Accès aux sites pays BENIN BURKINA FASO CAMEROUN CENTRAFRIQUE CONGO COTE D'IVOIRE GABON
GUINEE MADAGASCAR MALI R.D. CONGO SENEGAL TOGO
Le quotidien | Sénégal | 06/11/2023 | Lire l'article original
Le Congrès de l’Organisation africaine pour la recherche et l’enseignement sur le cancer (Oarec), qui se tient pour la 2ème fois au Sénégal, ambitionne de trouver des solutions concrètes dans la lutte contre le cancer. Plus d’un millier de professionnels d’Afrique et des autres continents participent à la rencontre (2 au 6 novembre) au Cicad. La ministre Marie Khémesse Ngom Ndiaye promet une application des recommandations à l’échelle continentale.
Par Alioune Badara NDIAYE – S’approprier les meilleures pratiques pour minimiser les impacts du cancer sur le continent. Telle est l’ambition du Congrès de l’Organisation africaine pour la recherche et l’enseignement sur le cancer (Oarec, Aortic en anglais) qui se tient au Cicad de Diamniadio entre le 2 et le 6 novembre. Pour ce 14e congrès, pas moins de 1021 participants en provenance des 5 continents ont été enregistrés, selon les organisateurs. «Le thème de cette année, « Cancer en Afrique : mise en œuvre, main-d’œuvre, opportunités », indique une volonté de réfléchir sur la manière dont notre cher continent peut améliorer sa réponse à travers la mise en place de programmes efficaces, le renforcement des compétences et de la capacité des professionnels de santé et l’exploitation des opportunités pour faire avancer la lutte contre cette maladie dévastatrice», a indiqué vendredi la ministre de la Santé et de l’action sociale, Marie Khémesse Ngom Ndiaye, à l’occasion de la cérémonie inaugurale. « C’est un appel à l’action pour que nous tous, dans un effort commun, nous investissions davantage dans des solutions durables pour relever les défis et lever les obstacles », a-t-elle poursuivi. Les recommandations issues du conclave vont, selon elle, servir de feuille de route aux pays africains pour développer des solutions concrètes dans la lutte contre le cancer. « Notre objectif commun est de réduire la prévalence du cancer, d’améliorer la survie des patients et d’améliorer aussi la qualité de vie de ceux qui sont touchés par cette maladie », a dit Mme Ndiaye. « Je suis convaincue que des solutions existent, et qu’ensemble, nous pouvons améliorer la situation (…) Je vous confirme que les résultats de votre session seront très attendus par les différents systèmes de santé africains », a-t-elle relevé, non sans rappeler les efforts considérables déployés par le gouvernement dans le domaine.
Restez informés : recevez, chaque mercredi, la lettre d'informations de Santé tropicale. Inscriptions
Ce contenu gratuit vous est destiné :
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Actualités
Articles médicaux