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Revue de presse de Santé tropicale

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Immunisation - Un vaccin contre la rubéole en 2016

L'express de Madagascar | Madagascar | 19/06/2015 | Lire l'article original

La prévision d’introduire de nouveaux vaccins continue. Le moyen de financement durable pour les vulgariser reste encore au stade de projet de loi. La rubéole dont le nom vernaculaire est « bonibony » est une maladie généralement bénigne touchant essentiellement les enfants. Mais elle peut provoquer de graves malformations congénitales lorsque les femmes sont infectées au début de leur grossesse.

« Suite à ce constat, le service de vaccination au sein du ministère de la Santé publique prévoit d’introduire le vaccin contre la rubéole l’année prochaine », a déclaré Louis Marius Rakotomanga, chef de service de vaccination. Une information qu’il a annoncée hier lors de l’atelier de mise à jour et d’appropriation du projet de loi de financement durable de la vaccination à Antanimena.

L’étude est ainsi en cours pour identifier la cible et le coût de l’introduction de ce vaccin. « Ce sont les enfants qui devraient être la principale cible du vaccin », a avancé Jean-Michel Heraud, chef de l’unité de virologie de l’Institut Pasteur de Madagascar (IPM), joint par téléphone. Certaines littératures scientifiques ont aussi avancé que 80 à 95 % des femmes sont immunisées avec un taux qui augmente avec les vaccinations systématiques dès l’enfance. Les études menées par l’IPM, selon toujours Jean-Michel Heraud, ont avancé que sur les quatre cent à cinq cent cas étudiés chaque année, cent à deux cent d’entre eux ont été confirmés. « Les 99% des cas confirmés affectent les enfants », poursuit le chef de l’unité de virologie de l’IPM.

L’inquiétude repose toutefois sur le moyen afin de vulgariser ce nouveau vaccin. Aussi, le moyen pour financer la vulgarisation du vaccin contre le Virus du Papillome Humain demeure un véritable casse tête aujourd’hui, malgré l’appui des bailleurs. Le fonds nécessaire afin de vulgariser le vaccin contre le cancer du col de l’utérus est ainsi de 172 560 000 000 d’ariary, non compris le frais d’importation du vaccin. D’après le chef de service de vaccination, l’État doit fournir les 20% de ce fonds, soit 34 512 000 000 d’ariary.

« Ce nouveau projet de loi devrait résoudre ce problème. Il stipule les moyens pour financer la campagne de vaccination à Madagascar. Le secteur privé y est incité à le financer pour le bien de la population. L’État doit aussi rassurer les bailleurs que le fonds alloué pour la campagne de vaccination ne doit pas être affecté dans une autre rubrique », a rassuré Louis Marius Rakotomanga.

Taux de couverture faible

Le bilan du taux de couverture de vaccination pour le premier trimestre de cette année reste encore faible. « Sans la semaine de vaccination, le taux de couverture n’était que de 71% pour le premier trimestre », a indiqué Louis Marius Rakotomanga. La cause de ce faible taux demeure le manque d’investissement pour immuniser la population. Aussi il faut du pétrole pour conserver le vaccin, des agents mobilisateurs pour inciter tous les jours les habitants à faire vacciner leurs enfants et trouver un moyen de transport.

Vonjy Radasimalala

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