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Revue de presse de Santé tropicale

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Le Dr Papy Kabongo : « Il n’y a pas assez de difficultés par rapport à la conservation des vaccins ».

Les dépêches de Brazzaville | Congo-Brazzaville | 27/09/2015 | Lire l'article original

Les journées locales de vaccination se déroulent normalement dans la ville de Mbuji-Mayi dans la province du Kasaï-Oriental. Tout a été mis en œuvre pour que cette campagne qui cible tous les enfants de moins de 5 ans soit une réussite. Du coté logistique, le médecin chef d’antenne du programme élargi de vaccination à Mbuji-Mayi, le Dr Papy Kabongo Tshijuke révèle, dans une interview accordée aux dépêches de Brazzaville, qu’il n’y a pas assez de difficultés.

Dépêches de Brazzaville : Comment s’est déroulé le lancement des journées locales de vaccination contre la polio ?

Le Dr Papy Kabongo : Le lancement a eu lieu depuis le 23 septembre, c’était dans la zone de santé de Bonzola devant l’hôpital général de Dipumba. Ce qu’on peut noter de positif est que le lancement a été patronné par le gouverneur de la province du Kasaï-Oriental, Alphonse Ngoy Kasanji, en présence d’autres autorités de l’Assemblée provinciale, des représentants des agences de l’ONU ainsi que le Conseil de sécurité et d’autres cadres de la santé. À ce jour, nous disons que nous sommes à la 2e journée de la campagne. Malgré la pluie, les équipes ont été sur le terrain. Les résultats reçus démontrent que l’activité se mène correctement sur le terrain. En moyenne, nous sommes à 40% par rapport a la cible attendue. On se dit que tout va bien.

Avez-vous enregistré certains cas de résistance ?

Sincèrement, je dirai qu’il n’y a pas de résistances, ce sont de faux résistants. Quelqu’un qui n’a pas été convaincu par un vaccinateur qui n’a pas pu bien lui donner l’information se dit au lieu de me donner le vaccin, donnez-moi aussi à manger. Et cette personne, on la traite de résistant. Non. Il est question ici de la vraie information à la personne. Tous les enfants sont en train d’être vaccinés sans résistance.

L’antenne de Mbuji-Mayi a dix-neuf zones de santé. C’est dans quatre zones de santé qu’on retrouve quand même des foyers de résistance notamment dans la zone de santé de Tisthipi, Nzaba et Kabeya kamwanga. C’est plus là où il y a beaucoup d’adeptes de bapostolo ou de baba. Mais nous avons adopté la politique de les intégrer dans la campagne. On les retrouve parmi les mobilisateurs, les vaccinateurs. Ils se font eux même vacciner la nuit pour ne pas se faire remarquer.

Quelles sont les dispositions prises pour assurer une bonne conservation des vaccins ?

La ville de Mbuji-Mayi est confrontée aux difficultés d’énergie électrique. Néanmoins, nous prenons des dispositions pour que les vaccins soient conservés normalement. Avant la campagne, toutes les zones de santé ont été approvisionnées en carburant qui doit être utilisé pour le groupe électrogène. Ce qui allait permettre au réfrigérateur et le congélateur de fonctionner normalement. Ce carburant devait aussi être utilisé pour les véhicules d’usage pendant la campagne. Il y a aussi des zones de santé qui ont des réfrigérateurs solaires, raison pour laquelle, il n’y a pas assez de difficultés par rapport à la conservation des vaccins.

Nous avons aussi loué une chambre froide supplémentaire pour remédier à la difficulté de recyclage de bloc de glaces et des accumulateurs. Nos réfrigérateurs de l’antenne servent juste à la conservation des vaccins. Cela étant, aucune zone ne peut prétendre ne pas avoir des accumulateurs recyclés. Il y a seize mille blocs de glaces et deux mille accumulateurs recyclés. Pour ce qui est des vaccins, nous avons reçu des vaccins en quantité suffisante et de bonne qualité. Ce sont des vaccins au stade 1et 2.

Aline Nzuzi

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