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La gazette de la grande île | Madagascar | 05/03/2010 | Lire l'article original
«On ne fait plus qu'une seule incision. Il y a moins de douleurs postopératoires et un avantage esthétique avec une cicatrice presque invisible. Il ne faut pas oublier que les donneurs ne sont pas des malades», précise le professeur Xavier Martin, chef du service d'urologie et de chirurgie de la transplantation. Cette technique va-t-elle inciter plus de personnes à effectuer un don de rein de leur vivant_? «Ce n'est pas le but premier. Mais cela peut avoir cet effet», répond Xavier Martin. En France, un tiers des patients souffrant d'insuffisance rénale chronique ont pu obtenir une greffe, dont 10% viennent d'un donneur vivant. «Il y a pénurie», constate le professeur Lionel Badet, chirurgien au service transplantation. Tiana a, elle, décidé, il y a un an, de donner son rein, pour sauver Achille Valisoalalao, son mari. «Et le résultat est excellent, pour elle comme pour moi», se réjouit-il.
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