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L'Express | Maurice | 19/02/2007 | Lire l'article original
Les personnes fiévreuses, dont des étrangers, les voyageurs qui rentrent au pays et tous ceux qui ont souffert de fièvre et de douleurs ont, depuis le mois dernier, subi trois tests : le premier pour isoler le virus, le second pour détecter les anti-corps et déterminer si la personne a déjà été infectée par le chikungunya, et le dernier pour dépister toute éventuelle infection récente. “Nous avons eu des personnes avec de la fièvre et des enflures aux chevilles, que l’on croyait atteintes du chikungunya, mais ces tests se sont avérés négatifs”, soutient le virologue de Candos, Nane Pyndiah.
Il est important, comme la loi le prévoit, que les médecins privés réfèrent régulièrement les cas suspects, pour que ne se crée un faux sentiment de sécurité. Dans le même ordre d’idées, Satish Faugoo, ministre de la Santé, dit maintenir l’état d’alerte : “C’est dans ce contexte que j’ai redynamisé la cellule qui s’occupe de ce dossier, tant pour une surveillance régulière que pour agir promptement quand il y a des cas suspects.” Il attribue les résultats positifs aux différentes actions prises tant par son ministère que par le privé. Il se réjouit de cette situation qui ne pourra que redonner confiance aux touristes.
Jane L. O’Neill
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