Accès aux sites pays BENIN BURKINA FASO CAMEROUN CENTRAFRIQUE CONGO COTE D'IVOIRE GABON
GUINEE MADAGASCAR MALI R.D. CONGO SENEGAL TOGO
Le potentiel | Congo-Kinshasa | 07/05/2007 | Lire l'article original
Ces maladies persistent, selon l’OMS, dans les pays en développement qui ne considèrent pas la santé publique comme une priorité. Et faute de statistiques fiables en raison de noms compliqués, il est difficile de faire mieux connaître ces maladies au grand public. Tout en restant optimiste, l’OMS estime qu’en améliorant l’accès à des outils sûrs et d’un bon rapport coût/efficacité, on peut prévenir, éliminer voire éradiquer de nombreuses maladies tropicales négligées favorisées par l’absence d’eau salubre, les mauvaises conditions de logement et le manque de moyens d’assainissement.
Les estimations de l’OMS établissent que les enfants sont les plus vulnérables face à ces maladies, qui tuent, handicapent ou rendent irrémédiablement invalides des millions de gens, qui souvent souffrent et sont socialement exclus pour le restant de leurs jours. Il s’agit donc du choléra, des maladies diarrhéiques endémiques, de la dengue (la dengue hémorragique), la dracunculose (maladie du ver de Guinée), la filariose lymphatique, les géohelminthiases (nématodose, ankylostomiase et trichurose), la leishmaniose, la lèpre, la maladie de Chagas, l’onchocercose, la schistosomiase, le trachome, tréponématoses endémiques (pian, caraté, syphilis endémique), la trypanosomiase humaine africaine (maladie du sommeil) et l’ulcère de Buruli.
Par R.S.K
Restez informés : recevez, chaque mercredi, la lettre d'informations de Santé tropicale. Inscriptions
Ce contenu gratuit vous est destiné :
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Actualités
Articles médicaux