Et quand ils sont diagnostiqués, il y en a qui ne se traitent pas parce qu’ils ignorent qu’ils sont malades ou parce que l’accès aux soins nécessite un déplacement vers un centre de santé lointain. Et pour cela, nous intégrons les activités dans les structures fixes pour rapprocher les services de la communauté ». Les premières recommandations du médecin coordonnateur sont faites à l’endroit des cadres des zones de santé qui ont été formés : « La suspicion des cas de trypanosomiase doit être une activité quotidienne dans les structures de santé. La sensibilisation de la communauté pour se rendre au centre de santé est une deuxième recommandation. Mais mon vœu est que l’on mobilise des fonds supplémentaires pour la formation du personnel des autres zones de santé endémiques »

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