Accès aux sites pays fleche Santé tropicale au Bénin BENINSanté tropicale au Burkina Faso BURKINA FASOSanté tropicale au Cameroun CAMEROUNSanté tropicale en Centrafrique CENTRAFRIQUESanté tropicale au Congo CONGOSanté tropicale en Côte d'Ivoire COTE D'IVOIRESanté tropicale au Gabon GABON
Santé tropicale en Guinée GUINEESanté tropicale à Madagascar MADAGASCARSanté tropicale au Mali MALISanté tropicale en R.D. Congo R.D. CONGOSanté tropicale au Sénégal SENEGALSanté tropicale au Togo TOGO



Souffrez-vous de crises hémorroïdaires ? - Plus d'informations

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici

Revue de presse de Santé tropicale

Trier les actualités par :

Lutte contre les hépatites : briser le tabou d’une maladie asymptomatique

Le soleil | Sénégal | 26/07/2011 | Lire l'article original

La coordinatrice du Programme national de lutte contre les hépatites (Pnlh), le Pr. Aminata Sall Diallo, a plaidé pour la réduction du coût de traitement. L’appel a été lancé lors d’un point de presse organisé, hier, en prélude à la conférence internationale des acteurs de l’Afrique francophone, qui se tient à Dakar, les 26, 27 et 28 juillet 2011.

La lutte contre les hépatites est amorcée en Afrique francophone. Ainsi, durant trois jours, les participants échangeront sur des propositions et autres recommandations à porter auprès des décideurs politiques, des professionnels de la santé, des partenaires nationaux et internationaux et des industries pharmaceutiques. Selon la coordinatrice du Programme national de lutte contre les hépatites, le Pr. Aminata Sall Diallo, l’objectif de cette conférence internationale, c’est de briser le silence qui entoure ces maladies en Afrique. «Notre continent a les mêmes problématiques dans ce domaine. L’idée, c’est de pousser les états qui se sont engagés, à faire des hépatites une super priorité pour que le traitement soit accessible à tous. Le coût est en-deçà de nos moyens. Ce n’est pas juste», a-t-elle souligné. Et de poursuivre : «Nous estimons qu’il faut briser le silence, parce que l’infection elle-même est silencieuse. Elle est quasiment asymptomatique. A cela s’ajoute le coût très élevé des vaccins et le problème de réservoir de virus. Aujourd’hui, les porteurs chroniques du virus transmettent la maladie. Ils ont eux-mêmes un risque d’évoluer vers quelques complications comme la cirrhose ou cancer du foie.

C’est tout l’intérêt de notre combat qui consiste à prendre en charge, de manière spécifique, ces porteurs chroniques, leur offrir un traitement, lutter efficacement pour pouvoir dépister les malades en Afrique. C’est le seul moyen d’éviter de transmettre ces maladies», a-t-elle déclaré. Parlant au nom des participants, la présidente de Sos hépatites Mali, Diéynaba Samaké, s’est réjouie de ces trois jours de partage d’expériences sur les hépatites. «Avant la création de notre association, les hépatites étaient considérées comme sujet tabou au Mali. A la date d’aujourd’hui, je confirme qu’entre 17 et 20% de la population a déjà une hépatite chronique. Cette rencontre de Dakar, nous offre la possibilité de parler de cette maladie ravageuse du continent africain», a-t-elle informé.

L’ampleur de la maladie est telle que l’Organisation mondiale de la santé (Oms) a inscrit les hépatites comme 4ème priorité de santé publique. Selon le représentant de l’Oms, Khalifa Mbengue, c’est le moment ou jamais d’intensifier le plaidoyer.

Tata SANE

Lire l'article original

Retour

NEWSLETTER

Restez informés : recevez, chaque mercredi, la lettre d'informations de Santé tropicale. Inscriptions


Vous êtes professionnel(le) de santé ?

Ce contenu gratuit vous est destiné :

img_produit

img_produit

img_produit

img_produit
Téléchargez hearWHO - Pour vérifier l'audition !

img_produit

Vidéo formation

Espace formation Pierre Fabre

vig_webinar15
Prise en charge du paludisme en ASS : Place de la DHA – PQP - Pr Issaka SAGARA et Pr Mahamadou A THERA

encart_diam_cooper
Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays


CONTACTEZ-NOUS

adresse Adresse

  • APIDPM
    135, chemin de Canto Maï
    83190 Ollioules - France

tel Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

email Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation


Site éditeur :
logo

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !