont l’objectif
est de promouvoir ces produits du terroir, même s’il se pose le
préoccupant problème de conservation. C’est donc en homme
averti, que Sylvain Bouka Bouka exerce, sans complexe, la vente d’écorces
et feuilles, issues d’essences naturelles de la forêt équatoriale
avec pour posologie : l’absorption de la décoction à base
de ces écorces.
Mots clés : feuilles de brousse
26/10/2007 | Sud Quotidien | Sénégal
Les structures sanitaires privées du Sénégal ne
transmettent pas les informations relatives aux données sanitaires. Elles
pénalisent ainsi gravement les services chargés d’élaborer
les données statistiques. C’est ce qu’a laissé entendre
hier, le Dr Moussa Diakhaté, Directeur du Service national de l’information
sanitaire à l’atelier de formation et de sensibilisation des journalistes
du secteur sur la collecte, le traitement et l’interprétation des
statistiques relatives au secteur de la santé. Or pour rendre crédibles
les informations issues du secteur, il est nécessaire d’améliorer
les conditions d’intégration de la collecte d’information
des structures privées.
Mots clés : statistique sanitaire
26/10/2007 | Le potentiel | Congo-Kinshasa
La zone de santé de Buta, située à 324 kilomètres
au Nord de Kisangani, a enregistré des résultats satisfaisants
lors de la dernière campagne de lutte contre l’Onchocercose. De
147 185 malades enregistrés, 116 276 ont été traités,
soit une performance de 79%, rapporte radiookapi.net. Ces résultats ont
été annoncés lundi dernier, au cours de la clôture
de l’évaluation de cette campagne qui s’est tenue du 15 mai
au 25 juin. Selon le médecin chef de zone de santé, il s’agit
d’une performance réelle par rapport aux cinq dernières
années dont les résultats n’étaient que de 35 %.
Pour le docteur Bienvenue Apalata, l’adhésion de la communauté
locale à ce programme constitue l’un des facteurs à l’origine
de cette performance. « En 2002, nous avons réussi à traiter
37,7%. Mais actuellement, la population s’approprie cette activité
et cela entraîne son l’adhésion massive », explique-t-elle.
Mots clés : Onchocercose
26/10/2007 | Le potentiel | Congo-Kinshasa
Une femme d’une trentaine d’années est morte mardi
à 16h locales dans le village Bulango Kapembe, à 20 kilomètres
de Mweka. Selon un communiqué émanant de l’OMS, la victime
avait manipulé et consommé la viande d’un animal mort, rapporte
radiookapi.net. Le communiqué de l’OMS indique que le tableau clinique
de la femme décédée présentait notamment la fièvre
et de la diarrhée. L’échantillon de la victime n’a
cependant pas pu être prélevé face au refus de sa famille.
Le mari de la femme s’est opposé à ce que le sang de la
défunte soit extrait du cœur, estimant qu’il s’agit
d’une pratique d’un autre âge.
Mots clés : Ebola
26/10/2007 | Le potentiel | Congo-Kinshasa
L’épisode qui met en cause l’hydroquinone n’est
pas encore à terme dans le microcosme économique congolais. ’on
est véritablement en train de vivre un scénario où l’acteur
principal demeure encore et toujours l’hydroquinone. Alors que tous les
produits le contenant restent frappés d’interdiction de fabrication,
d’importation et de commercialisation sur toute l’étendue
de la République démocratique du Congo. Paradoxe. Les produits
à base de l’hydroquinone sont bien présents sur les marchés
congolais au grand dam de l’autorité qui a décidé
de les interdire de circulation depuis juin 2006.
Mots clés : hydroquinone
26/10/2007 | L'essor | Mali
Créée en 1967 par Charles Mérieux à la
mémoire de son père, Marcel, aux convictions humanistes reconnues,
la Fondation Mérieux porte superbement aujourd'hui ses 40 ans. Dans la
mouvance de cet anniversaire qui sera célébré avec faste
en France, la Fondation Mérieux-Mali, inaugurée en janvier 2005
par le président Amadou Toumani Touré, a organisé mercredi
une journée de restitution de ses activités. L'événement
était présidé par le secrétaire général
du ministère de la Santé, Daba Diawara, et s'est déroulé
en présence de Benoît Mirabel, directeur général
de la Fondation Mérieux à Lyon, Roland Johanssen, conseiller technique
à la délégation de la Commission européenne, du
représentant de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) au Mali,
Lamine Cissé Sarr, et du directeur de la Fondation Mérieux-Mali,
le Dr Youssouf Issabré.
Mots clés : fondation, Mérieux, maladie
26/10/2007 | L'Express | Maurice
Les choses traînent au niveau des services sanitaires pour la
région de Coromandel à Quatre-Bornes. Il n’y aurait ainsi
ni suivi ni prélèvements sanguins de passagers venant de régions
à risque. Une fois ces personnes arrivées, les services sanitaires
à l’aéroport réfèrent le cas à ceux
s’occupant de la région concernée. Ce sont eux qui font
le suivi. Par exemple, un passager n’aurait été contacté
par les services sanitaires que deux mois après son retour de Madagascar,
de Tanzanie et d’un autre pays d’Afrique. Entre-temps, il était
reparti en Thaïlande d’où il est revenu. L’épouse
de ce passager est outrée. “C’est aberrant. C’est un
grave problème de santé publique. En deux mois, la personne aurait
pu être malade. Sans compter qu’elle en aurait contaminé
d’autres. Je suis enceinte et j’ai un enfant de deux ans. Donc,
nous sommes très vulnérables.”
Mots clés : service sanitaire
26/10/2007 | Destination Santé | France
A l'état naturel, l'eau renferme une certaine quantité
de fluor. En faibles concentrations ce dernier protège les dents contre
les caries, mais s'il est absorbé en excès il peut entraîner
une véritable maladie. C'est la fluorose, qui s'attaque aux dents mais
aussi aux os. Et ses conséquences sont dévastatrices. Tibiri,
une ville située à 10 km de Maradi dans le sud du Niger, en a
fait la cruelle expérience. L'histoire a commencé en 1985 par
un forage qui devait alimenter la communauté en eau potable. Des analyses
ont bien été réalisées, pour déterminer si
l'eau pouvait être bue par la population. Mais aucune recherche n'a concerné
le fluor.
Mots clés : fluorose
25/10/2007 | L'Express | Maurice
La réunion qui s’est tenue récemment au ministère
de la Santé à Paris et à laquelle participait la présidente
de l’association île de la Réunion contre le chikungunya
(IRCC) a permis de confirmer que l’impact du virus sur la santé
des Réunionnais n’est pas terminé. Dix-huit mois après
avoir contracté le chikungunya, 40 à 50 % des malades continuent
de souffrir de séquelles plus ou moins lourdes, telles sont les premières
conclusions d’une étude menée par l’Institut national
de veille sanitaire (INVS). L’épidémie du chikungunya terminée,
la Réunion n’est donc pas sortie d’affaire pour autant. D’après
cette étude menée par l’INVS, presque deux ans après
avoir contracté le virus, “presque la moitié despersonnes
touchées présentent encore des séquelles”, assure
Josette Brosse. La présidente de l’IRCC, partie plaider la cause
des malades à Paris, en a eu la confirmation par la représentante
de l’INVS lors de cettte réunion qui s’est tenue au ministère
de la Santé.
Mots clés : chikungunya
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