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Le potentiel | Congo-Kinshasa | 12/04/2006 | Lire l'article original
Selon la source, les tests effectués en laboratoire attestent que les éponges sont capables, à faibles doses, d’inhiber le développement des dernières formes du parasite, celles qui résistent souvent au traitement à la chloroquine. Les tests de confirmation sont en cours sur les rongeurs, affirme l’article ajoutant que les organismes marins constituent un réservoir des substances actives contre les différents types de virus qui s’attaquent à l’homme ou aux animaux. Il existe, dit-on, 145.000 substances naturelles actives dans la composition des médicaments anticancéreux, antiviraux et antiparasitaires.
Solange Bozanzo
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