Accès aux sites pays BENIN BURKINA FASO CAMEROUN CENTRAFRIQUE CONGO COTE D'IVOIRE GABON
GUINEE MADAGASCAR MALI R.D. CONGO SENEGAL TOGO
Fraternité matin | Côte d'Ivoire | 23/07/2009 | Lire l'article original
Avant d’indiquer qu’avec le réseau, « nous allons informer de manière beaucoup plus précise, de manière beaucoup plus simple la population, afin que les gens se rendent rapidement dans les hôpitaux». Diagnostiqué tôt, on enregistre 60 à 65% de cas de guérison aujourd’hui. La médecine a beaucoup évolué dans la prise en charge des cancers sur le plan thérapeutique. Mais tout dépend de la précocité du diagnostic. Ce qui appelle à une information, une sensibilisation à la base. Le professeur Adoubi compte surtout sur les journalistes pour rendre dans un langage simple ce qui est technique. Car tout le monde est exposé au cancer. L’une des causes principales étant le vieillissement. Mais il faut surtout combattre le tabagisme, l’alcoolisme, et éviter une alimentation trop grasse, faire du sport. En outre, il faut selon le cancérologue amener les gens à changer de train de vie, si l’on ne veut pas voir les cancers exploser dans nos pays africains. Le professeur a révélé que le Pnlc est également en train de mettre en place un réseau de personnes qui ont survécu au cancer. Particulièrement au cancer du sein et à celui du col de l’utérus. Elles sont au nombre d’une quinzaine de femmes engagées dans Sos cancer avec Mme Comara qui en est la présidente.
Au cours de la formation, les journalistes ont été instruits sur les causes de la maladie, les généralités, le traitement, et la prévention, et le rôle des médias dans sa lutte.
Marie-Adèle Djidjé
Restez informés : recevez, chaque mercredi, la lettre d'informations de Santé tropicale. Inscriptions
Ce contenu gratuit vous est destiné :
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Actualités
Articles médicaux