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Notre Voie | Côte d'Ivoire | 30/08/2008 | Lire l'article original
Selon Dr. Francisca Ahimon, du département de virologie des laboratoires, les besoins de formation adressée aux laboratoires a porté sur le passage d’un traitement de 1ère ligne à celui de 2ème ligne. “Le but de ce symposium est donc de renforcer les capacités des médecins sur la prise de décision du passage d’un niveau à un autre”, a expliqué Mme Ahimon.
A en croire Dr. Memain du programme de prise en charge, il y a 10 à 20% de résistance selon les molécules dans le traitement de première ligne et 5 à 10% pour les cas de multi résistance. “La gamme des antirétroviraux est très limitée. Pour ne pas arriver à des résistances, il faut bien utiliser les médicaments disponibles. C'est-à-dire être adhérent et observant au traitement. C’est quand ces deux conditions ne sont pas respectées que le traitement de 2ème ligne s’impose”.
Coulibaly Zié Oumar
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