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Revue de presse de Santé tropicale

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Accidents vasculaires cérébraux : les neurologues appellent à lutter contre la fatalité

Le soleil | Sénégal | 27/11/2009 | Lire l'article original

Les accidents vasculaires cérébraux sont la source de panique aussi bien chez la famille des victimes que chez les spécialistes de la Santé. Certains praticiens de la Santé sont gouvernés par la « peur bleue » devant un patient attaqué par l’Avc. La panique du praticien complique l’urgence de la prise en charge du malade. C’est à juste raison, que les neurologues, qui réfléchissaient sur la question, ont invité leurs collègues d’autres spécialités à la sérénité devant une victime d’Avc. « Nous voulons démystifier les Avc. Ils ne doivent plus être un ennemi ou un adversaire pour le personnel de Santé qui font recours à la référence vers la clinique de neurologie de Fann », a fait savoir le Dr Kaboré Touré de la clinique de neurochirurgie du Centre hospitalier universitaire de Fann.

« Il ne faut pas être fataliste et baisser les bras devant un Avc », a prêché le Pr Lamine Guèye. Selon une étude réalisée entre mars 2008 et mars 2009, plus de 90 % des médecins ont exprimé un besoin en formation. « 97,45 % des médecins interrogés ont exprimé un besoin en formation. Ce taux est de 100 % chez les paramédicaux », a révélé le Dr Kaboré Touré. Mieux, le défi est d’offrir des soins à des malades dans leur région car le retard a des répercussions sur le traitement.

« Il nous faut décentraliser la prise en charge en formant plus de personnel de Santé. Il ne faut pas que les malades nous viennent de Tambacounda pour se faire soigner, alors qu’ils auraient pu être traités sur place, si les médecins étaient formés sur la question », défend le chef de chirurgie de la clinique de neurochirurgie, le Pr Mansour Ndiaye. Surtout que les Avc gagnent du terrain aussi bien dans les villes que dans les campagnes et affectent de nos jours les pauvres. « 1 à 2 % de la population sénégalaise sera touché par les Avc chaque année, soient 100.000. D’où l’urgence de mener des campagnes de sensibilisation », a insisté le Dr Kaboré Touré. La part des décès liés aux Avc était de 24,8 % à la clinique de neurologie en 2008.

I. SANE

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