L’étude démontre ainsi clairement de quelle façon ils se partagent le travail pour accélérer le processus du développement du cancer. Les chercheurs ont testé trois molécules inhibitrices spécifiques de ces gènes. Prises séparément, elles n’ont guère eu d’effet. En revanche, leur association a permis de réduire la croissance de la tumeur de l’ordre de 50% chez les souris. L’impact obtenu en ciblant les gènes favorisant les prétastases pulmonaires est plus significatif. Des premiers tests cliniques devraient commencer prochainement et fournir des premiers résultats préliminaires d’ici quelques années.

Par Véron-Clément Kongo

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