Selon la source, la pauvreté, l’inégalité des sexes, la prostitution et la traite sont à la base de relations sexuelles transactionnelles qui ont augmenté considérablement le risque d’infections au Vih. En plus, la violence contre les femmes qui est une pratique courante dans certains pays les plus touchés par le Vih/Sida, ainsi que les tabous sociaux qui engendrent une culture du silence pour tout ce qui concerne le sexe et les risques de transmission du Vih, augmentent les risques d’infection chez les femmes et les filles. De plus, physiologiquement, les femmes sont plus susceptibles au Vih que les hommes et la transmission d’homme à la femme pendant l’acte sexuel est deux fois plus probable que la transmission de femme, signale la même source.

Véron-Clément Kongo

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