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MadagascarMédicament anti-sida - Christian Zaranaina Fanomezantsoa attend l’approbation de son brevet

L'express de Madagascar | Madagascar | 21/01/2006 | Lire l'article original

Christian Zaranaina attend l’approbation de son brevet 2851
Zaranaina Fanomezantsoa Christian persiste et signe. Sept ans après l'annonce de sa découverte d'un médicament miracle permettant de guérir le sida, le chercheur revient au devant de la scène médiatique. C'était hier au Motel Anosy. A travers la presse, il veut notifier le public qu'une agence de médicaments- dont il refuse de donner le nom-lui a accordé un brevet sur sa découverte, l'“immuno-régulateur anti-vih" .

“Selon la procédure internationale, les autorités nationales sont libres de faire opposition juridique ou verbale dans un délai de quinze jours après la notification publique. Dans ce cas, elles peuvent porter l’affaire en justice”, explique le chercheur qui est juriste de formation. En l'absence d'une quelconque opposition, “nous envisageons de demander une autorisation de mise en vente sur le marché (AMM)”, ajoute-t-il. S'ils essuient un refus, le chercheur et son équipe entendent négocier avec les firmes pharmaceutiques internationales. Dans ce cas, le médicament ne portera pas une dénomination malgache et selon lui, les retombées seront moindres pour la Grande île.
“Elles atteindront à peine les 13 %, dont 3% pour les plantes brutes et 10 % à titre personnel, alors qu'elles devraient avoisiner les 60 %”, insiste-t-il.
Le brevet, qui vient d'être notifié publiquement, est "un remède unique" à base de plantes médicinales. Il s'agit d'une sorte d'alimentation susceptible d'améliorer le système immunitaire de l'individu infecté par le virus. Scientifiquement classé comme un “intégrateur alimentaire” ou “Health food”, on peut l'assimiler à un stimulant anti-viral, explique Zaranaina Christian.

Preuve
Zaranaina Christian affirme posséder un brevet sur un médicament contre le sida

Sur le plan de la recherche, il estime que plusieurs étapes ont été franchies : “Cette recherche a atteint la phase galénique et le produit a été classé “extrait semi purifié”. Mais pour faciliter la procédure, il a fallu le déclasser en “intégrateur alimentaire” ou Health food".
Interrogé sur cette découverte, le Dr Jean-Louis Robinson, ministre de la Santé et du planning familial, reste modéré dans ses propos. “Ce chercheur doit d'abord prouver sa découverte pour vérifier sa validité”. Une réponse qui est plus atténuée que celle du représentant de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). En effet, le Dr André Ndikuyze invite les personnes qui auraient découvert un médicament miracle pour guérir le sida, à le prouver en laboratoire.
“Certes, les recherches avancent à grand pas, mais jusqu'à maintenant, aucun médicament ne peut guérir le sida 24 ans après son apparition”, souligne-t-il. Zaranaina Christian réplique qu'il a réalisé des essais cliniques sur des sujets atteints, se défendant de dévoiler leur nombre, encore moins leur identité. Le sort de sa découverte sera connu d'ici 15 jours.
Suivant la procédure en matière de recherche, la notification publique peut se faire dans le pays d'origine de l'invention, dans celui du propriétaire du brevet ou encore dans le pays de l'exploitation commerciale. Zaranaina Christian a choisi la seconde option.

A l'entendre, il est déterminé à se battre pour valoriser son travail. Ce combat pourra le mener jusqu'à une implication dans la politique pour que sa découverte soit acceptée. En attendant, il affirme protéger son brevet en payant 250 millions de Fmg à l'agence qui le lui a delivré, tout en se penchant sur une autre découverte relative à l'énergie.

Henintsoa Andriamiarisoa

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