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Le potentiel | Congo-Kinshasa | 31/10/2008 | Lire l'article original
L’on indique aussi que les cités de Baraka et de Sebele restent des aires de santé les plus touchées. L’usage de l’eau polluée du lac Tanganyika par les retournés dans ces deux cités (Baraka et Sebele) serait à la base de cette flambée. Quant à la zone de santé de Minova, le rapport souligne que celle-ci connaît aussi l’épidémie depuis la semaine 40. Elle a notifié 54 cas sans décès au cours de la semaine 42. De la semaine 40 à la semaine 42, un total de 174 cas avec 3 décès (taux de létalité de 1,7%) a été notifié. L’afflux des déplacés vivant dans des conditions hygiéniques très précaires et l’usage de l’eau polluée du lac Kivu (insuffisance d’approvisionnement en eau potable dans la zone de Minova) seraient à la base de cette flambée d’épidemie de choléra dans la cité de Minova. Par ailleurs, la lutte contre le choléra est organisée par les partenaires dont l’OMS, MSF/Hollande et AMI pour la ZS de Fizi et MSF/ Espagne, OMS et RRM pour la ZS de Minova. Malheureusement, la grève des infirmiers du secteur public ne permet pas d’organiser une prise en charge correcte des cas de choléra dans le centre de traitement du choléra (CTC) de Minova.
Par Raymonde Senga Kosi
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