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Douala : la couverture sanitaire insuffisante ; L’hôpital gynéco-obstétrique va apporter un plus

Cameroon tribune | Cameroun | 19/10/2009 | Lire l'article original

La ville de Douala aura bientôt son hôpital gynéco-obstétrique. Une convention vient d’être signée pour la construction de cet hôpital de reférence. L’hôpital gynéco-obstétrique fera à coup sûr la fierté de la ville. Plus important encore, il pourra aider à décongestionner les autres hôpitaux extrêmement sollicités. Ce qui selon le Dr Noël Essomba, coordonnateur du groupe technique régional de lutte contre le sida pour le Littoral pose souvent un problème de la qualité de prise en charge et d’accueil des malades. « L’hôpital Laquintinie ne possède que 740 lits et l’hôpital général près de 300 », dit-il. A Laquintinie par exemple, le corps médical est toujours débordé. Le personnel médical manque cruellement.

La création de ce nouvel hôpital vient à n’en point douter rehausser et agrandir la carte sanitaire de la ville qui malgré tout est pauvre. Un manque criard d’hôpitaux publics se fait ressentir. Les seuls hôpitaux de référence publics se résument en l’hôpital Laquintinie et à l’hôpital général.

Mais en dehors de ces deux grands centres de santé, il existe selon le Dr Noël Essomba, plus d’une demi-douzaine d’hôpitaux de district dans la ville. Il s’agit de Bonassama, Cité des Palmiers, Manoka, New Bell, Nylon, Deido, Logbaba… Bientôt, on procédera même en l’éclatement de deux de ces hôpitaux de district qu’on estime très grands pour augmenter le nombre. En dehors de ceux-ci viennent s’ajouter quelques cliniques, des hôpitaux missionnaires et de nombreux autres centres de santé.

Le Dr Essomba, estime suffisant le plateau technique. Celui-ci s’est beaucoup amélioré, ces derniers temps. En l’occurrence dans les deux hôpitaux de référence que sont Laquintinie et l’hôpital général. Des scanners et autres appareils modernes tels que la mammographie pour le cancer du sein sont venus enrichir ledit plateau. La clinique Bonanjo n’est pas en reste, récemment l’imagerie par résonnance magnétique (IRM) y a été installée. Cet appareil, dernier cri, permet de procéder à des examens plus poussés des patients.

Josy MAUGER

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