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Fraternité matin | Côte d'Ivoire | 05/11/2008 | Lire l'article original
Elle l’a indiqué hier, à l’Insp d’Adjamé, en marge de la deuxième journée de la réunion de coordination des régions sanitaires de Côte d’Ivoire, sur l’état d’avancement des activités de prise en charge du VIH-Sida en Côte d’Ivoire, initiée par le-dit ministère. « Le privé, lui, s’inscrit dans un autre cadre. Et les approches le concernant ne sont pas totalement documentés. Nous entendons, justement, les analyser au cours des ateliers qui meublent cette rencontre », explique-t-elle. Au cours de ces ateliers, il est également question, selon Dr. Traoré, de faire ressortir les besoins des différents districts et autres régions sanitaires, afin qu’ils soient tous pris en compte, au niveau des équipements. Car, affirme-t-elle, « nous reconnaissons que tous les districts et régions ne sont pas encore au même niveau d’équipement. Il y en a qui ont besoin d’être renforcés ». En outre, rappelle-t-elle, environ 750 000 personnes vivent avec le VIH-Sida en Côte d’Ivoire, selon le rapport Onusida 2006. Soit 4.7%. Toutefois, ce chiffre semble réduit après deux ans. Car, Dr. Bruce Struminger, directeur du projet « Retroci », qui représentait le Pepfar, lundi, à la cérémonie d’ouverture, a évalué, pour sa part, le taux de prévalence en Côte d’Ivoire, à 3,9%.
Casimir Djézou
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