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Le potentiel | Congo-Kinshasa | 14/01/2008 | Lire l'article original
C’est beaucoup plus que la multiplication par 3 associée au tabagisme, ou par 2,5 qui serait liée à l’intoxication alcoolique… Un autre travail américain mené par une équipe de la Brown University, confirme d’ailleurs ce constat. Plus encore, parmi des patients non connus pour avoir été contaminés par le HPV, ceux qui avaient eu des rapports buccaux avec plus de 6 partenaires au cours de leur vie ont vu leur niveau de risque multiplié par 8,6. Le risque par conséquent, viendrait pour l’essentiel de la multiplicité des partenaires. Toutefois, l’auteur se veut rassurante. « Le cancer de l’oropharynx est rare et la majorité des personnes qui ont une infection buccale à papillomavirus ne développent pas (nécessairement) un cancer de la gorge ».
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