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Grâce aux nouvelles méthodes de traitements : Tout malade peut retrouver son autonomie après un AVC

Le soleil | Sénégal | 26/10/2019 | Lire l'article original

Les avancées de la médecine continuent de réduire la morbidité liée aux maladies cardiovasculaires. Le chef du service cardiologie de l’Hôpital général Idrissa Pouye, Dr Bouna Diack, affirme que le malade atteint d’Accident Vasculaire Cérébral (AVC) peut bien retrouver son autonomie et reprendre sa vie grâce aux nouvelles méthodes de traitements.

L’évocation des maladies du cœur suscite la peur. Ces affections cardiovasculaires peuvent, en effet, déboucher sur des séquelles irréversibles. La nouveauté, c’est qu’il est bien possible que le sujet victime d’un Accident Vasculaire Cérébral (AVC) ou d’une crise cardiaque puisse reprendre sa vie normale. C’est ainsi qu’avec la nouvelle unité de cardiologie interventionnelle de l’Hôpital général Idrissa Pouye, « nous avons la possibilité d’enlever ce qui crée l’AVC et permettre à la personne de reprendre sa vie normale dès qu’elle sort de l’unité d’angiographie. Nous pouvons traiter et guérir tous les cancers débutant, quel que soit le type, si nous le découvrons très tôt », renseigne Dr Bouna Diack, chef du service cardiologie de l’Hôpital général Idrissa Pouye.

Sans une incision des artères ou des vaisseaux sanguins ou d’une partie de la tête, les technologies permettent de faire des explorations et le traitement de toutes les anomalies, y compris sur les sujets les plus jeunes. « Nous allons la traiter ici de façon excellente, efficace, plus que tout autre moyen tout ce qui est crise cardiaque et malaise. En plus de cela, nous prenons en charge des arythmies de cœur, c’est-à-dire quand le cœur est trop lent ou quand il bat trop vite », assure le cardiologue. Désormais, il est possible que les malades victimes d’AVC retrouvent entièrement leur autonomie grâce à la cardiologie interventionnelle, du moins si le malade arrive moins de 12 heures de temps après l’attaque. « Nous ne l’avons pas encore fait au Sénégal, mais c’est possible de le faire. Grâce à l’appareil de notre service, le malade peut récupérer entièrement son autonomie que ça soit des Avc ou des hémorragies. Nous avons maintenant la possibilité d’arrêter les saignements », renseigne le cardiologue.

Les nouveaux équipements offrent plus de conditions de sureté et de sécurité à la fois au patient, aux agents paramédicaux et aux médecins. Ces appareils de dernière génération ont une capacité d’émission des rayonnements ionisants.

La modernisation des équipements des services de cardiologies doit être une urgence pour toutes les structures hospitalières. En réalité, les pathologies cardiovasculaires considérées, il y a quelques années, comme maladies des riches ou des pays pauvres ne cessent d’augmenter en Afrique. « Les statistiques du ministère de la Santé montrent que les maladies cardiovasculaires sont les premières causes de décès chez les adultes », informe Dr Bouna Diack.

I. SANE et E. KALY

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