Les assises de la Saranf qui ont coïncidé avec le 1er congrès de la Société congolaise d'anesthésie-réanimation et urgence (Socaru), ont permis aux congressistes d'examiner la prise en charge de la douleur.

Invité à clôturé les travaux, le ministre de la Santé et de la population, Georges Moyen, s'est félicité des nouvelles opportunités ouvertes pour la spécialité d'anesthésie-réanimation. Il a également félicité le nouveau directeur de l'École des infirmiers.

« D'autres opportunités ont été indiquées à l'ouverture de ce congrès, a reconnu le ministre Georges Moyen, qui mises ensemble, concourent à dessiner un univers de travail aux potentialités inouïes. Maximisez ces chances, a-t-il poursuivi, pour votre développement professionnel et l'amélioration de notre système de santé. »

A propos de l'anesthésie et de la réanimation, le ministre a noté avec satisfaction les efforts du CHU de Brazzaville, rappelant que : « le taux de décès sur table opératoire était passé de 499 pour 100.000 malades opérés en 2007 (soit 14 décès) à 120 pour 100.000 en 2009 (soit 3 décès) ».

Cette rencontre a regroupé quinze pays membres. Les participants aux assises ont entendu douze conférences des infirmiers, cinquante-huit communications libres, des ateliers et vingt-sept conférences de médecins.

Rappelons que les prochaines assises de la Saranf se tiendront en 2011 à Abidjan (Côte d'Ivoire).

Fortuné Ibara

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